« des personnes » n’est pas COD (« je » n’aurais pas eu des personnes), donc pas d’accord :
« C’est un bon moyen de toucher des personnes que je n’aurais pas eu l’occasion de rencontrer. »

Connais pas ! Écrivez-le comme vous voulez, les règles de grammaire ne sont pas concernées.

« Pâques » est l’ellipse de « jour de Pâques ».
On écrira donc « Pâques costumé ».

En revanche, lorsqu’il s’agit de célébrer la fête chrétienne, le mot est féminin, pluriel : faire ses Pâques,  souhaiter de joyeuses Pâques.

Selon le contexte, la formule « je te reviens » a beaucoup plus de puissance, d’élan. Dans les cas d’une relation amoureuse renouée ou d’un retour après une longue absence, cette expression est tout à fait adaptée, elle est très expressive, très fraîche, très belle, porteuse de promesses, d’espoir.
À l’écrit, dans  une lettre, dans un texte littéraire, elle a sa place.

Plutôt que d’éluder la question, je me lance et vous donne mon point de vue.
Pour conserver votre rédaction, je dirais que  « aucune [des bières] » ne porte de date sur l’étiquette et non sur les étiquettes, ou encore que « aucune bière ne porte de date sur son étiquette » ;  donc, j’écrirais plus volontiers « Aucune des bières ne porte de date sur son étiquette. », c’est cette formulation qui a ma préférence.

« des sujets peuvent être coordonnés par une virgule »
« car les deux sujets ne sont pas synonymes »

Lorsque le sujet est composé de plusieurs noms synonymes ou en gradation, le verbe s’accorde avec le dernier d’entre eux :
C’est un incompétent, un incapable qui a été nommé à ce poste, c’est inadmissible !
Une heure, une minute, une seconde, me paraissait une éternité.

« Un dessin sur l’étiquette, une histoire, permettent de rassurer le consommateur. » Les sujets ne sont ni synonymes ni en gradation. Le verbe est donc au pluriel.

S’adressant ainsi à plusieurs personnes, le pluriel me semble plus adéquat : « Êtes-vous conformes… »
Cependant, s’agissant de personnes, l’adjectif conforme me paraît mal approprié. Peut-être pourrait-on dire « êtes-vous en conformité avec… »

« Si je reçois une subvention… »
« même si cela alourdit le texte… »

Il faut garder une cohérencee dans la rédaction, et donc conserver la même personne tout au long du texte.
Dans un contrat, le nous est de rigueur, a fortiori si l’on ne connaît pas à l’avance le nombre de signataires.
La forme impersonnelle est aussi très utilisée : « Les parties s’engagent à…, le preneur veillera à… ».

Rien n’est boiteux dans cette rédaction. Rien n’est choquant. Ce petit texte est plutôt bien formulé. Consulter et consultation sont assez éloignés, la répétition, si répétition il y a, me paraît tout à fait acceptable.

« que je dise tout » est une proposition complétive ; proposition conjonctive complément de l’attribut « venu ».