Bonjour Poisson rouge,

Je pense que vous ne trouvez pas de référence parce que vous n’utilisez pas le bon mot. L’objet que vous cherchez à définir est justement une…  « brochette », qui désigne la tige sur laquelle on enfile les morceaux de viande et, par extension ou métonymie, l’ensemble de la tige et de la viande.
http://www.cnrtl.fr/definition/brochette/substantif

Bon appétit !

Bonjour,

Je ne mettrais pas de -s à magicien et à débutant. Il s’agit ici d’une « vérité générale ». Le pronom « on » est vraiment indéfini et ne désigne personne en particulier.
Mais si l’on considère que « on » désigne nommément  Boule et Bill, alors, le pluriel de l’attribut est admis.

Je ne vois pas d’autre erreur éventuelle.

Bonsoir,

En effet, la plupart des formes du subjonctif imparfait ne sont plus utilisées à l’oral. Mais vous en rencontrerez souvent à l’écrit (surtout à la 3e personne du singulier). Elles s’utilisent  en particulier pour respecter la concordance des temps quand le verbe de la proposition principale appelle un subjonctif dans la subordonnée.

• Quand le verbe de la proposition principale est au présent ou au futur et que l’action de la subordonnée est simultanée ou postérieure, on emploie un subjonctif présent :
Je crains qu’il ne revienne pas à temps.
Mais si l’action de la subordonnée est antérieure, on emploie le subjonctif passé :
Je crains qu’il ne soit pas revenu à temps.

• Quand le verbe de la proposition principale est au passé et que l’action de la subordonnée est simultanée ou postérieure, on emploie un subjonctif imparfait :
Je craignais qu’il ne revînt pas à temps.
Mais si l’action de la subordonnée est antérieure, on emploie le subjonctif plus-que-parfait :
Je craignais qu’il ne fût pas revenu à temps.

Mais il est vrai que, aujourd’hui,  le subjonctif présent ou passé est accepté aussi dans ce cas :
Je craignais qu’il ne revienne pas à temps.
Je craignais qu’il ne soit pas revenu à temps.

Bonjour Mignot,

Il s’agit d’une phrase de Frédéric Dard, qui joue volontiers avec la langue.

Cette citation est bien orthographiée, car la personne aimée (représentée par le l’ )  est très probablement une femme (si c’est bien le -e de aimée qui vous laisse perplexe). S’il s’agissait d’un homme, on écrirait en effet « aimé ».

Bonsoir Anarkange,

Vous faites une erreur d’analyse au départ :  le sujet de « s’échangent »  ce n’est pas « les métiers » mais « des  consignes techniques simples ».  Le verbe n’est donc pas accordé avec « les métiers ».

Il s’agit ici d’un emploi pronominal de sens passif du verbe échanger. L’expression  a le sens de : « des consignes sont échangées ». De ce fait, votre seconde formulation est exacte : le sujet du verbe échanger est alors « on », 3e personne du singulier. Le singulier s’impose donc pour « échange ».  Mais, en aucun cas, vous ne pouvez envisager le verbe au singulier dans la phrase initiale.

Bonjour,
En effet, la première partie de la négation se place devant le mot qu’il réfute.

Néanmoins, vous citez deux expressions employées dans le langage populaire, oral et relâché. Si vous êtes tentée de les corriger (comme il est normal), mieux vaut y regarder à deux fois. Qui prononce ces mots ? Dans quel contexte ? Vérifiez que les personnages n’oublieraient pas la négation !

Bonjour laura89,

Vous écrirez : « La plupart de ces animaux sont vivants« .  L’accord se fait avec le complément de « la plupart ». Ici avec « les animaux » qui est un mot masculin pluriel.

Parfois, on fait l’erreur de faire l’accord avec le nom  « la plupart », au féminin singulier donc (impossible ici puisque vous écrivez, à juste titre le verbe au pluriel : sont).  Et le féminin pluriel (vivantes) n’aurait aucune justification !

Bonjour,

De mon point de vue, il s’agit en effet d’une erreur, à moins que la simple présence de la préposition « de » ne suffise, à l’auteur de l’ouvrage, pour définir un complément d’objet indirect.
Pour ma part, j’analyserais l’expression comme vous : on demande quelque chose à quelqu’un.
La préposition « de » introduit en effet l’infinitif, mais elle a ici le même rôle que la conjonction « que », qui introduirait une éventuelle complétive (COD) : je demande qu’il reste.
Et, je suis d’accord avec vous, la transformation avec le pronom « le » confirme la présence d’un COD.

Bonjour,

Il s’agit, en français, d’un « état » ou d’un « statut ». Status est un anglicisme (très employé en effet, dans le milieu médical). L’anglais a conservé la forme latine,
qui signifiait au sens propre (à l’époque latine) :  « posture », « attitude ». Et, au sens figuré : « situation »; « position », « état » (plutôt au sens social).

Diantre Estudiantin ! Me voici sacrément en retard ! Ne m’en veux pas, j’ai une nature retardataire…
Je te souhaite, en 2017, de continuer tes progrès remarquables en orthographe. Bon courage à toi.