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« Au cas où » exprime l’hypothèse et est toujours suivie du conditionnel.
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Les « si » n’aiment pas les « rais », nous aurions donc au conditionnel :
« J’étais sûre qu’elle me dirait quelque chose si j’avais sa visite. »À l’indicatif :
« J’étais sûre qu’elle me dirait quelque chose quand j’aurai sa visite. »- 55823 vues
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Donnez à votre phrase plus de contexte, complétez-là.
Il a dit à mon père de ne pas s’en faire et que je retournerai à la maison bientôt. (Futur).
Il a dit à mon père de ne pas s’en faire et que je retournerais sans doute à la maison si tout s’arrangeait. (Conditionnel).- 4384 vues
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C’est « un » réseau de gaz et d’oxygène qui est présent, et donc sujet (et non le gaz et l’oxygène), donc on écrira :
« Un réseau de gaz et d’oxygène est présent. »- 6161 vues
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czardas, vous vous fiez à ce que vous avez lu dans Grevisse, mais j’ai l’impression que vous n’avez pas tout lu ou que vous avez mal lu :
« Le sing. s’emploie surtout quand le nom n’a pas de déterminant : Pâques fut célébré avec beaucoup de pompe. […] Je vous paierai à Pâques prochain ( Ac. 1935). […] Ou alors était-ce à Pâques précédent ? (Cl. Mauriac). »
N’y a-t-il pas là deux épithètes (prochain, précédent) ? Et il n’y a pas de déterminant. Comme dans « Pâques costumé ».
« Le plur. s’emploie surtout quand le nom est accompagné d’un déterminant. » (Ce n’est pas le cas ici : Pâques costumé).
« Pâques s’emploie aussi au fém. plur. sans article, mais avec épithète dans les deux expressions anciennes Pâques fleuries (dimanche des Rameaux) et Pâques closes (1 er dimanche après Pâques) ; — et dans les formules de souhait : Joyeuses Pâques, monsieur l’abbé ! ( Cesbron) — Et bonnes Pâques ! (Curtis). » Grevisse semble en limiter l’emploi.
« On trouve parfois le fém. plur. dans d’autres cas : […] — Pour Pâques suivantes, j’offris à mon fils d’aller passer quinze jours sur une autre côte ( Hériat). » Grevisse est ainsi très loin de généraliser l’emploi du féminin pluriel. (Le Bon usage, § 473).Donc, Pâques costumé me semble correct, ce qui n’excut pas Pâques costumées, mais cette dernière forme ne semble pas être la règle pour Grevisse qui semble plutôt vouloir adopter Pâques costumé, contrairement, czardas, à votre interprétation.
Pour être complet, citons :
• Girodet, dans Pièges et difficultés de la langue française :
« Pâques (féminin pluriel, sans article et avec un P majuscule).
Pâques. Fête chrétienne : J’ai reçu une carte me souhaitant « Joyeuses Pâques ! » Ne s’emploie qu’avec une épithète.
[…] Pâques (masculin singulier, sans article et avec un P majuscule). Désigne également la fête chrétienne : Enfin Pâques est arrivé ! […] N’est jamais accompagné d’une épithète. » Là, on peut dire qu’il y a contradiction.
• Le Dictionnaire des difficultés de la langue française, Larousse :
« Pâques, fête chrétienne, s’emploie toujours sans article et au masculin singulier (quoique terminé par s): […] Quand Pâques sera venu (Acad.). Je vous paierai à Pâques prochain (Id.).
Toutefois, il est féminin pluriel quand il est accompagné d’une épithète, comme dans : Pâques fleuries. Pâques closes. [Rappelons-nous la signification qu’en donne, ci-dessus, Grevisse et la précision qu’il donne : « dans les deux expressions anciennes. [Ce qui, pour moi, en limite l’emploi]. »
• Enfin, la dernière position de l’Académie française :
« Le s de Pâques, pour parler des fêtes catholique ou orthodoxe, marque bien, à l’origine, un pluriel, mais le mot ainsi orthographié s’accorde généralement au masculin singulier : à Pâques prochain, quand Pâques sera passé, etc. »
À part Girodet, tout le monde semble à peu près d’accord pour écrire « Pâques costumé », ce qui ne peut exclure, à mon sens, Pâques costumées, mais le masculin singulier a ma préférence : Pâques costumé.Excusez-moi d’avoir employé le mot « rigide », un peu fort, qui ne s’adressait pas particulièrement à vous, d’ailleurs. J’aurais plutôt dû dire : la règle n’est pas intangible.
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J’accompagnerais aussi d’un adverbe : C’est aussi bien.
J’écrirais alors : Je pense que recevoir un cadeau de la part de chacun d’entre nous lui fera aussi plaisir.
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« Le s de Pâques, pour parler des fêtes catholique ou orthodoxe, marque bien, à l’origine, un pluriel, mais le mot ainsi orthographié s’accorde généralement au masculin singulier : à Pâques prochain, quand Pâques sera passé, etc. » (Académie française).
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Vous avez parfaitement raison, czardas. T.L.F.I. : « Quelle crise de la confiance, après des Pâques neigeuses comme celles de cette année! » (Alain).
Quoique… j’ai analysé l’expression comme désignant le jour de Pâques costumé ; sans article et avec élision on a Pâques costumé (le jour).
Par ailleurs, l’Académie française donne l’exemple : « Je vous paierai à Pâques prochain. » (le jour de Pâques prochain).
Ainsi, si « Pâques costumées » est plus rationnel, « Pâques costumé » ne me choque pas. Je crois qu’il ne faut pas être trop rigide.
Qu’en pensez-vous ?- 11622 vues
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Une vitrine désigne la devanture d’un local commercial. Elle peut aussi désigner une armoire vitrée où l’on expose des objets de collection.
Les vitres seront toujours des vitres et ne portent pas de nom spécifique.- 2845 vues
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Les arguments qui nous ont servi : qui ont servi à qui ? à nous, nous est COI, donc pas d’accord.
SD a raison, le nous est redondant, il est de trop, il faut écrire :
Les arguments qui ont servi à étayer notre argumentation.Cette réponse a été acceptée par Xella. le 14 mars 2016 Vous avez gagné 15 points.
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