Effectivement, le pluriel de tout substantif est touts. Merci à vous deux pour cette précision.

Bonjour Barker.

Ne dit-on pas plutôt : avec des petits riens, on fait un grand tout ?

À vrai dire, je n’imagine pas de mettre de grands tous : à rien, et même à riens, on oppose le tout. Ou alors, il faudrait écrire de grands tout… mais je ne m’y risquerai pas ! Je vous conseille la formulation ci-dessus.

Ici, qui de vous deux = qui de toi ou de lui : cela ne peut toujours pas être  les deux en même temps.

Bonjour.

Joëlle a répondu sur les questions orthographiques.

Deux précisions d’ordre typographique. Dans XXIe siècle, XXI doit être saisi en petites capitales (CTRL+MAJ+K dans Word) et le ‘e’ en lettres hautes (quand elles ne sont pas disponibles, et elles ne le sont pas dans Word, on utilise le ‘e’ exposant).

Pour les numéros des républiques, il me semble que, s’il faut bien des chiffres romains, il s’agit des lettres capitales ordinaires et non des petites majuscules. Pour le ‘e’, même chose que ci-dessus.

Bonjour Tony.

1) Votre phrase est correctement orthographiée, mais elle risque de ne pas apparaître comme telle. Il est préférable de tourner les phrases de façon qu’il n’y ait pas de retours intempestifs – « tiens, une faute d’orthographe ». Les frères et leur soeur sont heureux de se retrouver peut être une formulation qui évite cet écueil. Joëlle en a proposé une autre.

2) Un élu supplémentaire pour chaque tranche de 800 personnes. Il faut le singulier.

3) Joëlle a répondu sur l’accord. Une remarque sur la ponctuation. Il faudrait la virgule si la phrase était : Dans cette classe féminine, une déléguée sera nommée. En revanche, avec l’inversion, il ne faut pas la virgule : Dans cette classe féminine sera nommée une déléguée. On et une virgule, ou entre virgules, sitôt qu’un mot ou un groupe de mots est déplacé de sa position « normale » dans la phrase – sujet + verbe + compléments en tout genre : Une déléguée sera nommée dans cette classe féminine.  En cas d’inversion, l’ordre est… inversé mais aucun mot ne se trouve déplacé.

Bonjour blablache.

ChristianF a très bien expliqué pourquoi la conjonction appropriée est ou. Je reviens seulement sur la question de la ponctuation.

de François ou de Paul  s’interpose entre le sujet (qui) et le verbe. C’est (encore !) une question d’apposition et les virgules ne sont pas facultatives mais nécessaires. Cela a déjà été discuté dans un autre fil.  Pour la clarté, je cite l’article du site de référence québécois BDL :

Tout élément mis en apposition est détaché du reste de la phrase au moyen d’une virgule double, qui souligne ainsi son caractère accessoire. À l’oral, l’apposition est caractérisée par une légère pause avant et après, et par une baisse de l’intonation.

Plus loin, le site précise : Bien sûr, lorsque l’apposition est placée en début ou en fin de phrase, l’une des deux virgules disparaît au profit de la majuscule ou de la ponctuation finale.

L’article complet se trouve ici.

Ainsi, la seule formulation correcte est la première.

Bonjour.

Si des cheveux encadrent quelque chose, ce quelque chose est nécessairement un objet tangible. Un visage est un objet tangible. Des traits sont une abstraction. En conclusion, je pense qu’il faut accorder avec visage : Les traits de son visage, encadré par de longs cheveux blancs, semblaient (…).

Bonsoir Tony.

1) La phrase est de toute évidence fautive. Comme vous le faites remarquer, il faut ou bien (…) subisse un tel acte ou bien subisse de tels actes.

2) J’aurais tendance à interpréter « sortie moto » comme signifiant « sortie à moto ». Et donc à mettre moto au singulier. (Insistons sur le fait qu’on circule à moto et non « en » moto.)

3) Oui, c’est bien un qui est sujet. Deux remarques : il faut une virgule après à chaque coup ; à chaque fois me paraît toutefois préférable, ce qui donnerait par exemple : À chaque fois, l’un de nous ne peut pas se libérer.

Bonjour Tony.

1) Dans votre exemple, il faut laisser au singulier puisque le peu de marque l’insuffisance. (Quand il marque la quantité nécessaire, on accorde avec le complément.) Il y a un article détaillé sur site québécois BDL.

2) Je pense qu’il faut un singulier de généralité (c’est, dans une statistique, la catégorie « âge »).

3) Dans le premier cas, le singulier est correct… mais la construction laisse à désirer (l’emploi du verbe avoir est malheureux). Ce malade souffre énormément ou Sa maladie lui cause beaucoup de souffrance paraît mieux adapté.
Dans le second cas, pas de problème, le pluriel est licite – mais vous pourriez aussi mettre un singulier de généralité : il y a eu beaucoup de souffrance pendant cette guerre.

Bonsoir.
Quand il est question d’effet de style, beaucoup de choses sont possibles… Mais tout n’est pas permis non plus. Et donc… pourriez-vous donner un exemple ?