Plaire, déplaire, complaire sont des verbes intransitifs, ils n’ont jamais de COD, donc leur participe passé ne s’accorde jamais.

Elles se sont déplu.
Elles se sont plu à le taquiner.
Elle s’est complu dans sa mélancolie.

C’est très ambigu, on ne peut pas trancher.

Cela dépend des intentions de l’auteur :
• « Je ne souffrirai pas une question ! » : Ne me pose pas de question.
• Cas général : Ne me pose pas de questions.

S’il s’agissait d’une dictée, les deux graphies devraient être acceptées (l’intention de l’auteur n’est, a priori, pas connue).

« se » est ici COI. Les lutteurs ont tordu le bras à qui ? à eux, soit à « se ».

C’est la même chose pour l’exemple bien connu :
Elles se sont lavées. Elles ont lavé quoi ? elles-mêmes, c’est-à-dire « se » (COD).
Elles se sont lavé les mains. Elles ont lavé quoi ? les mains (COD). À qui ? à elles-mêmes, c’est-à-dire à « se » (COI).

En fait, il s’agissait d’une proposition du Certificat Voltaire pour laquelle aucune réponse n’était donnée.

czardas, l’explication de Pascal est sans surprises et, à mon sens, ne permet pas de trancher.

joelle, vous avez abondé dans mon sens, à savoir qu’il peut y avoir les deux points de vue.
Les internautes peuvent agir de concert vers un même but, en se concertant.
Ils peuvent aussi parcourir la Toile ensemble, de conserve.

Mon idée est que « de concert » contient une idée d’action pour laquelle on se concerte, « de conserve » développe une idée de déplacement que l’on fait ensemble (ils ont marché de conserve).

Dans la proposition du Certificat Voltaire, il y a bien l’idée d’action commune, faite ensemble, mais laquelle précisément ?
• Il n’y a pas, malgré l’emploi du verbe « parcourir », de mouvement proprement dit, pourtant, ils parcourent ensemble la Toile.
• On ne peut guère plus dire que les internautes se sont concertés pour un acte quelconque. Pourtant, à moment donné, il y a bien, entre eux, une concertation sur la Toile.

Je dirais, pour conclure, que les deux termes sont inadaptés et au pire qu’ils peuvent être employés tous les deux, comme le souligne joelle.
Seulement, au Certificat Voltaire, il faut choisir l’un  ou l’autre. Peut-être peut-on avancer de conserve à cause de la présence du verbe parcourir.

En tout cas, le Certificat Voltaire devrait s’abstenir d’imposer des choix si ambigus, voire inadaptés.

Dans le langage courant, on dit « je préfère » ou « je ne préfère pas ».

Le « ne » est indispensable à une réponse négative.

« préférer » est un verbe teansitif auquel est attaché un COD :
Je préfère cette robe.
Je ne la préfère pas.

Ainsi, la bonne formulation sera :
– « Voulez-vous appeler la police ?
– Je ne le préfère pas. »

« du cerisier » est complément du nom « branches ».

On peut accepter « plusieurs lignes de transport en commun » (le transport en commun se généralise).

Mais il est préférable d’écrire « plusieurs lignes de transports en commun », car on dit plus volontiers « les transports en commun ».

« À la suggestion de… » est correct, mais je préfèrerais l’employer à l’intérieur d’une phrase telle que :
« Je n’ai pas voulu céder à la suggestion du président du jury. »

« Sur la suggestion de… » est, bien sûr, tout à fait correct :
« Sur la suggestion de la magistrate, j’ai corrigé mon dossier. »

En revanche, dans la mesure où il existe la formule « sur la suggestion de… », la formule « sous la suggestion de » est totalement inadéquate. Il vaudrait mieux dire « sous l’influence de son père, il a toujours été juste. »

Il ne faut pas croire qu’il faut des majuscules partout, au contraire, il faut en être économe. C’est le cas ici.
Comme « monsieur » («  Bonjour monsieur »), « messire » ne prendra pas de majuscule.
« Je suis allé voir messire Fabien. »
« Bien le bonjour, messire. »
« Je suis messire Fabien. »

Il faut accorder le pronom avec le sujet comme le dit Philippe.
Il faut dire « elle était hors d’elle », mais on peut dire « être hors de soi ».