Il faut, falloir (même origine que « faillir »). Ce sens de ce verbe évolue de « manquer » vers « être nécessaire ». On voit bien le sens de manque dans « Peu s’en faut… » > il en manque peu.

Le participe passé employé avec le verbe  « avoir » ne s’accorde jamais avec le sujet.
Quand il s’accorde, c’est avec le COD, mais c’est une autre histoire. 🙂

Bonjour.
La première phrase est à peu près l’équivalent de  « Je suis loin de l’avoir trouvée telle. » Le sens de manquer est bien présent : il y a un vide, une grande distance entre les  deux éléments, mon jugement et celui que je réfute.
Le sens de la deuxième phrase pourrait être rédigée : tout ce qui est dans l’esprit n’est pas dans le cœur, tant s’en faut… Cela renforce la négation.
Il est vrai que ce n’est pas facile à expliquer.  🙂

Si votre deuxième phrase est : « Je n’ai pas de réponses à te donner. » , elle pourrait, je crois,  s’employer comme celle-ci : Je n’ai pas de réponses à te donner à toutes tes questions.

Bonjour,
Ou : »..que ses qualités ont mené… »
Il y a bien deux pronoms, dans votre phrase, le relatif et le personnel, qui renvoient à la même personne, et c’est un peu gênant : les qualités du négociateur ont mené le négociateur…

Une liste des mots français? De tous les mots? Un dictionnaire devrait convenir…

Ce ou C’ : pronom démonstratif neutre. Donc : C’est compliqué.

La négation dans la principale (je ne pense pas) influence la suite de la phrase, et amène, sans choquer, le subjonctif (que ce soit moi…). D’ailleurs, la phrase pourrait s’écrire  » Je pense que cela ne prouve pas que ce soit moi… » Non?

Mode indicatif; voix passive pour la première phrase, active pour la seconde.

« Les Amours mortes » : titre de roman, de chanson..