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  • Grand maître Demandé le 14 juin 2016 dans Question de langue

    PhL a raison, le découpage en plusieurs phrases est bienvenu. Voici, en essayant d’être le plus proche possible de votre idée, ce que je vous propose :

    [x] possède déjà toutes les informations requises qu’ il faudrait tout simplement rassembler en un document unique.
    Le logiciel n’ est plus en mesure de me délivrer un [ document ]. Je suis moi-même dans l’impossibilité d’en modifier un ayant valeur juridique.
    J’ai donc pensé regrouper toutes les données dont je disposais en un seul tableau afin que [x], après vérification, puisse le valider et y apposer son tampon.

    Nous sommes, là, obligés de répéter [x] du fait de l’éloignement et qu’il y ait plusieurs phrases.

    Cette réponse a été acceptée par Wanna. le 14 juin 2016 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 14 juin 2016 dans Question de langue

    On pourrait l’alléger, mais elle est correcte, sauf à revoir deux petits détails :
    • pour éviter la répétition de « document » : « l’impossibilité d’en modifier un ayant valeur juridique »
    • pour éviter  la répétition de [x] : « afin qu’aprés vérification, il puisse le valider ».

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  • Grand maître Demandé le 13 juin 2016 dans Général

    Tout d’abord utopique est un adjectif, utopiste est un nom.

    On emploiera utopique pour qualifier quelque chose d’irréalisable : une doctrine utopique.
    On emploiera utopiste pour désigner une personne qui a des vues utopiques, irréalisables : c’est un rêveurc’est un utopiste.

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  • Grand maître Demandé le 10 juin 2016 dans Accords

    Je reviens sur la question, car cela s’impose, joelle ayant tout à fait raison.
    Je viens de trouver une réponse précieuse (très tardivement, il est vrai, mais mieux vaut tard…). Celle-ci émane de l’Académie française :

    « On ne doit pas procéder à des extensions d’adjectifs, qui sont fautives, pour remplacer des tours prépositionnels corrects. Porcin signifie « relatif au porc, qui évoque le porc ». On pourra parler d’yeux porcins, mais on dira un éleveurs de porcs et non un éleveur porcin. On dira […] variole équine ou pied équin, […] mais on dira un éleveur de chevaux. Carte électorale s’emploie pour désigner le découpage d’un territoire […] Elle ne devrait pas se substituer à carte d’électeur

    Ainsi éleveur canin ou éducateur canin ne sont pas corrects.

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  • Grand maître Demandé le 8 juin 2016 dans Question de langue

    czardas,  il me semble que les significations de faire tomber et de laisser tomber sont très ténues :

    Laisser faire et faire faire en sont un bon exemple, ici laisser faire a une connotation passive, faire faire a une connotation active.
    Ainsi, laisser tomber une affaire peut vouloir dire ne plus s’en occuper (on sera passif), il a fait tomber exprès le bol de son « ennemi juré » dit bien que l’acte est volontaire.

    Donc, il me semble que les deux formules peuvent se rejoindre, on les appliquerait alors selon les situations, en notant que, dans certains cas on peut employer les deux. Ai-je raison ?

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  • Grand maître Demandé le 6 juin 2016 dans Accords

    Les deux sont possibles.

    On rencontre par exemple :
    Des graines de melon  (on considère qu’il n’y a qu’un seul melon ou que melon est une entité).
    Des graines de haricots (on considère qu’il y a plusieurs haricots).

    Pris au sens général, au sens large, sourire est une entité, on aura :
    Tu as semé des graines de sourire.
    Mais, probablement, les sourires seront nombreux, on aura :
    Tu as semé des graines de sourires.

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  • Grand maître Demandé le 2 juin 2016 dans Général

    Faire long feu, ne pas faire long feu.

    Voici la position de l’Académie française sur votre exemple :

    « Expr. Faire long feu, se dit d’une arme où la poudre brûle trop lentement, dont le coup est lent à partir ou ne part pas. Fig. Cette entreprise a fait long feu, n’a pas abouti. Son histoire fait long feu, traîne en longueur. Cette plaisanterie a fait long feu, a raté son effet. Ne pas faire long feu, ne pas durer. Leur bonne entente n’a pas fait long feu. [Dictionnaire, entrée Feu].

    Ne pas faire long feu signifie donc « ne pas durer » : on dira plutôt la réunion n’a pas fait long feu.

    De fait, on évitera de construire cette phrase [Un quart d’heure ! Il n’a pas fait long feu dans cette réunion] avec un sujet de personne en ce sens : ne pas s’éterniser est bien plus adéquat. »

    Voilà qui éclaire cette fichue question.  😉  

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  • Grand maître Demandé le 26 mai 2016 dans Général

    On ne peut traiter ce sujet qu’au cas par cas tant il est vaste.
    Voici ce que l’on peut néanmoins avancer, brièvement :

    On dit allez chez le médecin et non ºaller au médecin.
    On dit la voiture de Julie et non la voiture « à »  Julie.
    En revanche, lorsque le complément est un pronom personnel , il se construit avec à : un ami à moi.
    On dira « un pot à eau » (pour mettre de l’eau) et « un pot d’eau (contenant de l’eau).
    On dira « deux ou trois livres » et non « deux « à » trois livres. » (mais on peut dire « deux à trois euros ».
    Je l’ai entendu dire à Sophie est correct, mais on dira mieux par Sophie.
    On ne dit pas °de façon à ce que, mais on dira de façon que.
    On peut dire c’est à vous à jouer (c’est votre tour), mais on dira c’est à vous de tenir vos engagements (idée de devoir).
    À nouveau sous-entend de la même façon, de nouveau sous-entend d’une autre façon (d’une manière différente).
    L’emploi de « il y eut deux soldats de tués » était autrefois critiqué, il est aujourd’hui admis.
    L’emploi suivant de à est correct : « il est admiré de ses collègues », dans le registre soutenu pour exprimer un sentiment.
    On dira c’est ma faute et non  ºc’est « de » ma faute.

    etc…, etc., … les cas sont trop nombreux et il n’y a aucune règle de 😉  caractère général.

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  • Grand maître Demandé le 26 mai 2016 dans Général

    On ne peut pas aborder cette problématique comme cela, tant les emplois sont nombreux et variés :

    à bicyclette (ºen)
    à la manière de…
    à
    l’avance
    °à Julie (de Julie)
    à nouveu (de nouveau)
    à chaque fois (chaque fois)
    ºdeux  à trois (deux ou trois)
    etc., etc., …

    ºC’est à vous à parler (de parler)
    ºC’est la faute à (la faute de)
    ºC’est « de » ma faute (C’est ma faute)
    ºC’est « de » cette affaire dont… (C’est l’affaire dont… )
    J’ai deux jours de libre
    Je préférerais mourir plutôt que de… (plutôt que… )
    etc., etc., …

    Il faudrai cibler davantage vos questions, le sujet est trop vaste.

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  • Grand maître Demandé le 25 mai 2016 dans Accords

    Hormis les cas comme ceux que vous citez, où le nom ne s’emploie qu’au pluriel (des funérailles), aucun, aucune, ne prennent jamais le pluriel.
    Ces questions n’ont obtenu aucune réponse.

    Donc:
    « … sans qu’aucune des deux parties ne se soit accordée.

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