Votre phrase est correcte : je est le sujet et « nous » est le pronom COD, c’est comme « je te vois ».
Pouvez-vous préciser ce qui vous gêne ?

Je ne dirais pas cela, car je ne dirais pas « J’ai oublié avoir fait ces choses » mais « j’ai oublié que j’avais fait ces choses ».

À quoi cela vous a-t-il avancés ?
Le pronom COD « vous » représente les plusieurs personnes.

Le rapport coût – bénéfice est une formulation fonctionnelle qui exprime le « retour sur investissement » d’une politique : ce que cela coûte et pour quels résultats ?
On la rencontre sous toutes les formes, singulier ou pluriel, avec ou sans trait d’union. Elle n’est pas répertoriée comme un mot du dictionnaire même composé.
Comme pour toutes les questions pluriel / singulier qui nourrissent ce site, il n’y a pas de raisonnement à produire, ni d’obligation à quoi que ce soit ; si vous suivez la logique, vous pouvez défendre autant le coût que les coûts, pareil pour bénéfice. Donc, faites un choix, observez ce qui est publié dans votre environnement et restez cohérent dans vos documents.

j’ai rencontré Pierre qui m’a parlé de votre société (sans majuscule).
Pierre a parlé à qui ? à moi ==> m’ est un COI, donc fille ou garçon, on n’accorde pas le PP avec le COI même s’il est avant.

Il faut tourner votre phrase pour conjuguer le verbe avec l’élément qui est le vrai sujet et non l’attribut ;  trouver le sujet avec la formule :  « c’est … qui »
Voici un exemple plus simple :
Mon bonheur est mes enfants vs mes enfants sont mon bonheur (2).
==> Ici, on peut dire « ce sont mes enfants qui sont mon bonheur » et non « c’est mon bonheur qui est mes enfants »…
Donc choix en faveur de (2).

Pour votre phrase : 
Mais l’élément qui aura le plus animé les marchés, « est/sont » les rumeurs non confirmées concernant le blocage en Italie.
==> Ce sont les rumeurs non confirmées qui ont été l’élément qui aura le plus animé les marchés.
et non « c’est l’élément … qui sont les rumeurs.
Donc « 

Mais l’élément qui aura le plus animé les marchés sont les rumeurs non confirmées concernant le blocage en Italie.

ou mieux : les rumeurs … sont l’élément qui a le plus animé les marchés.

ou encore « ce qui aura le plus animé… ce sont les rumeurs… »

Selon l’Académie,
Dans la relative, le verbe est le plus souvent à l’indicatif. On peut néanmoins rencontrer le subjonctif dans certains cas, en particulier quand l’antécédent contient un superlatif relatif (le plus, le moins, le meilleur, etc.) ou un adjectif impliquant une idée superlative (seul, premier, dernier, principal, unique, un des rares, etc.). On écrira donc fréquemment, bien que l’indicatif ne soit pas impossible : Voici le meilleur vin que l’on puisse trouver dans la région, C’est l’unique personne, le seul qui ait accepté.
L’utilisation du subjonctif dans ce type de phrase permet de mettre l’accent sur la virtualité de l’existence de la chose ou de la personne évoquée, tandis que l’indicatif insiste au contraire sur son existence réelle.
Voici la suite.

Je ne connais pas cette formulation et donc je ne vois pas ce que vous voulez dire.
Peut-être que le jeune X a été frappé par le contraste entre deux écoles ….

Si les membres de votre peuple barbare n’ont pas les dents suffisamment bien placées ou la langue suffisamment bien conformée pour prononcer « j’suis », alors mettez une double apostrophe : »»suis »

1) où est l’apostrophe ???
2) les membres de votre peuple « barbare » ???
Je ne suis pas sûre que tout le monde goûte la référence aux Grecs anciens, quel surplomb !
Ne vous plaignez pas ensuite aux responsables du site que vos réponses soient supprimées….
J’attends vos insultes : depuis toutes ces anneees, elles ne me font plus rien, je sais qui vous êtes.

Il faut retenir que les verbes de perception (voir, écouter, sentir…) sont suivis d’un infinitif :
la vue : apercevoir, contempler,  entr’apercevoir, entrevoir, observer, revoir, regarder,  ; – l’ouïe :  écouter, entendre, ouïr,
Je l’ai senti défaillir.

https://www.etudier.com/dissertations/Verbes-De-Perception-Infinitif/67898998.html