Bonjour.

Deux remarques : on se renseigne sur quelque chose et non pas de quelque chose.

Ensuite, j’ai eu beau décortiquer l’article de Trésor, je n’ai pas trouvé la mention que vous indiquez. De toute façon, la formulation Elles se sont renseigné des informations est fautive : se renseigner n’est pas pronominal réfléchi – se renseigner ne signifie pas renseigner soi-même mais recueillir des informations.  Dans le sens que vous souhaitez, il faudrait éviter ce verbe et mettre, par exemple : Elles se sont fourni des informations.

On peut renseigner quelqu’un, on ne peut pas renseigner quelque chose. Par exemple, la tournure renseigner un formulaire est, selon l’Académie en tout cas, fautive. Voir ici.
À la forme pronominale, on se renseigne sur quelque chose, on se renseigne auprès de quelqu’un, la combinaison des deux étant évidemment possible.

Bonjour.

Avez-vous correctement retranscrit votre phrase ? Outre le fait, relevé par Tony, qu’on n’y voit pas de ce que, la phrase n’est pas bien construite.
Votre phrase était-elle : (…) de ce que cette victoire lui a coûté ? Ou bien : du rôle que cette victoire lui a coûté ? Je penche pour la première formule car, franchement, je ne vois pas bien ce que voudrait dire coûter un rôle.

Ce combat a dû être terrible pour que la victoire soit digne d’une épopée ! 🙂

À l’oral, on dit : Ne serait- ce que. Dans un langage soutenu, on dira : Ne fût-ce que, à l’imparfait du subjonctif. C’est en quelque sorte une expression figée. Vous avez une analyse de cet emploi sur le site du Projet Voltaire, ici.

Nous ne parlions pas style mais syntaxe… Peut-être : Quelles sont les qualités dont disposent tes soeurs et qui te feraient défaut ?

Bonsoir.
Il me semble que, dans la phrase que vous soumettez, que tu n’as pas se rapporte à qualités et non à soeurs. Le problème est que, ainsi rédigée, on peut se demander si ce n’est pas l’inverse !

Peut-être devriez-vous écrire : Quelles sont les qualités que possèdent  tes soeurs et que, toi, tu ne possèdes pas ?  Ou bien : Quelles sont les qualités que possèdent tes soeurs et que, toi, tu ne posséderais pas ?

Bonjour Tony.

Ces histoires de singulier et de pluriel relèvent toujours des mêmes raisonnements et il y a eu beaucoup d’échanges là-dessus. En général, on présente ses excuses. Je mettrais donc lettre d’excuses, mais, comme d’habitude, le singulier, etc.

Pour la locution en abrégé,  elle s’écrit comme je viens de le faire,  toujours au singulier. Vous trouverez facilement l’information, par exemple sur le site du CNRTL, dans Trésor (TFLi) : c’est ici.

Bonsoir.

– La lumière du s(S)oleil. La réponse dépend du contexte. Si l’on voit Vénus dans notre ciel nocturne, c’est parce qu’elle réfléchit la lumière du Soleil.  On parle clairement de l’astre.
Mais : Je mets cette plante près de la fenêtre parce qu’elle aime la lumière du soleil. Bien entendu, il s’agit bien de la lumière émise par le Soleil mais, ici, ce n’est pas vraiment de l’astre qu’il est question mais de la lumière « du jour ».

– Les plantes ont besoin de soleil (voir second exemple ci-dessus).

– Le Soleil éclaire la Lune (voir tout premier exemple ci-dessus)

– (…) mettant en mouvement le Soleil, Mercure, (…) : on parle bien de l’étoile centrale de notre système planétaire et de plusieurs de ses planètes.

Bonsoir.

Espérer que est suivi de l’indicatif. La question a été abordée plusieurs fois sur ce site. Vous trouverez ici deux réponses très complètes. Précisément, donc, vous devez écrire : Nous espérons que cette proposition vous convient.

La réponse de Kerglof me paraît plus pertinente que celle que j’avais donnée.

Re-bonjour.

A priori, j’aurais plutôt mis le pluriel puisque les trois (concept, idée, pensée) échappent : Tous concept, idée ou pensée qui échappaient (…).

Cela dit, on peut aussi voir les trois sujets coordonnés par le ou comme représentant en gros la même… idée (une sorte d’accumulation pour un effet de style) et mettre le singulier.