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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 2 février 2015 dans Conjugaison

    Il est l’un de ceux qui se prennent le moins la tête .
    Pourquoi ?
    – Il est un parmi d’autres. Ces autres sont -comme lui- des personnes qui « se prennent peu la tête »(expression relâchée pour l’écrit..) . Donc pluriel (le sens).
    – ceux (pluriel) est l’antécédent de « qui » pronom relatif qui introduit la relative, au pluriel. (la grammaire).

    Si vous vouliez isoler votre personnage :
    Il est celui qui « se prend le moins la tête ».

    Cette réponse a été acceptée par Tatsu. le 2 février 2015 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 2 février 2015 dans Accords

    La question fournit la réponse :  il y a un « s » car une paire veut dire « deux » ==> il y a la marque du pluriel au nom concerné par cette dualité.
    Une paire, un groupe, un troupeau … ce sont des singuliers collectifs et donc le complément du nom collectif est au pluriel.

    une paire de chaussures = 2 chaussures

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  • Grand maître Demandé le 30 janvier 2015 dans Question de langue

    Nous allons éliminer l’hypothèse d’une confusion entre « s’il faut » et « s’il fait »….sinon vous auriez écrit « s’il faut que je sorte ».

    Il me semble que :
    1) « S’il fait en sorte que je doive sortir » est la formule complète – à condition que le pronom « il » représente une personne ; vous avez élidé la fin (hypothèse au présent, donc futur dans la principale, c’est juste)
    de sorte que votre formulation se rapproche de celle-ci :
    2) « La vie fait que nous nous éloignons de … »
    3) S’il arrive que je doive sortir est la tournure impersonnelle.

    Je penche comme vous pour la maladresse, il se peut que votre destinataire ne vous ait pas comprise, mais je n’ai pas le contexte.

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  • Grand maître Demandé le 30 janvier 2015 dans Accords

    Si vous pouvez supprimer le mot « tout », il est adverbe donc invariable :
    – Ils ne vont pas se remplir seuls==>tout

    Toutefois,
    – Je ne vais pas y aller seule ou toute seule car le « tout » adverbe a la particularité de s’accorder au féminin singulier et pluriel devant une consonne ou un « h » aspiré.
    Elles sont (toutes) blanches = entièrement blanches.

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  • Grand maître Demandé le 30 janvier 2015 dans Accords

    La logique voudrait que si c’est tout le monde, soit plusieurs personnes, il y ait plusieurs grenouilles.
    Je mettrais le pluriel naturellement.
    Pour plus de sécurité :
    Chaque personne a été transformée en grenouille (singulier).
    Ils ont tous été transformés en grenouilles.

    Je renchéris sur le pluriel car « tout le monde » – bien que collectif singulier- évoque la totalité ou tous. En ce cas, il s’accorde au pluriel par syllepse. Voir le commentaire de Chambaron…

    Pour Bleb et surtout pour ses collègues, l’accord par syllepse : le fait d’accorder un mot – non d’après ce mot- mais d’après un autre terme que le sens éveille dans la pensée.
    Grevisse donne comme exemple de syllepse grammaticale « la plupart sont attentifs ». On n’écrirait pas « la plupart est attentive ».

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  • Grand maître Demandé le 29 janvier 2015 dans Accords

    Je suis désolée, j’ai eu un problème d’ordinateur et mes messages ne se sont pas affichés : du coup, j’ai arrêté d’essayer car à chaque fois j’ai été créditée de 2 points, je vais en faire part au site pour des raisons d’équité.

    Je voulais dire que le conditionnel relève de l’hypothèse (le monde parfait = je pourrais)  alors qu’en effet, le réveil des enfants est ici ancré dans la réalité du locuteur… Je ne suis pas certaine qu’il faille appliquer une règle stricte de concordance des temps.
    Avec le conditionnel, les règles de base sont pour moi (outre, Si je viens, il partira. (présent + futur)) : 

    Si je venais, il partirait. (imparfait+ conditionnel présent)
    si j’étais venue, il serait parti. (plus que parfait + conditionnel passé)

    Je pourrais venir à condition qu’il soit là. (cond.présent + subj/ présent)
    etc.

    Je suggérais le présent de l’indicatif, présent d’habitude ou de vérité générale : Dans un monde parfait je pourrais dormir profondément jusqu’à l’heure à laquelle  je dois réveiller les enfants.
    ou alors
    Dans un monde parfait je pourrais dormir profondément jusqu’à l’heure de réveil des enfants ou avant de réveiller les enfants.

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  • Grand maître Demandé le 29 janvier 2015 dans Accords

    Le verbe écrire au passé composé se construit avec le participe passé « écrit », au féminin « écrite » ==> ce qui confirme le « t ».
    Avec l’auxiliaire avoir, on n’accorde pas avec le sujet et là le COD est après==> donc écrit

    Les personnes qui ont écrit la lettre.
    Les personnes qui ont signé la lettre.
    Les personnes qui ont reçu la lettre.

    La lettre que j’ai écrite,
    Les lettres que j’ai écrites et signées.
    Les billets que j’ai reçus.

    Cette réponse a été acceptée par JAKY22. le 29 janvier 2015 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 29 janvier 2015 dans Accords

    Oui, il s’agit d’une tournure impersonnelle : le sujet « il » ne représente pas une personne en particulier, il reste donc au singulier, même suivi du pluriel.
    C’est comme « il y a » ou « il faut ».

    « Des choses se sont passées. », serait la forme plus directe.

    Autres exemples :
    Il manque trois boutons à sa chemise = trois boutons manquent à sa chemise.
    Il pleut des cordes.
    etc.

    Mais = attention ! 
    C’est un enfant = ce sont des enfants 

    Cette réponse a été acceptée par LauDumoz. le 29 janvier 2015 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 28 janvier 2015 dans Général

    Vous allez à la ligne si c’est la fin du paragraphe.  Sinon, la citation n’impose rien.

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  • Grand maître Demandé le 28 janvier 2015 dans Général

    Le point final est placé à l’intérieur des guillemets lorsque la citation forme une phrase complète débutant par une majuscule et introduite par deux-points. Il est placé à l’extérieur lorsque la citation n’est qu’un segment de phrase fondu dans le texte.
    Pierre Reverdy a dit : « Créer, c’est penser plus fortement. »
    Raymond Queneau écrivait de l’histoire qu’elle est « la science du malheur des hommes ».

    Comme l’Anglais Francis Bacon au XVIe siècle, cet étudiant enthousiaste s’est exclamé : « Je
    voudrais vivre pour étudier, non pas étudier pour vivre ! »

    ==>Antoine a dit : « Je suis épuisé de t’entendre parler.»

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