5211
points
Questions
4
Réponses
707
-
Bonjour,
Une suggestion de méthode :
1/ Relisez la règle et notez-la.
2/ Vérifiez l’auxiliaire employé.
3/ S’il s’agit de « avoir », le verbe est-il suivi d’un infinitif ?
4/ Y a-t-il un COD ? où est-il ?
5/ Si oui, cherchez qui fait l’action indiquée par l’infinitif.
6/ Vérifiez dans vos notes ce que vous devez faire.
Bon courage- 7527 vues
- 8 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Benedicto,
Vous avez bien fait d’ouvrir votre propre question.
Dans votre phrase, « informés » complète plusieurs personnes, le roi d’Angleterre, le pape et le duc de Gueldre : le « s » s’impose.
- 17240 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Je ne peux que vous suggérer :
… prend son envol, son essor
… vole de ses propres ailes
… se sent pousser des ailes
… ouvre ses ailes- 46305 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour TySh,
Joëlle viendra certainement vous répondre dès qu’elle le pourra. Mais mon avis est que non. Dans la formule que vous citez, le second verbe doit être au participe passé :
… ou de vous tenir informé (= que vous soyez informé).Pour vous en assurer, remplacez le second verbe par un verbe du 2e ou 3e groupe (prendre, rendre… ou un synonyme : avertir) et vous entendrez la différence.
On dira plus volontiers… de vous tenir « averti » (participe passé) que … de vous tenir « avertir » qui n’est pas correct.
Vous écrirez donc « informé ».Pour vous entraîner :
http://www.projet-voltaire.fr/blog/regle-orthographe/«-il-a-mange-»-ou-«-il-a-manger-»
- 213077 vues
- 3 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Je ne sais pas du tout à quoi vous faites allusion, mais « la maman regrette le jour auquel son fils construit des ailes » n’a pas de sens.
Il s’agit peut-être d’une tournure de ce genre : « La maman regrette le jour où son fils n’avait pas encore déployé ses ailes » ? C’est une totale supposition.
Vous souvenez-vous sur quoi portait la difficulté à examiner ? Le doublement de la consonne à « regrette » ?
- 46305 vues
- 2 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
•Je vous fais parvenir est la bonne graphie (verbe faire au présent de l’indicatif, 1re personne du singulier). Car « je » est le sujet. C’est moi (je) qui « fais ».
On écrirait, je vous ai fait parvenir (verbe faire au passé composé de l’indicatif, 1re personne du singulier). Ce temps du verbe faire se conjugue avec le verbe avoir « j’ai » + le participe passé « fait ».
http://leconjugueur.lefigaro.fr/conjugaison/verbe/faire.html
Le « vous » qui, peut-être, vous a gêné, est ici le complément d’objet indirect du verbe faire. « Je vous fais parvenir » = « je fais parvenir à vous ».
- 550687 vues
- 4 réponses
- 0 votes
-
Rebonjour Estudiantin,
La remarque de Chambaron m’a donné à réfléchir.
Après avoir essayé le participe passé avec les verbes proposés (« elle s’est sentie envahie par des remords »,
« elle s’est sentie mordue par un moustique », « elle s’est sentie prise par les flots »), je constate que je dirais vraiment :
« Elle a senti les remords l’envahir. » « Elle a senti qu’un moustique la mordait. » « Elle a senti les flots la prendre. »Mais, puisque telle était votre question, je pense toujours que vos accords sont justes.
- 14987 vues
- 8 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Estudiantin,
Bravo !
A noter que, pour les trois dernières phrases, on pourrait utiliser un participe passé plutôt qu’un infinitif. Et, dans ce cas, l’accord de « senti » se ferait.
Elle s’est sentie inondée par des remords.
Elle s’est sentie piquée par un moustique.
Elle s’est sentie entraînée par les flots.A une nuance près, peut-être, dans la formule avec participe : l’action est terminée, accomplie et on insiste sur l’état dans laquelle elle se trouve.
- 14987 vues
- 8 réponses
- 0 votes
-
Bonjour,
Pour éviter tout reproche sur un emploi approximatif du mot « alternative », écrivez plutôt : « Elles sont souvent proposées comme solutions de rechange… » ou « Elles sont souvent proposées pour offrir une(d’) autre(s) option(s)…
- 6885 vues
- 6 réponses
- 0 votes
-
Bonjour Chambaron
Un choix politique ?
Ce « l’on » est défendu bien avant le XIXe ! Vaugelas, au XVIIe, le recommande et D’Olivet, au XVIIIe, le présente comme le seul pronom « substantivé » par l’article « l' » (cf. Littré). Le Druide le présente comme une survivance de l’ancien français.
http://www.druide.com/enquetes/et-lon- 67645 vues
- 6 réponses
- 0 votes