Bonjour Isil,

À mon sens, dans l’exemple :
« Il ne s’étageait guère plus de… », « guère »  fait partie de la négation : « ne… guère », tournure assez courante.
Mais dans : « guère plus de deux pâtés de maison s’étageaient », « guère » est un simple adverbe modifiant « plus » et signifiant « un peu ».

Vous trouverez des détails ici : http://www.cnrtl.fr/definition/guère
Le premier emploi correspondant au sens I. le second au II.

Bonjour dominic,

Une petite précision, cette règle n’est valable, bien entendu, que si le participe passé est employé avec l’auxiliaire avoir.

Quant aux « exceptions », je dirais plutôt, variations ou subtilités. J’en recense ici quelques-unes pour vous, sans prétendre être exhaustive.
Attention à l’accord du participe passé dans les cas suivants :
-s’il est précédé de « en » ;
-s’il est suivi d’un infinitif ;
-s’il s’agit d’un verbe accidentellement pronominal ;
-s’il s’agit d’un verbe comportant une idée de prix, de poids, de mesure…

Et, bien sûr, méfiez-vous aussi des verbes intransitifs et impersonnels.

Bonsoir Totomalo,

Oui. Ici, le verbe « se poser » est accidentellement pronominal, l’accord de son participe passé suivra donc le « modèle » du verbe avoir.
Je me suis posé une question = J’ai posé (quoi ?) une question (à qui ?) à moi (me). => Le COD  (une question) étant placé après le verbe, le participe passé reste au masculin singulier. Quant au pronom « me », placé avant le verbe, il est COI et n’entre donc pas en ligne de compte pour l’accord.

Bonjour,

Il s’agit ici de l’adverbe « super » employé dans le langage familier, pour dire « remarquablement, extrêmement… », il n’y a donc pas lieu de mettre un trait d’union si vous avez à l’écrire.

Bonjour,

Je ne comprends pas bien votre question, mais l’ensemble me paraît assez mal tourné. J’écrirais plutôt :

Dans l’enseignement, parfois, on regarde les infrastructures d’une école pour juger de sa qualité. Mais on n’évalue alors que l’apparence. L’important réside dans la qualité du personnel.

Bonjour,

Mettre l’expression voulue au singulier peut permettre de distinguer l’article contracté « des » (= de + les) qui donne au singulier « du » (= de + le) de l’article indéfini pluriel « des » qui correspond au singulier « un ».
On dira : la guerre du Golfe (= de+ le), mais j’achète une rose.

Bonjour,

Comme le dit jean bordes, vous devez écrire : « Merci de m’avoir tenue informée. »
Un homme écrirait : « Merci de m’avoir tenu informé. »

Pourquoi ? Parce que, selon la règle bien connue, le participe passé employé avec l’auxiliaire avoir s’accorde avec le complément d’objet direct (COD) si ce dernier est placé avant le verbe.
Ici, où est le COD ? Merci d’avoir tenu informé(e) qui ? moi, m’ est donc le COD et il est placé avant le verbe.  Le participe passé va donc s’accorder en fonction du genre de la personne qui parle.

Bonjour ode,

Oui, dans votre exemple, le premier n’ placé devant le pronom « en » fait partie de la négation « ne…plus ». Inutile d’en mettre un second !
A la forme affirmative : « On en a plus (prononcer pluss)« , on entend aussi un « n » devant le mot « en »,  mais il résulte simplement de la liaison avec ce mot qui commence par une voyelle !

Pour vous y retrouver plus facilement, suivez ce lien.

Bonjour,

Occidentaux, sans aucun doute. Politiques et occidentaux, sont ici deux adjectifs qualificatifs complétant le nom « hommes ». S’il s’agissait des « politiques occidentales », on aurait plutôt écrit : « les responsables des politiques occidentales ». Le mot politique étant alors un nom.

Bonjour Fleury,

Vous trouverez ici quelques avis sur cette question…