185
points
Questions
40
Réponses
43
-
En fait, il va lui faire une clé d’étranglement pour la tuer… elle est de dos à lui et ne s’y attend pas parce qu’il lui parle innocemment alors qu’elle regarde un écran pour tenter de comprendre quelque chose.
Ma question peut rester la même avec comprendre si vous préférez :
« Avant qu’elle comprenne ce qu’il faisait, il passa les bras autour de long cou et l’enserra d’une clé d’étranglement… »
en :
« Avant qu’elle comprenne, il passa les bras autour de long cou et l’enserra d’une clé d’étranglement…» (comprenne qu’il lui voulait du mal)- 1016 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Merci beaucoup de ces réponses.
Effectivement, j’avais choisi « quel » car dans le contexte, la personne (qui se pose la question) est interpellée par la prouesse d’un homme qui ne donnait pas à penser de prime abord qu’il était capable d’une telle dextérité aux commandes d’un appareil. Elle s’interroge donc plus sur sa qualité cachée (pourquoi est-il si doué finalement ?) que sur son identité qu’elle pense connaître.
Merci en tout cas à tous les intervenants pour ces éclairages si intéressants.
- 2586 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Merci.
Sauf que Larousse permet « de toutes façons »…- 1273 vues
- 6 réponses
- 0 votes
-
Merci beaucoup.
- 1273 vues
- 6 réponses
- 0 votes
-
Parce que j’essaye de comprendre une tournure, et pas de la contourner… chose que je sais faire.
C’est pourquoi je viens demander une sorte d’expertise en français ici.Mon questionnement est donc le suivant : dans les deux propositions qui suivent, y en a-t-il une d’incorrecte en français :
1°/ Toute marque de coups avait disparu…
2°/ Toutes marques de coups avaient disparu…pour dire qu’il n’y avait plus aucune marque de coups.
Je comprendrais que vous ne sachiez pas me répondre, auquel cas, je ne vous en voudrai pas.
- 1273 vues
- 6 réponses
- 0 votes
-
Un « s » à coup s’il y en a eu plusieurs ?
Quelle différence entre « n’importe laquelle quelle qu’elle soit » et « la totalité » ?
Il y avait plusieurs marques liées à des coups reçus… et tout a disparu. On ne voit plus rien.- 1273 vues
- 6 réponses
- 0 votes
-
Merci, ça m’avait échappé.
- 1352 vues
- 5 réponses
- 0 votes
-
Je l’utilise me semble-t-il selon l’acception suivante :
B.− [Le suj. désigne un être vivant ou une partie du corps]
− Éprouver une sensation de chaleur. Brûler de fièvre.♦ En partic. [En parlant d’une partie du corps] La bouche me brûle. La gueule lui en brûle (Flaubert, Correspondance,1861, p. 432).Attention, quand j’écris qui LA/LUI brûle, il s’agit de la peau qui LA/LUI brûle encore un peu…
- 937 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
ou « offert par » d’ailleurs ! 🙂
- 1431 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Ah, ouah ! Ça m’apprendra à poser des questions ! 😀
Blague à part, merci infiniment pour ces réponses. Je n’avais pas imaginé passer 10 minutes à lire minutieusement celles-ci !
Je savais que notre belle langue était riche en nuances, mais là, je suis bluffé.Je retiens donc pour m’aider :
« Un critère sémantique (regardez l’accord de « laissé » et la place du « y ») :
* Si vous préférez construire « laisser » (au sens du constat de « vous les avez vues y entrer ») comme un verbe de perception introduisant un COD (sur le modèle « vous les avez laissées y entrer« ), alors écrivez « laissez-le y entrer« .
* Si vous préférez considérer « laisser » (au sens actif de « vous les y avez fait entrer », si vous êtes portier) comme un auxiliaire (sur le modèle « vous les y avez laissé entrer« ), alors écrivez « laissez-l’y entrer« . »Dans le contexte du récit, l’ordre est donné à des policiers de laisser un suspect en fuite entrer « de lui-même » dans un parc afin de l’y prendre au piège… J’ai tendance à penser que, même si l’acte est indirect contrairement au portier, nous sommes dans l’action plutôt que dans la perception et qu’il me faudrait alors écrire ! « Laissez-l’y entrer ! » … soit dit en passant, c’est l’option que j’avais intuitivement prise avant de me torturer les méninges.
Merci encore à vous deux.
- 6024 vues
- 6 réponses
- 0 votes