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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 12 mars 2015 dans Accords

    Jonchant = c’est un participe présent.
    …Des détritus qui jonchent le sol.

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  • Grand maître Demandé le 12 mars 2015 dans Général

    A partir du moment où vous avez mis « : » , vous considérez que la phrase n’est pas finie, et donc pas de majuscule après les tirets d’énumération.
    Les éléments énumérés ne sont en outre pas longs.

    Si vous aviez énoncé des titres de chapitres avec de vraies phrases, il aurait sans doute fallu composer et ponctuer différemment.

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  • Grand maître Demandé le 12 mars 2015 dans Question de langue

    Pour ma part, je l’emploie ainsi : 
    je vous remercie pour votre aide.
    je vous remercie de m’avoir aidé.
    Mais ….
    CNTRL :
    [Avec un compl. prép. introd. par de, de + prop. inf./ compl., pour, et précisant la cause]

    Remercier qqn de sa complaisance, de sa franchise; remercier qqn de l’envoi (d’un colis,…);
    remercier qqn pour son accueil.
    Crois-en mon expérience et mon amitié, tu me remercieras plus tard de ce que je fais aujourd’hui (Karr, Sous tilleuls, 1832, p. 47).
    Je remercie le ciel de m’avoir fait naître dans le meilleur rang et belle (Barrès, Cahiers, t. 14, 1923, p. 247).

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  • Grand maître Demandé le 12 mars 2015 dans Conjugaison

    L’utilisation du subjonctif dans les subordonnées est obligatoire après les verbes exprimant le doute, le désir, l’hypothèse…
    EX. : Il se peut qu’elle vienne ; je doute que cela te plaise, je souhaitai qu’il m’expliquât cette démarche….
    Bien sûr, ces cas relèvent d’une situation qui n’est pas la réalité, la réalité étant exprimée par l’indicatif.

    Dans votre phrase, il me semble que la subordonnée exprime un fait ancré dans la réalité ; on pourrait reformuler ainsi :
    « j’étais ruiné si une tante n’était venue à mon secours…si un grand médecin n’avait pas dépêché….
    ==> Je n’aurais pas utilisé le subjonctif.

    Certes cette logique n’est pas toujours respectée par la règle : mon père est le seul qui me comprenne…
    En outre, certaines conjonctions imposent le subjonctif (jusqu’à ce que, afin que )  et pas d’autres (après que).

    ATTENTION : 
    Loc. conj. Sans que + subj.  (source CNTRL)
    Mêmes valeurs que sans + verbe à l’inf. Par pudeur de souvenir et par fierté, elle ne pouvait se résoudre à le revoir. Et Christophe ne se crut point permis de venir, sans qu’elle l’y invitât (Rolland, J.-Chr., Nouv. journée, 1912, p. 1504).On peut dire que si Swann épousa Odette, ce fut pour la présenter, elle et Gilberte, sans qu’il y eût personne là, au besoin sans que personne le sût jamais (Proust, J. filles en fleurs, 1918, p. 470).

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  • Grand maître Demandé le 11 mars 2015 dans Général

    Vous pouvez le considérer comme un participe présent si vous le remplacez par un verbe avec qui  : 
    Les pays qui participent à cette exposition =>P présent
    145 pays participants ==> pas de remplacement.
    Un participant est même un substantif…en ce cas ?

    Pour vous faire comprendre, voici un autre exemple : 
    Les facteurs influant sur telle ou telle évolution =les facteurs qui influent sur…P Présent
    Un homme influent = adjectif verbal = pas de substitution

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  • Grand maître Demandé le 11 mars 2015 dans Accords

    Avec la principale au conditionnel présent :

    – il faut utiliser le plus – que – parfait du subjonctif si l’action de la subordonnée est antérieure : Je douterais qu’il fût venu / on pourrait croire qu’il eût fait la tête. (il faisait la tête avant le moment où l’on parle).

    – il faut utiliser l’imparfait du subjonctif si l’action de la subordonnée est simultanée : Je douterais qu’il vînt / on pourrait croire qu’il fît la tête. (il fait la tête avant le moment où l’on parle).

    – il faut utiliser le plus – que – parfait du subjonctif si l’action de la subordonnée est postérieure : Je douterais qu’il vînt / on pourrait croire qu’il fît la tête. (il fera la tête après le moment où l’on parle).

    Avec le passé de l’indicatif dans la principale, on utilise :

    – Le plus-que-parfait : indicatif ou subjonctif si l’action de la subordonnée est antérieure :
    Je savais qu’il était venu.
    Je doutais qu’il fût venu.

    L’imparfait (indicatif ou subjonctif) si l’action de la subordonnée est simultanée :
    Je savais qu’il venait ou je doutais qu’il vînt.

    Le conditionnel présent ou l’imparfait du subjonctif si l’action de la subordonnée est postérieure : je savais qu’il viendrait / je doutais qu’il vînt.

    Cette réponse a été acceptée par Ivan. le 11 mars 2015 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 10 mars 2015 dans Accords

    IL est possible d’écrire :
    – tout renseignement
    – tous renseignements
    – tous les renseignements.
    Tout est ici adjectif indéfini (donc variable). Dans le premier usage, la nuance est « n’importe lequel », dans les autres il s’agit de « plusieurs ».

    Vous avez donc le choix à  condition de bien accorder : tout au pluriel ou au singulier.

    Cette réponse a été acceptée par JAKY22. le 11 mars 2015 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 9 mars 2015 dans Question de langue

    En effet, le cntrl confirme l’emploi de la majuscule pour Graal, sans doute en raison de l’historique, et de l’emploi littéraire : http://www.cnrtl.fr/definition/graal

    Concernant le sagittaire, c’est moins net, sauf pour une acception dénommant Cupidon, pour la majeure partie des acceptions, la majuscule ne s’impose pas. Il faudrait des précisions sur l’emploi exact du mot dans votre texte. e :

    http://www.cnrtl.fr/definition/Sagittaire

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  • Grand maître Demandé le 9 mars 2015 dans Accords

    A ma connaissance et pour l’instant, la personne qui garde, le garde est un substantif masculin ; contrairement à l’action de garder « la garde » qui est un nom féminin.
    La féminisation des titres et des fonctions impose en effet de passer au féminin sans qu’il y ait de lexicalisation proprement féminine du substantif. C’est une suggestion que toutes…ne suivent pas (certaines élues souhaitent que Madame le Maire reste leur titre officiel, les pharmaciennes souhaitent aussi parfois s’intituler pharmacien…).
    Je m’en tirerais par une pirouette : les gardes du roi / de la reine.
    Au fait, vos gardes, ce sont toutes des femmes ?

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  • Grand maître Demandé le 8 mars 2015 dans Conjugaison

    L’accord se fait au choix , selon le sens et la logique, avec le nom collectif flot au singulier ou avec le complément du nom au pluriel.
    Pour mettre en valeur la quantité, le pluriel semble logique. De plus, un flot d’images est à prendre au sens figuré, donc je n’accorderais pas avec flot.
    Comparez :
    «un tas d’idées ont été émises lors de la réunion».
    et «un tas d’objet empêche de passer».
    Dans la première phrase, les idées ne pouvant former un tas, on insiste sur la quantité. Dans la seconde, un tas d’objet ayant une réalité certaine, on met en valeur l’entassement au sens propre qui bloque le passage.

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