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Je sais cela, mais ce n’est pas ma question.
Je me posais la question sur l’écriture de l’une ou de l’autre des formes… doit-on faire l’élision ? Cela me fait bizarre à la lecture à voix haute.- 6026 vues
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Oui, pardon… Quand on dit : « je n’ai pas de reste faim », c’est pour dire « je n’ai pas énormément faim »… tournure qu’on emploie en fait pour signifier qu’on n’a pas grand faim ».
C’est un peu la négation de : « j’ai de l’appétit de reste » => « je n’ai pas de reste appétit ».
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Je comprends… un peu comme le verbe « avancer » au sens figuré (progresser) qui s’emploie à l’intransitif :
les choses ont avancé grâce à moi
j’ai fait avancer les choses- 3226 vues
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Après recherche comme vous, j’en ai déduit que la version transitive « empirer les choses » était je cite « vieillie ou littéraire » et que l’usage courant était plutôt intransitif.
Merci de vos réponses.EMPIRER, verbe.
I.− Emploi trans., vieilli ou littér. [Le suj. désigne une pers. ou un inanimé] Rendre pire.A.− [Le compl. d’obj. dir. désigne une situation, un fait] Empirer la misère, une position, une situation. Lui-même empira son affaire par son silence farouche (Taine, Notes Paris,1867, p. 104).♦ Emploi pronom. à sens passif. Il était impossible que notre situation s’empirât (Las Cases, Mémor. Ste-Hélène, t. 2, 1823, p. 462).− Spéc. [Le compl. d’obj. dir. désigne un état, un mal physique ou moral] Empirer un état. Quelque pauvre diable dont les recettes des sorcières ou les talismans du marabout ont empiré le mal (Tharaud, Fête arabe,1912, p. 42).♦ Emploi pronom. réciproque. Il [Maxime] était un produit défectueux, où les défauts des parents se complétaient et s’empiraient (Zola, Curée,1872, p. 425).B.− Rare1. [Le compl. d’obj. dir. désigne une pers.] Rendre pire d’un point de vue moral. Il a (…) empiré les hommes, gâté les mœurs déjà mauvaises en multipliant les manufactures (Michelet, Journal,1848, p. 696).2. [Le compl. d’obj. dir. désigne un inanimé concr.] :1. J’ai pensé qu’il valait mieux la donner telle que je l’ai faite [une feuille] que de la laisser courir défigurée et empirée par les sottises des imprimeurs. Courier, Lettres de France et d’Italie,1821, p. 900.II.− Emploi intrans. Devenir pire.A.− [Le suj. désigne une situation, un fait] Empirer encore, tous les jours; une position empire; les choses empirent. Elle connaissait, au contraire, à plusieurs signes, que les affaires ne feraient qu’empirer (France, Dieux ont soif,1912, p. 50).− Spéc. [Le suj. désigne un état, un mal physique ou moral] Empirer à vue d’œil; un mal, une maladie empire; sembler empirer; aller (en) empirant. L’état de monsieur votre fils, loin d’avoir empiré, s’améliore sensiblement (Gautier, Fracasse,1863, p. 438).B.− [Le suj. désigne une pers. ou un inanimé concr.]1. [Le suj. désigne une pers., un de ses attributs physiques ou une collectivité] Devenir pire sous l’effet d’un agent physique ou moral. L’harmonie doit (…) marquer au deuxième couplet que le malade empire (Brillat-Sav., Physiol. goût,1825, p. 387).Ma jambe empire tellement que le DrJullien m’ordonne l’Hôpital Saint-Louis (Verlaine, Corresp.,t. 2, 1893, p. 243):2. … il y a bien des jours où on se dit qu’il vaudrait mieux être comme elle, et ne pas voir les vilaines gens et les méchantes choses. Le monde devient bien laid; il empire, de jour en jour… Rolland, Jean-Christophe,La Révolte, 1907, p. 588.2. Rare. [Le suj. désigne un inanimé concr.] Et le vent peu à peu empire (Saint-Exup., Terre hommes,1939, p. 236).- 3226 vues
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Parce que du coup, sans vouloir user d’un « faire » répétitif, on aurait pu concevoir un : « Il n’a cessé de faire empirer les choses »…
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Aïe… deux réponses qui s’opposent ? 😉
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Merci, c’est ce que je pensais… Mais Word s’obstinait à me signaler une erreur. 🙂
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Merci
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D’accord. C’est mieux ainsi. Merci.
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Merci… Je vais préciser ma pensée…
« Elle observa les personnes présentes autour de la table. Chacune d’entre elles était devenue un ou une ami au cours de ces deux dernières années. »
L’idée d’ami est relatif à la personne dont on parle au début. Une femme en l’occurrence.
Serait-ce déjà incorrect de dire : « Chacune d’entre elles (les personnes) était devenue (pour elle) un ami. » ?
Certes, « personne » est féminin, mais le terme désigne autant un homme d’une femme.
Comme il y a des hommes et des femmes dans « ces personnes », certaines sont devenues des amis, et d’autres sont devenues des amies.Faut-il alors écrire, quitte à se répéter : « Chacune d’entre elles était devenue un ami ou une amie au cours des deux dernières années. » ?
Mais ça fait répétition. « un ou une » permettait de « factoriser » en quelque sorte le terme d’ami(e).- 7428 vues
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