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Se plaindre n’est pas un verbe essentiellement pronominal : on peut plaindre quelqu’un comme se plaindre à quelqu’un – ou auprès de quelqu’un- de quelqu’un ou de quelque chose.
Dans ces conditions, quand le participe passé n’est pas suivi d’un infinitif, l’accord dans l’emploi avec l’auxiliaire être est le même que celui avec l’auxiliaire avoir : elles ont plaint qui ? « elles-mêmes », représenté par « se ». Et donc : « elles se sont plaintes » dans tous les cas.
Cela dit, même la question de l’accord des verbes essentiellement pronominaux est loin d’être simple : voir https://www.question-orthographe.fr/question/accord-du-participe-passe-des-verbes-pronominaux-2/
Cette réponse a été acceptée par Cyril17. le 9 janvier 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour. Il est impossible de répondre à votre question sans contexte ! Donnez davantage de détails pour qu’il soit possible de vous aider. Par exemple : « Je voulais sortir » et « J’aurai dû sortir » n’ont pas du tout le même sens. Ce n’est donc pas une question de « bonne phrase » mais de sens.
Et attention, il y a un accent circonflexe sur dû au singulier : j’aurais dû. Vous pouvez consulter cette page : https://www.projet-voltaire.fr/regles-orthographe/du-ou-du/
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En effet… pourquoi ? Le mot, qui vient du latin, est couramment utilisé en anglais. Malgré son origine latine, c’est donc un anglicisme et, dans ce cas précis, se demander quel en est l’intérêt est légitime.
En anglais, alumnus est surtout utilisé pour signifier « ancien élève ». En latin, il signifiait élève ou disciple. Il me semble qu’il apparaît surtout dans l’expression « réseau d’alumni », autrement dit réseau d’anciens élèves. Je ne pense pas qu’il soit employé dans le sens de diplômé, à moins de supposer que tous les anciens élèves ont réussi à obtenir leur diplôme.
En résumé, vous pouvez parfaitement utiliser l’expression « ancien élève » au lieu d’alumnus, vous serez mieux compris !
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1) Peu de peut être suivi d’un nom au singulier ou au pluriel, selon le cas. « Peu de chance » n’aurait pas de sens, de même que « peu de risque » : même s’il y en a peu, il y a plusieurs chances et plusieurs risques. Donc, il faut « peu de chances » et « peu de risques« . Mais, par exemple, on peut dire : « il y a eu peu de vent aujourd’hui ». Il y a un article sur ce sujet sur le site de l’OQLF : http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?T1=peu+de&T3.x=0&T3.y=0&id=1685
2) Il me semble que se douter que doit être suivi de l’indicatif (contrairement à douter que qui est suivi du subjonctif) :
Je me doute que tu ne peux pas venir.
Je doute que tu puisses venir.
Douter que introduit un élément conditionnel (pas de certitude) et donc subjonctif
Se douter que introduit un élément certain, et donc indicatif.(En revanche, attention à ne pas mettre, comme dans votre post, Je me doutes avec un s bien mal venu !)
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On dit bien « avaler une couleuvre ». Et donc, une fois le savon passé, le personnage en question a avalé la couleuvre qu’avait manifestement représenté ce savon. L’auteur a ironiquement mêlé les deux expressions. En tout cas, c’est ainsi que je le comprends.
Quel est l’auteur en question ?- 2695 vues
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Oui. « Je connais cette fille pour avoir vu elle » : » l’ » COD placé avant le verbe avoir, on accorde : « Je connais cette fille pour l’avoir vue hier (…) ».
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Merci pour cette réponse très claire.
Je suis surpris pour autoécole : même si, d’après les informations que vous donnez, le trait d’union reste licite, il n’est plus très « tendance ». Sauf qu’on ne « voit » plus que « auto » n’est pas un préfixe mais un substantif. Mais comme, visiblement, la formation des mots composés se fait désormais sans trait d’union en dehors de cas qui créeraient une difficulté de lecture, accolons…- 3130 vues
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« Je pense (…) et je serais (…) » est correct. « Je maîtrise (…) et suis capable (…) » est correct aussi. Mais répéter le » je » ne poserait pas vraiment un problème de lourdeur : « (…) je maîtrise les outils informatiques et je suis capable de m’adapter (…) »
En tout cas, je ne vois de problème de syntaxe dans aucune des deux situations.Sinon, comme vous le fait remarquer Joëlle, on ne dit pas « de par », en tout cas pas dans cette situation. Voici ce qu’on lit sur le site de l’Académie française :
« La locution prépositive de par a encore son sens premier « de la part de », « au nom de », dans des formules figées comme de par le roi, de par la loi, de par la Constitution, de par la justice. Mais, en dehors de ces cas et de la forme de par le monde, il est préférable de ne pas employer cette locution en lieu et place de formes comme par, du fait de, grâce à, étant donné, etc. » http://www.academie-francaise.fr/de-par.
Ainsi, en suivant cette recommandation, peut-être vaut-il mieux écrire : « Du fait de l’intérêt que je porte aux nouvelles technologies (…) ».- 5106 vues
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Il ne faut pas de virgule après entreprise. Le (groupe) sujet est « réaliser (…) et animer (…) » et il n’y a aucune raison de le séparer du verbe : ni précision, ni incise, ni rien qui justifierait une virgule avant le verbe. La virgule serait fautive.
Sinon, je suis gêné de lire « ont été les occasions de mettre à profit (…) ». Il me semble préférable d’écrire « ont été l’occasion de (…) », ou « une occasion de (…) », même s’il y a deux groupes sujets indiquant des actions différentes.- 2751 vues
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