Bonjour,
La maison est bien le sujet de « évoque ». Qu’ = que (le -e est élidé, c’est -à-dire remplacé par l’apostrophe). C’est ici un pronom relatif mis pour « les souvenirs » et COD du verbe « évoque ».

Bonjour,
« …mais la température est idéale et le cadre juste magique que toutes les craintes sont vites dispersées ! »
Ce « que » isolé est fautif, car ce n’est ni un pronom relatif (il serait cod de dispersées, ce qui est impossible : les craintes ne dispersent pas le cadre), ni une conjonction de subordination, car le verbe être (est) n’appelle pas une proposition complétive (cod) introduite par que (comme dans il souhaite que…). La seule solution et la plus simple me semble être la proposition de czardas : « le cadre est si magique que toutes mes craintes… » Si… que » introduit alors une proposition conjonctive de conséquence.

La phrase de Lauren ne comporte pas de difficulté :
Avoir la pêche, je l’ai décidé (je n’ai en aucun cas, décidé la pêche !). Le pronom l’ (qui n’est pas relatif) représente bien toute  la proposition infinitive.
En revanche, la phrase comparative  peut être soumise à interprétation. Je ne vous départagerai donc pas, car, à mon sens, les deux sont possibles, même si l’invariabilité est la plus courante. Donc, je pense que vous avez tous raison, et madame Boudou avec.
http://www.cordial.fr/manuels/PP_PART.htm

Bonjour,

Pour vous assurer de la terminaison d’un verbe en -er, remplacez-le par un verbe d’un autre groupe (en vous attachant à la forme plus qu’au sens). La forme correcte s’imposera.
Vous pouvez vous entraîner ici.

Vous écrirez ensuite sans hésitation :
« De même qu’il n’est pas anormal de sembler détaché d’un événement que les autres peuvent juger traumatique. »
« Sembler détaché d’un événement veut-il forcément dire l’être ? »

J’ajoute l’avis de l’Académie, pour compléter votre information.

Bonjour,
Rassurez-vous, les deux phrases de la dictée du certificat sont très simples, beaucoup plus que celles que l’on trouve dans le livre en question. Du moins si j’en juge par celles qui m’ont été proposées. Si vous vous jaugez autour de 650 points, vous ne devriez avoir aucun mal à éviter les deux fautes fatidiques. Détendez-vous !
Si les difficultés que vous évoquez touchent l’orthographe d’usage (selon et non pas celon), et en particulier les consonnes doubles, rien ne remplacera votre mémoire. Voici une page de cours qui peut vous aider. Mais je vous recommande l’usage d’un répertoire où vous pouvez noter les mots qui vous posent problème accompagnés de leur famille. Dans l’ensemble, quand vous apprenez un mot, vous en apprenez plusieurs en fait.
Exemple :
additif, addition, additionner…
apprendre, apprentissage, apprenti…

N’en oubliez pas pour autant les accords de base, comme ça serait, les règles ne sont pas couvertes,  mes entraînements...

Voici une question qui a déjà fait couler beaucoup d’encre  (voir ici)  !

Il s’agit d’une expression plus ou moins figée (je dirais : qui a tendance à se figer), signifiant : autant qu’il est possible de faire.
Mais de nombreux auteurs l’ont conjuguée, notamment à l’imparfait et au futur.
Certains font une distinction de sens entre le présent et les autres temps.
Le présent s’utilisant quand l’expression a la portée d’une maxime. D’autres temps pouvant être utilisés dans le courant du récit.

Absolument, vous avez compris.

Bonjour,

Pourquoi pas ? Mais en fait, dans la première proposition, la virgule ne suffit pas à indiquer que Christian est la deuxième personne du dialogue. En effet, si c’est Christian qui parle, il peut parfaitement faire une pause entre c’est moi et Christian , pause qui peut se marquer par une virgule.
À mon sens, seul le contexte éclairera le lecteur. Il vaudrait peut-être mieux écrire : Christian, c’est moi. Et encore…. Voyez les paroles de  Oui, Jérôme, c’est moi !

Bonjour,

Vous entrez là dans un débat qui n’a pas d’épilogue. Le présent et le futur dits « historiques » sont très souvent employés dans certains récits historiques et tout à fait répertoriés, mais leur emploi est contesté  par certains historiens ou linguistes. Pourtant les exemples abondent.

« Victor Hugo naquit à Besançon en 1802. Ce fils d’un général d’empire deviendra l’un des plus grands écrivains français. »

« La multitude triomphante pénètre dans le palais désert à cette heure, sous l’œil stupéfait des huissiers. Ne sachant bientôt qu’y faire, elle abandonne les lieux et se répand à nouveau sur l’immense place. Elle y demeurera une partie de l’après-midi. » (J. Bertaut, 1937)…