Le fugitif s’est vu encerclé par nos hommes (a été encerclé).

C’est finalement assez simple :
Le complément d’objet n’est pas nous, mais les reportages (placé après le verbe).
Se garder n’est donc pas ici pronominal, on ne peut pas dire nous nous sommes gardés nous-mêmes.

On peut faire la même remarque avec » se demander » :
‘Nous sommes demandé quelle était la raison de son attitude.
Le complément d’objet est quelle était la raison de son attitude.

Il ne faut pas de majuscule.
On écrit d’ailleurs l’Éducation nationale et non l’Éducation « Nationale ».

J’écrirais plutôt : « C’est une chance que tu n’aies pas menti, car ton nez se serait allongé ! »

J’imagine plutôt le singulier pour « des gants en microfibre ».
En revanche, il semble que, dans votre exemple, il s’agisse d’une recommandation ou d’une publicité pour ce type de gant, et le pluriel me paraît mieux indiqué (un gant microfibres est constitué de plusieurs fibres) : « Gant microfibres, idéal pour les larges surfaces ».

Je fais de même et réponds à votre dernier commentaire à la question accord.

Les deux formules sont correctes.
Toutefois, la formule : « je ne veux pas que l’on s’imagine non plus qu’on ne peut… » me paraît lourde.
J’ai une préférence pour la formule : « je ne veux pas non plus que l’on s’imagine qu’on ne peut… »

Dans la mesure où les deux syntagmes ne sont ni synonymes, ni dans un rapport de gradation, l’accord au pluriel s’impose.

Que le mot soit ou non encore entré dans les dictionnaires, il convient d’adopter la soudure.
C’est la préconisation de l’Académie française et de la proposition de réforme de l’orthographe de 1990.
Mini-débat n’est certes pas faux, mais il vaut mieux écrire minidébat.

Concernant un autre cas, l’Académie française m’avait répondu : « Nous préconisons minisandwich. »

Je complète à nouveau mes réponses par une position de l’Académie française :
« Il est vrai que la prononciation courante diffère de celle préconisée par certains grammairiens. Mais elle est très ancrée dans l’usage. »