Bonjour,
Ouh là là ! Toute une semaine à faire des réussites ! C’est un choix…  Il serait probablement préférable de préciser votre pensée.
Une semaine à faire des réussites ?
Une semaine réussie ?
Une semaine pleine de réussites ? …

Bonjour,
Il y a un petit problème dans l’énoncé, s’il est bien celui que vous citez dans le titre de votre question et si la réponse est celle proposée par Prince : dans la phrase 1. brièvement est bien un adverbe (il est invariable et complète le verbe mesurer), mais dans la phrase 2, bref est un adjectif (il qualifie le nom résumé et s’accorde avec lui).

Ce qui explique peut-être que vous ayez du mal à le faire !
L’emploi de bref comme adverbe est assez rare : je ne le connais que dans « parler bref » ou dans la locution « en bref ».

Bonjour,
Descendre en bas est, de toute évidence, un pléonasme. Ce pléonasme est-il à bannir ? Oui, car il est par trop évident que l’on monte en haut et que l’on descend vers le bas. Néanmoins, dans le langage courant, nous en utilisons un bon nombre ! La plupart sont à éviter, mais certains sont tolérés…
Vous trouverez ici, 4 petits articles savoureux à ce sujet.

Bonjour,
Il n’est pas rare de rencontrer cette tournure, même si elle paraît un peu étrange : elle est tout à fait correcte.
Des courbes inférieure et supérieure signifie bien qu’il y a une courbe inférieure et une courbe supérieure.
Vous en trouverez d’autres exemples ici.

Bonjour,
Pour lever les doutes (si doute il y a) :

Pochette du disque enregistré chez Philips en 1956 (je pense que c’est la première version).

Bonjour,
Sans revenir sur l’emploi du subjonctif, obligatoire après « bien que », votre citation n’est pas une phrase complète. Elle ne peut pas commencer et finir ainsi. Il s’agit d’une proposition subordonnée qui « appelle » une proposition principale. On trouve parfois ce genre de tournures dans la presse, par exemple, car le point mal placé peut donner l’illusion que les phrases sont plus courtes, le texte plus rythmé. Mais c’est une tournure fautive, bien sûr. Bien que je ne sois pas puriste.

Bonjour,
À la lueur de la nuance que fait   l’Académie, je pense que vous pouvez utiliser : croire à son rêve ou à ses rêves, car il s’agit bien de les juger réels ou réalisables.  Pour l’emploi du singulier ou du pluriel, c’est à vous de voir, car tout dépend de ce que vous voulez dire. « Croire à un rêve » est correct mais forme un hiatus pas très élégant. « Croire en » ne me semble pas approprié ici.
Il faut croire à son rêve pour l’accomplir. S’il s’agit d’un titre, cela fait bien 42 caractères (sans le point). 😉

Bonjour,
Si j’en crois la BDL, le pluriel est préférable ici, car la préposition « par » indique plutôt une répartition  (ventilation selon les métiers) qu’une distribution (ventilation pour chaque métier).

P.S. : je viens de modifier légèrement ma réponse, qui était un peu en charabia…

Bonjour,

Ne faire que + infinitif signifie ici : se contenter de, se borner à. »

• Le CNRTL considère,  dans ce cas  (II. A. 2. c), le verbe « faire » comme un auxiliaire, qui limite l’action du verbe  passer, qui en restreint la durée.
• Grevisse, dans Le Bon Usage, le classe dans les semi-auxiliaires, dont il donne la définition suivante :
Ce « sont des verbes qui, construits avec un infinitif […], perdent plus ou moins leur signification propre et servent à exprimer diverses nuances de temps, d’aspect ou d’autres modalités de l’action. » À l’image d’ « aller + infinitif » qui permet de former ce qu’on appelle le « futur proche ».

Je dirais donc, comme Joëlle me semble-t-il,  que le verbe de la phrase est « ne faire que passer ».

Bonjour incertitude,
Vous devez écrire, « Il n’y en a pas deux pareilles », en accordant l’adjectif « pareil » avec le nom auquel il se rapporte.