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Bonjour,
Devant un nom, vous mettrez toujours un trait d’union :
un demi-pain, une demi-coupole, une demi-journée, à demi-mot…- 6377 vues
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Bonjour,
Oui, leurs sens sont assez voisins, mais puis et ensuite sont des adverbes, tandis que après est une préposition (qui introduit un mot ou groupe de mot : après ceci ou cela). Vous direz : « Je viendrai après le dîner » (pas ensuite ni puis le dîner).
Ce mot est parfois utilisé comme un adverbe : « Il va chez le médecin et viendra après » (ensuite est considéré comme plus élégant).
On entend beaucoup « après » à toutes les sauces pour dire, « après tout », « quoi qu’il en soit », « ce n’est pas certain »… mais c’est un raccourci familier, qui relève d’un langage assez relâché :
« Je te raconte cela, après…. »- 10604 vues
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Bonjour,
En fait, il s’agit du nom « aide », qui signifie « personne qui aide », et du nom « soignant » au sens médical du terme.P.S. : À la lueur de la remarque de Chambaron (ci-dessous) , je complète mon commentaire : vous pouvez écrire aide-soignant, grâce à la réforme de 1990.
Attention ! Lisez le commentaire de Chambaron et ceci. Faites-vous votre opinion et pardonnez mes tergiversations !
Cette réponse a été acceptée par polymorphisme. le 6 novembre 2018 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour,
Un débat sur le même sujet a déjà eu lieu ici.
Ces deux phrases sont tirées de l’Officiel du Projet Voltaire dont vous avez dû consulter la version corrigée.
Dans la première phrase, le COD est le pronom personnel réfléchi :
Ils ont servi (qui ?) eux-mêmes, représentés par le pronom « se » placé avant le verbe d’où l’accord => Ils se sont servis les premiers.
Dans la seconde :
Ils se sont servi trois fois de (ou du) gâteau. Le pronom devient COI (ils ont servi à eux-mêmes) et le gâteau COD. D’où l’absence d’accord.
Attention :
Ils se sont servis d’une pelle. Il y aurait accord, car le verbe en changeant de sens (=> utiliser) est devenu non réfléchi : le pronom « se » est inanalysable. L’accord se fait alors avec le sujet.- 2078 vues
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Bonjour Zully,
Attention ! Quoi qu’on en dise sur Internet, les abréviations pp. et §§ sont encore d’actualité et très utilisées dans un certain nombre de publications tout à fait actuelles et respectables. Cela dépend de la marche maison (écrite ou non écrite). C’est pourquoi, je vous recommande la plus grande prudence à ce sujet si vous êtes conduite à relire des ouvrages. Renseignez-vous d’abord sur la marche suivie dans la collection ou le titre de presse.
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Bonjour,
J’arrive comme la cavalerie et vous propose, pour 137 caractères :
Pour retrouver sa bien-aimée, Django, esclave enchaîné puis chasseur de primes déchaîné, devient même la gâchette la plus rapide du Sud.- 1778 vues
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Bonjour,
Ce qui vous gêne, à juste titre, c’est le choc entre le possessif et le pronom réfléchi :
Nous tentons d’aider notre enfant à retrouver son estime de soi. Ici cela sonne comme une répétition.
J’ai vu un grand impact sur mon estime de soi. Mon et soi, sonnent comme deux personnes différentes !C’est pourquoi je souscris aux tournures proposées par Joëlle, qui « sonnent » mieux.
Mais vous pouvez tout à fait dire aussi :
– Cela a eu un effet massif sur son estime personnelle.
– Mon enfant va retrouver son estime personnelle.
Cette réponse a été acceptée par mimidu. le 27 novembre 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour,
Le verbe conjugué s’accorde en général avec son sujet, quelle qu’en soit la nature. Il peut être :
un nom propre (sans déterminant) :
– Jacqueline me semble fort jolie.un nom commun ou un groupe nominal :
– Le chien est noir – Ce vieux chien commence à avoir des poils blancs.un pronom :
– Elles nous parlent. – Ceux-ci sont très silencieux.un verbe à l’infinitif ou, comme dans votre exemple, un groupe verbal dont le noyau est un infinitif (proposition infinitive) :
– Rire est le propre de l’homme.
– Mener des projets aussi ambitieux que les nôtres demande qu’on se réunisse.une proposition subordonnée conjonctive :
– Qu’il aime boire est un sujet d’inquiétude.une proposition relative :
– Qui sème le vent récolte la tempête.Quand il s’agit d’une proposition conjonctive, relative, ou infinitive, le verbe reste à la troisième personne du singulier.
Et, en cas d’accord avec un participe passé, celui-ci est au masculin singulier.
– Mener à bien ces projets est devenu impossible.- 1900 vues
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Bonjour Virginie,
Ici, vous devez employer la négation complète. Votre proposition n’entre pas dans les cas d’omission du mot pas indiqués par Joëlle et Czardas.
Vous ne pouvez pas supprimer la seconde partie de la négation :Bien que je ne connaisse pas sa croyance.
https://www.espacefrancais.com/suppression-de-pas-et-de-point/
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Bonjour,
Je ne pense pas qu' »allumer la lumière » soit un pléonasme (on peut aussi allumer le feu, une bougie…) Je dirais plutôt que c’est une maladresse, car vous écrivez deux fois le mot « lumière » dans la même phrase. Et »faire la lumière » n’a pas tout à fait le même sens (on fait toute la lumière sur quelque chose). Ne pourriez-vous dire tout simplement, « comme si j’avais allumé une lampe (ou toutes les lampes) dans une chambre » ?- 5407 vues
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