Bonjour,

Il faut écrire « un pronostic » (nom) mais « il pronostique » (du verbe pronostiquer). Dans vos deux phrases, il s’agit bien du nom « pronostic ».
Pour vous entraîner, voici une page du Projet Voltaire.

Bonjour,

1/ Dans les deux premières phrases, la virgule après « précautions » est fautive : on ne sépare pas le verbe de son complément d’objet.

• L’accord du participe dans la première phrase est juste. Le COD (précautions : féminin, pluriel) est placé avant le verbe composé d’un participe et de l’auxiliaire avoir. Il faut donc accorder le participe avec le COD.
• Dans la deuxième, vous avez raison de ne pas faire l’accord, car « falloir » est un verbe impersonnel. De ce fait, son participe passé est invariable.

2/ Dans la dernière phrase, il faut écrire « tentent ». Après le pronom interrogatif (ou exclamatif) « combien »,  le verbe s’accorde au pluriel (= combien de personnes).

Je souscris : « Tous président. » L’absence de -s n’est pas gênante, puisqu’il n’y a qu’un président de la République. N’oublions pas qu’il s’agit d’un titre d’émission, situation où l’on joue souvent sur des raccourcis. Le sens me paraît assez clair, surtout en ce moment !

En revanche, la majuscule est bien inutile.

Bonjour,

Dans cette phrase :
sujet => tu
verbe => as rincé
COD (qui ?) => m’ (mis pour moi)
La phrase pourrait s’arrêter là…
Mais on ajoute un complément circonstanciel qui indique comment « tu as rincé » => « à grandes eaux » n’est pas un COI mais un CC de manière. Il répond, non pas à la question « à quoi ? » mais plutôt « comment ? de quelle manière ? »

Vous accorderez donc le participe passé avec le COD « m' » placé avant le verbe. S’il s’agit d’une femme, vous écrirez rincée.

Bonjour lola

Avec « ou » l’accord se fait au pluriel, sauf si ce « ou » est exclusif, c’est-à-dire que les deux éléments s’excluent l’un l’autre.
Par exemple : L’un ou l’autre des candidats gagnera le concours (= soit l’un, soit l’autre).

Dans le cas de quel que… ou, la BDL indique :
« Lorsque les sujets sont au singulier et qu’ils suivent quel que, l’accord se fait, soit avec le sujet le plus proche, soit avec l’ensemble des sujets. L’accord au singulier est plus fréquent. Exemples :
– Dans la marine militaire, un marin est un homme d’équipage, quel que soit son grade ou sa fonction. (ou : quels que soient son grade ou sa fonction)
– Quelle que soit la nature ou l’origine de vos documents, les informations seront classées automatiquement. (ou : quelles que soient la nature ou l’origine) »

Bonjour Azucena

Quand vous n’arrivez pas à trancher (concernant « laisser + infinitif), rappelez-vous que, comme dit plus haut, les rectifications de 1990 vous permettent de ne pas faire l’accord, dans tous les cas.

Pour ma part, dans votre exemple, je pense que c’est bien la femme en question qui « tombe », au sens figuré. Donc l’accord est possible (=j’ai laissé toi tomber, toi faisant l’action de tomber ; comme je t’ai laissée mourir, si « toi est une femme).

Bonjour sfattebert,

En effet, le Larousse en ligne, indique « saut à skis », pourtant les deux formes (singulier ou pluriel) sont acceptés, selon la BDL, qui indique : « Dans l’expression à ski(s), le mot ski peut demeurer au singulier, comme dans l’expression faire du ski, ou prendre la marque du pluriel. »
En accord avec Le Bon Usage, qui cite des auteurs l’utilisant dans les deux nombres. D’ailleurs, le singulier est le plus employé, comme l’indique ce comparatif.
L’expression au pluriel découle du fait que l’on a deux skis (en général),  celle au singulier indique que l’on considère le ski comme moyen de locomotion en général.

Quant à « boîtes à lettres » (ou boîtes aux lettres), il s’écrit bien avec un -s, en toute logique.

Bonjour,
Dans ce dernier cas de figure, vous accorderez épargnée avec le COD (« la dépense ») placé avant le verbe. :

La dépense qu’il s’est épargnée : le pronom « s' » est ici un complément d’objet indirect  (= à lui-même).

Bonjour spencerw,

Aucune question posée de bonne foi n’est idiote.
La présence du « ne » explétif n’est pas obligatoire. Il n’a pas de sens négatif.
Je l’ai prévenu avant qu’il ne soit trop tard ou avant qu’il soit trop tard.
Il appartient au registre de la langue soignée.

Bonjour,
On dirait de nos jours :
« Mangeons bien et buvons beaucoup », ce qui est nettement moins joli !

Je pense que « buvants » (adjectif) et « mangeants » ne sont plus admis, de même que « buvante » ou « mangeante ». Les seuls exemples que j’ en trouve ne datent pas de la dernière averse.