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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 21 août 2015 dans Accords

    Ledit distributeur propose des friandises.
    On écrira alors : « Un distributeur de friandises »

    Cette réponse a été acceptée par JAKY22. le 21 août 2015 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 21 août 2015 dans Accords

    • au contentieux
    • 
    Mais il faut écrire : « Voici la liste des locataires transmise au contentieux ».

    Cette réponse a été acceptée par JAKY22. le 21 août 2015 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 20 août 2015 dans Accords

    Merci, on sait !
    En fait, on s’adresse à une entité à travers son responsable.
    Il n’en demeure pas moins que communauté des communes est singulier, et c’est bien là l’essentiel puisque c’était, en quelque sorte, l’objet de la question posée.

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  • Grand maître Demandé le 19 août 2015 dans Accords

    C’est toujours mieux  d’écrire la phrase complète et mieux encore de l’intégrer dans son contexte, ce qui peut étre indispensable dans certains cas.
    il n’en demeure pas moins que la communauté des communes est singulier, et si l’on garde cette dénomination, on aura : la communauté des communes est exonérée

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  • Grand maître Demandé le 19 août 2015 dans Accords

    Non.
    Une communauté de communes est « un établissement public de coopération intercommunale [EPCI] regroupant plusieurs communes d’un seul tenant et sans enclave. » (Code général des collectivités territoriales), et à fiscalité propre. C’est donc une seule entité.
    Ainsi, on n’accorde pas au pluriel (il ne faut pas de s), on écrira :
    « […] alors que vous étiez auparavant exonérée… » ou « […] alors que vous étiez auparavant exonéré… », selon que l’on s’adresse à la communauté ou à l’établissement.

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  • Grand maître Demandé le 19 août 2015 dans Conjugaison

    Merci beaucoup.

    Dans mon idée première (que je n’avais, hélas ! pas suivie), le conditionnel exprimait que la participation n’existant théoriquement pas, si elle devait être demandée, alors, sa nouveauté romprait avec une longue tradition.
    Tandis qu’employer le subjonctif présent laisse supposer que la participation existe déjà, auquel cas, on peut dire : je conçois qu’on la demande, encore que sa nouveauté rompe avec une longue tradition (mais sa nouveauté rompt avec une longue tradition).
    Voilà pourquoi je préfère romprait à rompe.

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  • Grand maître Demandé le 17 août 2015 dans Conjugaison

    Peut-on aussi, c’était ma première idée, envisager :
    « Je conçois que l’on puisse demander une participation (elle ne saurait être alors que symbolique), encore que sa nouveauté romprait avec une longue et ancienne tradition, et elle se justifierait donc peu. » ?

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  • Grand maître Demandé le 15 août 2015 dans Accords

    Admirable et impeccable réponse, Chambaron.

    Les dictées de concours sont, en effet, souvent sources d’hésitations et d’ambiguïtés. Par exemple, certains écriront « des gardes-chasse », d’autres « des garde-chasse » (Académie française). Que choisir « pour faire plaisir au correcteur » ? « Une pièce attenant à son cabinet » ? « Une chambre attenante à la mienne » ? Comment fait-on ?

    Somme toute, cela n’a pas grande importance. En tout cas, il est vrai que « l’orthographe n’est pas une science exacte ».
    Il ne faut pas non plus, comme vous le dites d’excellente manière, réduire la langue à un exercice formel et sans âme.
    En fait, il est nécessaire de maîtriser l’orthographe (quand même), mais aussi de soigner son expression tout en éveillant l’intérêt par ce que l’on écrit.

    Je pense alors aux « Dictées de Pivot », particulièrement à celles rédigées par lui-même, pleines d’élucubrations et de mots tordus et obscurs (Pivot était spécialiste des noms de fleurs complexes et rares) qui, au fond, n’apportaient pas grand chose.
    Cependant, quand il abordait les accords à connaître, ses dictées étaient plus profitables.
    En revanche, les dictées rédigées par sa partenaire, Micheline Sommant, docteur en linguistique, tout en étant d’un niveau très élevé, étaient plus sobres, plus « normales », sans pièges « malveillants ».

    Le magazine « Timbrés de l’orthographe » organise, lui, un concours annuel très intéressant qui allie dictée et questions diverses sur la langue française, la grammaire, l’étymologie, la syntaxe, etc., et qui va, Chambaron, dans le sens de vos souhaits.

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  • Grand maître Demandé le 9 août 2015 dans Conjugaison

    Tout d’abord, il est inutile de dresser la liste (infinie) des verbes non pronominaux : ils se conjuguent sans les pronoms réfléchis me, te, se, etc.

    Ensuite, le verbe se taire n’est pas nécessairement  pronominal : il tait la vérité.

    Les verbes essentiellement (strictement) pronominaux sont ceux qui ne s’emploient qu’à la forme pronominale, ils sont inséparables du pronom réfléchi.
    Là aussi la liste est longue, en voici quelques-uns : s’absenter, s’enfuir, s’évanouir, se méfier, s’abstenir, s’envoler, se fier, s’obstiner, se repentir, s’ensuivre, s’exclamer, se souvenir, etc.
    On trouve aussi dans cette catégorie, des verbes existant à la voix active mais avec une signification différente (S’apercevoir = se rendre compte, apercevoir = voir. S’oublier = ne plus penser à soi, oublier = omettre).

    En revanche, je ne comprends pas bien votre dernière question. Je ne vois pas de règle particulière correspondante.

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  • Grand maître Demandé le 9 août 2015 dans Général

    Vous pouvez très bien solliciter un poste de collaborateur ou de collaboratrice dans la mesure où vous désignez la fonction, le métier.
    Bien que n’aimant pas ce terme, force est de constater qu’il est très employé dans le domaine professionnel. Certains cabinets libéraux (expertise comptable notamment) emploient des « collaborateurs » dont on peut se demander, d’ailleurs, s’ils sont bien considérés comme tels, mais cela est hors de notre propos.
    Ainsi, on peut engager un « collaborateur » comme on engagera un assistant.

    Vous pouvez donc solliciter (en tant que femme) un poste de collaborateur comptable ou de collaboratrice comptable.

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