Ajout : qu’entendez-vous par « surprendre » des onomatopées ?

L’Académie autorise les 2, même s’il y a plusieurs mères, on peut comprendre la mère de chacun et garder le singulier.
Leur chapeau ou leurs chapeaux ?
L’usage des meilleurs auteurs hésite entre le singulier et le pluriel (pour le nom et pour le possessif) lorsqu’un nom désigne une réalité dont plusieurs « possesseurs » possèdent chacun un exemplaire : on considère tantôt l’exemplaire de chacun, tantôt l’ensemble des exemplaires. Ainsi : « Mes compagnons, ôtant leur chapeau goudronné […] » (Chateaubriand) ; « Les deux lords […] ôtèrent leurs chapeaux » (Hugo) ; « trois avaient déjà retrouvé leur femme » (Chamson) ; « deux de mes amis et leurs femmes » (Arland).

https://www.dictionnaire-academie.fr/article/QDL045

Elle s’est permis car le pronom « se » est COI et non COD.
Très bonne question !

La subordonnée relative « qui n’a guère d’appétence pour l’échange épistolaire » doit être directement placée après Robert et non après « complet rétablissement » qui n’est pas son antécédent.
Mais « à qui nous souhaitons un prompt rétablissement » doit être aussi relié à Robert et la seule solution est la coordination des 2 relatives, pour les mettre sur le même plan. Mais votre phrase sera longue.

Avec toi Robert, qui n’a guère d’appétence pour l’échange épistolaire, il va être difficile de maintenir le lien au vu de la distance géographique. Nous te souhaitons sincèrement un prompt et complet rétablissement.

Laissez un mot à Jean et Joseph, pour qu’ils se souviennent de leur baptême, toute leur vie.
Le singulier est largement suffisant car on considère ici le baptême de chacun – même chose pour leur vie (une vie par personne).

« Localisation des groupes climatiseurs : Desquels s’agit-il ? »

Il s’agit est une tournure  impersonnelle, comme « il faut ».

Il faut mettre le pluriel : vous désignez les familles de ces filles et « de » est l’équivalent de « des » car il est devant un adjectif.
Vous déclarez que toutes les filles sont issues de bonnes familles.

Toutefois, il existe l’expression « de bonne famille » au singulier :
de bonne famille [adj]
de famille honnête ; bien considérée ; poli ; bien élevé
Exemples
Fille de bonne famille, père ambassadeur.
Une femme de bonne famille vous protégerait.
Je connais des garçons de bonne famille.
Il est agréable et de bonne famille.
Je suis un samouraï de bonne famille.

Je bois du café, je ne bois pas de café, je bois rarement du café.

Si vous vous adressez à plusieurs personnes, il s’agit donc du pluriel. Chacune se sentira concernée à titre individuel.
Le « vous » singulier correspond à une seule personne que l’on vouvoie.

C’est elle qui nous a envoyées là-bas.
(« nous » représente 2 filles) ; envoyé QUI ?
Nous – placé avant le verbe, accord au féminin : envoyées : oui

Quand on dit « cela me semble clair », le pronom « me » est un COI : cela semble clair « à moi », mais il est vrai que l’on entend plus souvent « cela est-il clair pour vous ? »

Par ailleurs, si cela est clair, le verbe « sembler » laisse entrevoir un flou qui est peut-être contradictoire…