C’est en Bretagne dans le Finistère, QUE nous serons accueillis au sein de cet établissement scolaire…
Où serait redondant avec l’expression du lieu « en Bretagne ».
==> pour alléger : Nous serons accueillis au sein d’un établissement scolaire dans le Finistère.

précision :
Là où. Emploi parfaitement correct quand la locution n’est pas précédée de c’est : Nous avons retrouvé notre ami là où nous l’avions laissé. —
En revanche, c’est là où est un tour relâché. On dira dire c’est là que : C’est là que nous retrouverons notre ami.

Par déduction, je dirais « c’est en …. que » et non « c’est en… où ».

C’est juste la forme qui m’a gêné

« m’  » étant masculin : accord du participe passé avec le COD m’ qui est placé avant.

Je vais lui envoyer les sous pour qu’il te les envoie. 

envoie se conjugue avec le sujet « il »

Normalement, on devrait dire et écrire « ton nom et ton prénom », les 2 NC au singulier.
Il est vrai que l’on rencontre « tes nom et prénom » pour exprimer la même chose. Votre interlocuteur a raison. 
J’ai appris bien avant la réforme de l’orthographe qui ne porte pas là-dessus : 2 singuliers forment un pluriel

Attention à votre relecture : j’ai tort – de mauvaise foi – s’il faut accorder…

après avoir validé le devis et (avoir) réglé la commande en ligne….. »

Après avoir  » mordu » la commande : si on peut remplacer par mordu, c’est « réglé » dans ce cas d’infinitif passé.

Il s’agit bien du verbe voir, donc pas de e.
Si le mot peut être remplacé par « et même », le « e » est de rigueur, et on écrit « voire ». Sinon, on écrit « voir » :

L’ordinateur change nos habitudes, voire les bouleverse. = L’ordinateur change nos habitudes, et même les bouleverse.

mais

Il nous reste un point à voir. ? Il nous reste un point à et même.

La citation dont nous avions parlé  : le pronom relatif représente la citation mais ce n’est pas un COD ; c’est un COI car nous avions parlé de cette citation.

Nous descendions, alléchés par l’odeur du pain grillé. alléchés s’accorde avec « nous » ==> donc peut être aussi « alléchées » si nous représente uniquement des femmes.
Nous déjeunions, perchés sur la terrasse ensoleillée de nos pénates natales. ==> même remarque

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On peut mettre l’apposition en début de phrase pour comprendre que « alléchés » est en lien avec nous : alléchés par l’odeur du pain grillé. nous descendions.

Selon Larousse : se sortir d’une situation, sortir d’affaire, se sortir, se tirer d’affaire,

Il nous a tirés / sortis d’affaire.
accord du participe avec le COD « nous »

La plupart du temps / la majeure partie du temps / presque tout (mon / son) temps, … me paraissent plus fluides.

Celui-ci peut s’employer seul.

Pour l’enthousiasme, pas de problème ! On n’en manque pas !