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La première fonction de l’italique est de faire ressortir des mots, d’attirer l’attention sur eux, de les distinguer du reste du texte.
Attention, l’abus de l’italique ne peut qu’en affaiblir l’efficacité.
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S’il plaît à Minouche d’employer l’imparfait du subjonctif, pourquoi l’en empêcher ?
« d’avoir été » : pendant un moment
« que je fusse » : à ce moment-là
Il y a une nuance dont il faut laisser à Minouche le choix et le bénéfice.« avoir été » est plus léger ? Peut-être, mais cela dépend du style que l’on veut adopter.
Quant à l’emploi du terme « tsunami », comme le fait remarquer czardas, il fait plutôt penser à une catastrophe et n’est donc pas très heureux, car je doute que « miss » Sandra soit bercée par un tsunami.
On pourrait lui préférer un débordement, une averse, une multitude, une abondance, une cascade, un torrent, une infinité, une foule, une mer, une nuée… moi, j’aimerais assez « une pléiade ».- 8321 vues
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Pas de fautes pour moi. Cependant, il faut revoir la ponctuation.
« Bonsoir, « miss » Sandra, je suis flatté que je fusse présent dans tes pensées. Je pense beaucoup à toi et te souhaite, si ce n’est pas déjà le cas, d’être bercée par un tsunami de rêves qui te fera passer une bonne nuit. «« que je sois » : maintenant, dans l’instant, voire tout le temps.
« que je fusse » : à un certain moment dans le passé, à ce moment là.Vous avez choisi l’imparfait du subjonctif, c’est une question de style exprimant que, à un certain moment dans le passé, vous étiez dans ses pensées.
Cette réponse a été acceptée par Minouche. le 13 novembre 2015 Vous avez gagné 15 points.
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On pourrait, bien sûr, avoir l’indicatif, mais le subjonctif n’est pas incorrect. Il est amené par le caractère hypothétique introduit par comme si.
On n’est pas très loin de ce que les latins appelaient une attraction modale.
L’emploi du subjonctif, plutôt rare, est littéraire. On rencontre aussi rarement, en littérature, le plus que parfait du subjonctif.
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Je ne vois pas de problème de compréhension. Même sans contexte, la proposition énoncée est sans ambiguïté : les actions sont supposées traitées » peut d’ailleurs être une proposition indépendante.
Le contexte n’est pas nécessaire pour comprendre le sens qu’a voulu donner pgiroux à son exemple.
Quant à comprendre « les actions sont supposées traiter… », certainement pas.
Je ne vois pas non plus d’incorrection, tout au plus, c’est une question de style, on pourrait préférer : « les actions sont supposées être traitées », mais rien ne l’impose.Cette réponse a été acceptée par pgiroux. le 12 novembre 2015 Vous avez gagné 15 points.
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Les adjectis numéraux ordinaux (exemple : quatrième) sont variables.
Les noms désignant un jour de semaine sont également variables.On écrira donc : « Tous les quatrièmes mercredis du mois de dix-neuf heures à vingt heures. »
(Dans la langue soignée, on écrit les nombres en toutes lettres).
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Les deux sont possibles, indifféremment.
Des voyageurs ont subi des dégradations sur leurs véhicules : il y a autant de véhicules que de voyageurs, il y a donc plusieurs véhicules, le pluriel se justifie.
Des voyageurs ont subi des dégradations sur leur véhicule : chaque voyageur n’a qu’un véhicule (on n’imagine pas que chaque voyageur a plusieurs véhicules ni même qu’il y a un véhicule pour tous), le singulier se justifie.
Cette réponse a été acceptée par JAKY22. le 10 novembre 2015 Vous avez gagné 15 points.
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« Il est impossible de savoir précisément quand et comment est apparue l’expression familière au temps pour moi, issue du langage militaire, dans laquelle au temps ! se dit pour commander la reprise d’un mouvement depuis le début (au temps pour les crosses, etc.). De ce sens de C’est à reprendre, on a pu glisser à l’emploi figuré. On dit Au temps pour moi pour admettre son erreur – et concéder que l’on va reprendre ou reconsidérer les choses depuis leur début.
L’origine de cette expression n’étant plus comprise, la graphie Autant pour moi est courante aujourd’hui, mais rien ne la justifie. » (Académie française).
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Le verbe penser, à la forme interrogative, n’est pas nécessairement suivi du subjonctif si l’on veut marquer la réalité d’un fait.
À la forme affirmative :
Vous pensez que la véritable amitié est rare.
À la forme interrogative :
Pensez-vous que la véritable amitié est rare ?
« Le verbe de la subordonnée complément d’objet introduite par que se met au conditionnel quand cette subordonnée exprime un fait éventuel ou dépendant d’une condition :
Convenez-vous que vous auriez dû suivre une autre méthode ? » (le petit Grevisse, § 462).Votre exemple exprime une condition (si nous avions été riches), il faut employer le conditionnel dans la subordonnée introduite par que (nous aurions pu être heureux).
Penses-tu que nous aurions pu être heureux si nous avions été riches ?
Ce qui donne au passé :
Pensais-tu que nous aurions pu être heureux si nous avions été riches ?
Le verbe pouvoir est bien au conditionnel passé.- 9837 vues
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Les deux sont possibles :
On peut écrire « amateur de vin doux » (qui aime le vin doux) ou « amateur de vins doux » (qui aime les vins doux).On peut aussi écrire « […] la nature aromatique du cépage séduira les connaisseurs de vin racé. » (qui connaît le vin racé), ou « […] la nature aromatique du cépage séduira les connaisseurs de vins racés. » (qui connaît les vins racés).
Si l’on dit « le vin racé », on parle du vIn racé en général.
Si l’on dit « les vins racés », on parle de tous les vins racés.- 4150 vues
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