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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 28 janvier 2018 dans Question de langue

    Pour compléter, il faudrait ajouter un verbe pour permettre le second « complément » :
    Je me réfugie auprès de mon père pour me protéger de mes adversaires.

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  • Grand maître Demandé le 28 janvier 2018 dans Question de langue

    Il s’agit bien des charmes de sa dame, de ses appâts.
    « Le mari dort tranquille, sûr du charme de sa femme?  » Il dort tranquille, fier que les charmes de sa femme lui soient réservés – du moins le croit-il.

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  • Grand maître Demandé le 28 janvier 2018 dans Question de langue

    Il faut dire que c’est… la langue de Molière !

    L’autre voit (…) sa femme couverte de cadeaux et ne manifeste aucune jalousie sous prétexte qu’elle lui dit qu’il s’agit d’hommages à sa vertu
    Il est infâme parce qu’il comprend très bien pourquoi sa femme est couverte de cadeaux et accepte la raison invraisemblable avancée par celle-ci. Il est « plus chanceux » que le précédent : on fait des cadeaux à sa femme (ce qui le dispense peut-être de lui en faire) alors que le précédent doit s’attendre à ce que les amants de sa femme s’apprêtent à le dépouiller puisqu’elle les tient informés du bien qu’il a amassé.

    Du point de vue de la construction des phrases, le texte est évidemment soumis à la licence poétique. Mais, ici, le  » d’  » de « d’aucun » se comprend peut-être mieux en remettant la phrase dans l’ordre qu’elle aurait dans un texte en prose : (L’autre) d’aucun soin jaloux n’a l’esprit combattu = l’autre n’a l’esprit combattu d’aucun soin jaloux =  son esprit n’est assailli par aucun souci de jalousie = il ne manifeste  aucune jalousie.

    « son mari plaint le galant des soins… » : plaindre est à prendre au sens propre. La femme a convaincu son mari qu’elle ne prodigue aucun « soin »  (= les soins que deux amants se prodiguent, c’est un euphémisme, je vous laisse deviner de quels soins il s’agit). Le mari plaint celui qui fait la cour à sa femme : il croit sa femme quand elle lui assure ne prendre soin que de lui et pas de l’autre… alors que c’est évidemment faux.

    Cette réponse a été acceptée par Mollysh. le 28 janvier 2018 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 27 janvier 2018 dans Question de langue

    Une heure donnée est toujours fixe. « À  l’ heure fixe » (avec l’article défini, il s’agit bien d’une heure donnée) est donc fautif : il est arrivé à l’heure suffit et ajouter « fixe » serait une faute. En revanche, si un phénomène se reproduit toujours à la  même heure, on pourra par exemple écrire : Il arrive à heure fixe.

    Cette réponse a été acceptée par Di81. le 27 janvier 2018 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 27 janvier 2018 dans Général

    Il faut le « s » : même s’il n’en reste que peu, on porte en général plusieurs vêtements.

    Cela dit, on peut utiliser vêtement au singulier :
    1) Comme nom collectif : l’industrie du vêtement
    2) Comme synonyme de façon de se vêtir« Enfin tout son vêtement avait un caractère exagéré (BalzacIllus. perdues, 1837, p. 86) » (exemple donné par le CNRTL ici I A 4).

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  • Grand maître Demandé le 27 janvier 2018 dans Accords

    Bonjour Mouddakir.
    « An » est un substantif masculin : on doit donc dire : « un an ».
    En revanche, « année » est féminin et l’on doit dire : « une année ».

    Les deux mots ont la même définition mais pas tout à fait le même usage. Ainsi, on utilisera plus volontiers « année » pour exprimer une durée imprécise : « J’ai passé plusieurs années  à étudier cette matière ». « An » s’emploie plutôt précédé d’un nombre cardinal : « j’ai passé trois ans à étudier cette matière », mais, après un ordinal, c’est « année » qui est employé : « C’est la troisième année que j’étudie cette matière ».

    « An » s’impose dans l’expression « Nouvel An ».

     

    Il y a sans doute encore d’autres cas.

     

     

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  • Grand maître Demandé le 26 janvier 2018 dans Conjugaison

    Je pense que les deux sont possibles. En fait, le CNRTL l’affirme pour « apparaître » :
    « Rem. Apparaître peut se conjuguer avec avoir ou être, mais être l’emporte nettement, surtout à l’époque contemp., en partic. pour des raisons d’euphonie (hiatus au passé composé : a apparu). » C’est ici.

    Pour réapparaître, la raison d’euphonie disparaît, mais la formation du mot conduit assez naturellement à le conjuguer comme « apparaître ».

    Cette réponse a été acceptée par Tony. le 26 janvier 2018 Vous avez gagné 15 points.

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  • Grand maître Demandé le 26 janvier 2018 dans Accords

    Oui, bien sûr, il faut écrire « qui t’inquiètes ». Le sujet est certes un pronom qui se rapporte à « ami », mais celui-ci  est en apposition à « tu » : ce qui compte est l’interpellation à la deuxième personne (« tu es là »).

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  • Grand maître Demandé le 26 janvier 2018 dans Général

    Il s’agit d’un terme technique, il vaut mieux suivre l’orthographe de ceux qui l’ont forgé – c’est, apparemment, ce que recense le site cité par Evinrude (France Terme).

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  • Grand maître Demandé le 25 janvier 2018 dans Accords

    « En tenue », quelle soit grande, d’apparat ou autre, est au singulier : chacun porte une tenue.

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