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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 18 mai 2015 dans Accords

    Pour ma part, je dirais que le sujet de votre phrase est « cette touche » (mot-noyau du groupe sujet) et avec lui se fait l’accord du verbe.
    « de féminité, de délicatesse, de douceur » ne sont que des compléments du nom qui ne gouvernent pas l’accord du verbe.

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  • Grand maître Demandé le 17 mai 2015 dans Question de langue

    Voici ma suggestion :
    J’avais fait une demande de tiers temps supplémentaire pour l’épreuve du 27 mai
    . Je porte à votre connaissance  que j’ai modifié  ma demande (cette demande ou ladite demande).
    Celle-ci (ou cette dernière) porte sur l’épreuve du 17 juin
    .

    Mes justifications :
    Dans votre phrase, « celle-ci » porte sur l’épreuve ou plutôt la demande qui se trouve être un peu loin. Même remarque pour cette dernière.
    Dans votre rédaction, il doit être explicite que vous avez modifié votre demande et non la date ou l’épreuve. (peut-être souhaitez-vous seulement modifier ?)

    A votre disposition pour affiner cette expression.

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  • Grand maître Demandé le 15 mai 2015 dans Général

    Un mail est un écrit et il doit en principe contenir des phrases si possible rédigées.
    Je vous remercie.
    – Je vous souhaite une excellente journée.

    Si vous y tenez absolument, des formules peuvent être écrites :
    – Bonne journée.
    – Merci.
    Ce sont des phrases nominales réservées à l’oral mais elles doivent se terminer par un point.

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  • Grand maître Demandé le 15 mai 2015 dans Question de langue

    – s’il s’agit de conjuguer le verbe : On participe à …
    De la même façon, « félicitations à tous ceux qui ont participé à… » ou » toutes les personnes ayant participé à « 
    – mais en ce cas, « participants » est un nom commun donc ‘de’ introduira le complément du nom.
    Tous les participants de cette 5è édition.

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  • Grand maître Demandé le 14 mai 2015 dans Accords

    Poussoir étant un nom commun, il me paraît obligatoire d’accorder et de mettre le pluriel.

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  • Grand maître Demandé le 13 mai 2015 dans Accords

    Isabelle récoltait les fleurs qu’elle avait voulues : en ce cas, le verbe vouloir a bien « fleurs » comme COD (elle a voulu quoi ? des fleurs) , donc il n’y a pas d’infinitif sous-entendu car on attache plus d’importance à sa volonté de fleurs qu’à sa volonté de récolter.
    Cas d’infinitifs sous-entendus
    Les fleurs qu’elles auraient voulu offrir étaient trop chères.
    Elle a pris toutes les fleurs qu’elle a pu (prendre). 

    Autre exemple : 
    Voici les plans qu’elle a pensé vérifier. 
    – Elle a pensé quoi ? > vérifier > l’infinitif est placé après et COD > invariable.

     

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  • Grand maître Demandé le 10 mai 2015 dans Général

    1) Le salon du chocolat ; pour ma part je n’abuserais pas de la majuscule, mais sur le lien ci-après, il est écrit :
    « le Salon du Chocolat ». Tout dépend des habitudes et du type de document. Il semblerait que sur les documents publicitaires, les majuscules soient légion.
    Pour un mémoire, vous pouvez vous contenter le citer sans changer la dénomination officielle dudit salon, majuscules comprise.

    http://www.salonduchocolat.fr/accueil.aspx

    2) La pâtisserie-chocolaterie. Mette un trait d’union entre chocolaterie et pâtisserie . 

    3) Le Syndicat du chocolat. Je suis d’accord avec votre position. 

    4) les confiseries maison : sans « s » à maison, car il s’agit des confiseries faites « à la maison ».

    5) Un artisan chocolatier peut s’écrire sans trait d’union

    6) Le criollo, le forastero et le trinitario… je suis d’accord avec votre raisonnement : pas de majuscule lorsqu’il désigne un aliment.

    7) La maison mère. On écrit au pluriel les maisons mères puisque les noms communs s’accordent.

    8) Le saint-pothin sans aucune majuscule comme le saint-honoré. 

    9) Doit-on écrire un mini-sandwich, une mini-bouchée ou un minisandwich, une minibouchée ?
    ==>Les deux sont possibles, je préfère le trait d’union.

    Nous nous sommes régalés !

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  • Grand maître Demandé le 8 mai 2015 dans Accords

    Pour faire simple : il faut savoir ce qui est « objet » du verbe demander.
    Dans certains cas, il faut faire une petite gymnastique et l’on y parvient par élimination.

    La nouvelle édition qu’on nous a demandé de préfacer est maintenant offerte en librairie. (On nous avait demandé « quoi » ? de préfacer la nouvelle édition. )==> Vous-même vous exprimez que le COD est bien « de préfacer la nouvelle édition » placé après et non le pronom « nous » placé avant. On ne nous a pas demandé non plus « la nouvelle édition ».

    Dans votre exemple, expliqué par Chambaron « les lettres que je vous ai données à mettre à la poste, , « les lettres » est bien le COD de donner, d’où l’accord.(je vous ai donné quoi ? Les lettres). 

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  • Grand maître Demandé le 8 mai 2015 dans Accords

    Bonjour,
    voici ma réponse : « Les nom et prénom de chaque participant », en vertu de la règle, deux singuliers forment un pluriel.

    D’autres exemples : « au cours des semaines 12 et 13 », « au cours des mois de mars et avril », « dans les 5e et 6e arrondissements ».

    Cela évite de répéter l’article :  « le nom et le prénom de chaque participant », « dans le 5e et le 6e arrondissement »…Ces formulations sont bien sûr possibles,
    Dans ces cas, on laisse au singulier.

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  • Grand maître Demandé le 7 mai 2015 dans Accords

    Pour moi, « roulez futé ou futés » est la tournure elliptique de :
    « Roulez (en étant) futé(s) » (adjectif) 
    Ou
    « Roulez (de manière) futée » 

    Pour la figure de style, je ne me prononcerais pas, mais pour l’impératif, comme pour la conjugaison en général, le pronom personnel « vous » peut parfaitement s’employer suivi du singulier à l’adjectif si l’on s’adresse à une seule personne que l’on vouvoie.
    En ce cas manifestement, on souhaite s’adresser à plusieurs personnes, donc le pluriel s’impose, à l’adjectif toujours.

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