Bonjour.

Aujourd’hui, on écrit le plus souvent de toute façon, au singulier donc.

La question a déjà été abordée sur ce site, ici. Certaines réponses sont sans doute un peu péremptoires, les deux orthographes étant utilisées sous des plumes autorisées jusque dans un passé relativement récent.  Vous pouvez lire une discussion ici, où vous verrez que les Académiciens du siècle dernier voyaient une différence de sens.

Il ressort de tout cela qu’on ne fait plus guère de différence de sens et que le pluriel, sans être vraiment fautif, est de moins en moins employé.

Bonjour Minouche.

Vous devez écrire  Il nous est interdit de croire. ait est le subjonctif présent de l’auxiliaire avoir<.

Bonsoir.
On parle effectivement de salle de sport , éventuellement, mais beaucoup plus rarement, de salle de sports. On dit aussi gymnase. Ou centre sportif.

Le mot le plus employé est gymnase.

Bonjour Francis.

Clef ou clé, l’un ou l’autre se dit ou se disent…

Plus sérieusement, les deux graphies sont admises, la forme clé étant effectivement la plus fréquente depuis plusieurs décennies comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessous :

Mais la forme clef n’est pas fautive.

Bonjour.

Tout d’abord, vous écrivez afférent : il s’agit donc de l’adjectif et non du participe présent éventuel du verbe afférer. Comme la construction est afférent à quelque chose, il me semble que la phrase que vous citez est correcte. Mais il me semble aussi qu’on pourrait avantageusement se passer du « y ».

Le verbe afférer est considéré comme désuet et il n’a pas (plus ?) de référence au CNRTL. Wikitionnaire dit même que l’emploi de afférant (participe présent) est fautif parce que le verbe afférer n’est plus usité.

Maintenant, il s’agit d’un texte qui paraît relever du langage juridique où les mots et tournures par ailleurs désuètes abondent. C’est pourquoi vous pouvez peut-être écrire : […] de critères de répartition y afférant comme y afférents.

Mais d’autres contributeurs plus versés dans le domaine du droit seront peut-être plus précis.

Bonjour.

Simplement pour répondre à votre question sur la possibilité du singulier. Au singulier, il faut entendre la phrase comme s’il y avait :
Le fait de venir au gymnase et travailler ses exercices devrait améliorer mon niveau.

Autrement dit, venir au gymnase et travailler ses exercices peut être compris comme une seule et même action.

Mais, comme le dit Tony, vous pouvez sans problème accorder au pluriel.

Bonsoir Ayoub.

Du point de vue de la concordance des temps, votre phrase me paraît correcte.

Sinon, en dehors d’un contexte bien précis (langue très soutenue ou, au contraire, volonté de dérision), l’emploi de l’imparfait du subjonctif, et donc de son plus-que-parfait, conduit à des phrases qui peuvent paraître lourdes. À votre place, j’essaierai une autre formulation. Par exemple :
Il m’avait exprimé son regret de ne pas m’avoir vu poser ma candidature quand j’étais en première année .

Bonjour Fabien.

Pourvoir quelque chose signifie lui fournir ce qui est nécessaire. C’est en ce sens qu’on peut comprendre l’expression pourvoir un poste, ou le poste a été pourvu.
Le substantif pourvoi est bien formé sur le radical du verbe, mais son sens se limite (aujourd’hui ?) au sens juridique de « recours » (sens que possède aussi le verbe, comme dans se pourvoir en cassation).

Je ne crois donc pas qu’on puisse parler du « pourvoi » d’un poste. On peut tourner la phrase autrement pour parler du fait que le poste a été pourvu ou parler de l’attribution du poste.

Je réédite le message : je viens de trouver l’expression « pourvoi de poste » dans un document administratif… mais cela ne prouve rien, les rédacteurs locaux pouvant se  tromper. Le CNRTL ne donne pas (plus ?) ce sens au mot pourvoi. Voir ici.

Jean Bordes a déjà tout dit. Juste pour ajouter une autre citation à l’appui de la formulation « Du plus loin que » :

« Du plus loin que me revienne
L´ombre de mes amours anciennes […] »

Tel est le début de la chanson de Barbara Ma plus belle histoire d’amour. 

Bonjour Fabien.

Des correcteurs en activité pourraient sans doute nous en dire davantage. Il y a quelques années en tout cas, on indiquait souvent le nom d’un service par une capitale. Par exemple, le service Emballage de l’entreprise de distribution X. De même, le ministère des Finances ou le ministère des Affaires étrangères. De ce point de vue, écrire le service du Dictionnaire est cohérent.

Il me semble cependant que, aujourd’hui, la tendance est à tout mettre en minuscules. Peut-être les gens de l’Académie qui vous ont répondu sont-ils aussi âgés que moi ! Plus sérieusement, je ne suis pas certain qu’il y ait aujourd’hui une règle fixe. Les conventions locales (comme celles d’un organe de presse, d’une collection de maison d’édition) peuvent varier.