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Bonjour,
Et vous avez raison aussi pour « la friandise que je me suis permise » que « je » soit homme ou femme. En effet, « me » reste COI, mais « que », mis pour « la friandise », est bien le COD, placé avant le verbe => permise s’accorde donc avec le COD, ici féminin singulier.
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Bonjour,
Je ne pense pas que l’on puisse parler d’une « locution » ici, car les deux mots ne forment pas vraiment un tout. Il s’agit seulement de deux adverbes (fort et longtemps), le premier renforçant le second (fort, ici, = très). En tout cas, ce n’est pas une locution figée.
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Une anacoluthe est une rupture dans la suite logique de la phrase. Ici, ce qui rompt le rythme logique, c’est l’inversion du sujet dans la proposition subordonnée.
Après « Il viendra », on attendrait « quand les dernières ténèbres viendront ». L’inversion casse le rythme attendu et renforce le mot « ténèbres ». Il ne s’agit pas d’une erreur, mais d’une figure de style qui met en valeur le mot souhaité par l’auteur. On est en poésie !
Je ne sais pas si l’inversion poétique peut-être réellement considérée comme une anacoluthe, mais c’est ce que wikipédia fait.
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Je suis en partie de votre avis concernant le trapèze, mais j’aimerais que mon filet de protection soit de bonne qualité.
Pour ma part, depuis l’apparition de la PAO, j’ai toujours utilisé ce que je devrais plutôt appeler un « vérificateur », en fait. Je n’ai jamais activé la « correction » automatique (sauf pour les espaces avant et après les signes de ponctuation et autres caractères spéciaux). Mais j’apprécie qu’un logiciel me signale ce qu’il estime être une erreur, à charge pour moi de décider qu’en faire. L’œil humain a ses faiblesses et ses limites. En tout cas, le mien.
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Pour moi, il n’y a pas de faute d’accord dans l’expression ainsi écrite. Et la pierre peut être mise à nu.
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Bonjour,
Pourquoi pas « un à-pic de pierres dénudées » ?
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Rebonjour,
« Après que » commande toujours un temps de l’ indicatif, contrairement à « avant que » qui demande un subjonctif. C’est logique, car avec « après que » l’action est accomplie donc certaine. Tandis qu’avec « avant que », l’action n’étant pas accomplie, un doute reste permis sur sa réalisation.
J’écrirais donc :
Après que les lumières furent éteintes, il quitta les lieux .
Après que vous aurez rempli le questionnaire…
Après que le soleil s’est couché, nous rentrons au camp sans tarder.Si ces tournures gênent vos oreilles, vous pouvez utiliser des formules équivalentes : « après l’extinction des lumières », « quand vous aurez rempli le questionnaire » ou « après avoir rempli le questionnaire », « après le coucher du soleil… »
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Rebonjour Estudiantin,
Vous vous en êtes plutôt bien sorti !
Pour la dernière phrase, je pense que ce qui vous a gêné, c’est ce « les ». Il s’agit d’un pronom personnel complément d’objet, qui n’est pas mis pour « je » mais pour « des personnes » (qui ne sont pas précisées ici).
Qui critique la direction ? Ce sont bien « ces personnes » (hommes ou femmes), remplacées par « les ».
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Bonjour,
Si le fonds ET l’histoire sont tous les deux « locaux », vous pouvez peut-être écrire : « fonds communal d’histoire locale »… (ou l’inverse : fonds local d’histoire communale) !
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Bonjour Benedicto,
Il y a là un vrai flou dans notre langue. Car il n’y a pas de règle très précise.
L’usage actuel tend vers une extension du masculin, ce genre représentant, en français, le genre « neutre » qui n’existe pas chez nous (dixit Thomas).
J’écrirais donc : Turin avait été occupé et mis à sac par les Français.
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