Oui, j’accorderais : ils sont / ont été parties à un contrat.
être partie à (une négociation, un traité, un contrat), être partie prenante.

On dit aussi les parties au contrat :

• obtenir le consentement des parties au contrat

Dans la mesure où un nom est repris par un pronom, c’est avec ce pronom que vous accordez le participe passé.
Ex.: Il a acheté une pomme. Il l’a mangée.

Le pronom l’ reprend la pomme.

Dans votre phrase, l’ = reprend « conversation.
Ils sont dans une conversation profonde. Remontons dans le texte,  où nous l’avons abandonnée.
(pourquoi avons-nous abandonné la conversation ? Elle s’est interrompue plutôt ??? ce n’est pas clair mais ce n’est pas la question)

Quel est le sens de votre phrase ?

Si vous accordez avec implication et motivation : c’est un féminin pluriel.

Il me semble que les deux accords seraient possibles, toutefois votre phrase semble vouloir insister sur le niveau. D’autres vous diront que l’on ne peut que manifester une motivation et non un niveau… mais le niveau est là pour quantifier cette motivation.

Remarque : implication (investissement serait plus juste) …et motivation sont sans doute assez proches…

Enfin, si vous souhaitez éviter les problèmes :

Il y apportera la même motivation qu’il a manifestée tout au long de sa scolarité ainsi qu’un investissement /qu’un travail sérieux.

Comme vous le dites, « tu n’as pas à t’en charger. » suffirait.
Toutefois, dans un certain contexte et si l’on recherche un effet d’insistance, le pronom toi-même peut être bienvenu.
C’est à vous de voir en fonction du texte.

Pourquoi ne dites-vous pas tout simplement qu’une constitution peut être modifiée ou remplacée… (tout dépend des régimes et des contextes historiques bien sûr…) ?
Je suis un peu étonnée par le tour parfois complexe : sujet signifie  assujettie et « sujette à son propre changement » me semble un peu lourd.

L’Académie n’en met pas !
Voir ici 

Pour le sens, que signifie la « non-émotion » ? Absence d’émotions, froideur, résistance psychologique à l’empathie, absence de compassion, il y a tellement de façons plus précises d’exprimer ce que vous voudriez dire. Ce n’est qu’une remarque de lectrice.

Selon l’Académie – bien souvent vilipendée ici même –

Avec un superlatif relatif (le plus, le moins, le meilleur, etc.) ou un adjectif impliquant une idée superlative (seul, premier, dernier, principal, unique, un des rares, etc.)

On écrira fréquemment la phrase au subjonctif, bien que l’indicatif ne soit pas impossible : Voici le meilleur vin que l’on puisse trouver dans la région, C’est l’unique personne, le seul qui ait accepté. L’utilisation du subjonctif dans ce type de phrase permet de mettre l’accent sur la virtualité de l’existence de la chose ou de la personne évoquée, tandis que l’indicatif insiste au contraire sur son existence réelle. Je vous donne le lien vers cet article.

Dons dans votre phrase :
– si la solution est évidente, accessible, réelle ou immédiate : … que j’ai
– si la solution est hypothétique, virtuelle, compliquée et incertaine : … que j’aie

Il me semble que si « ou » a un sens inclusif (ou n’exclut personne, autrement dit les deux peuvent lire une histoire) ; le pluriel est de rigueur. C’est comme si l’on avait écrit et . De plus, lorsqu’il y a deux sujets dont l’un est moi, c’est le nous  qui résume les 2.
Son père ou moi lui lisons une histoire. 

Voici un petit lien