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Pourquoi ne dites-vous pas tout simplement qu’une constitution peut être modifiée ou remplacée… (tout dépend des régimes et des contextes historiques bien sûr…) ?
Je suis un peu étonnée par le tour parfois complexe : sujet signifie assujettie et « sujette à son propre changement » me semble un peu lourd.- 451 vues
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L’Académie n’en met pas !
Voir ici- 939 vues
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Pour le sens, que signifie la « non-émotion » ? Absence d’émotions, froideur, résistance psychologique à l’empathie, absence de compassion, il y a tellement de façons plus précises d’exprimer ce que vous voudriez dire. Ce n’est qu’une remarque de lectrice.
Cette réponse a été acceptée par Cocojade. le 22 octobre 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Selon l’Académie – bien souvent vilipendée ici même –
Avec un superlatif relatif (le plus, le moins, le meilleur, etc.) ou un adjectif impliquant une idée superlative (seul, premier, dernier, principal, unique, un des rares, etc.)
On écrira fréquemment la phrase au subjonctif, bien que l’indicatif ne soit pas impossible : Voici le meilleur vin que l’on puisse trouver dans la région, C’est l’unique personne, le seul qui ait accepté. L’utilisation du subjonctif dans ce type de phrase permet de mettre l’accent sur la virtualité de l’existence de la chose ou de la personne évoquée, tandis que l’indicatif insiste au contraire sur son existence réelle. Je vous donne le lien vers cet article.
Dons dans votre phrase :
– si la solution est évidente, accessible, réelle ou immédiate : … que j’ai
– si la solution est hypothétique, virtuelle, compliquée et incertaine : … que j’aie- 2788 vues
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Il me semble que si « ou » a un sens inclusif (ou n’exclut personne, autrement dit les deux peuvent lire une histoire) ; le pluriel est de rigueur. C’est comme si l’on avait écrit et . De plus, lorsqu’il y a deux sujets dont l’un est moi, c’est le nous qui résume les 2.
Son père ou moi lui lisons une histoire.Voici un petit lien
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Je suis d’accord avec votre analyse.
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Intéressant, selon le cnrtl :
. Mélange confus de choses ou de faits hétéroclites. De ce coudoiement, de ce frôlement, de ce méli-mélo, de toutes ces rivalités, ces hostilités, ces haines rassemblées là et obligées de vivre un moment ensemble (Goncourt, Journal, 1860, p.821).
Rem. ,,Très fam.« pour Ac. 1878 et 1935; ,,pop.« pour Littré.
♦ Méli-mélo de… et de… Un méli-mélo de flacons et de statuettes pieuses (Huysmans, Oblat, t.1, 1903, p.92):
. … depuis, ç’a été chaque fois des démences de couleurs, des folies absurdes de conceptions, des mélis-mélos d’antiquité et de moderne réunis sur une même toile. Huysmans, Art mod., 1883, p.30.- 726 vues
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Vous pouvez observer le sens de la phrase :
Notre métier ne connaît pas de saison = Notre métier ne connaît les saisons (je suppose).
donc j’écrirais : Notre métier ne connaît pas de saisons.- 734 vues
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Bien sûr, « une vie par personne = plusieurs vies », donc on pourrait mettre au pluriel mais ce n’est pas nécessaire, ni pour vie ni pour autre chose : les Français s’occupent de leur santé (une santé par personne), etc.
Question souvent débattue- 672 vues
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Elle s’est attachée à , … on a un verbe pronominal dit autonome : le pronom « se » n’est pas analysable comme un COD (donc on ne peut accorder avec ledit COD) ; de plus, le sens de attacher n’a rien à voir avec un « attachement » quelconque. Dans ce cas, on accorde avec le sujet, comme si on avait un verbe essentiellement pronominal.
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