Je compléterais le post de joelle.
Le conditionnel  est aussi le futur du passé : « Je vous ai demandé {hier] si une vidéo vous intéresserait [dans les jours à venir].
Alors que l’imparfait avec l’imparfait indique deux choses concomitantes : « Je vous ai demandé [hier] si une vidéo vous intéressait [là, maintenant, (c’est-à dire hier)].

Correcte en termes de syntaxe. Mais le te-te-te est une allitération pas forcément heureuse.

Telle quelle, la phrase ne supporterait pas le « donc », qui implique un lien de cause à effet.
Comme le dit Joëlle, il manque quelque chose.
« Comment on fait la lettre d ? Comme pour le b, mais avec le ventre dans l’autre sens*. Donc, on part d’en haut, on descend pour faire le rond… »

Par ailleurs, si elle passe à l’oral (surtout si on s’adresse à des CP),  à l’écrit on fera l’inversion verbe sujet  :  « Comment fait-on la lettre d ? ».

* En l’écrivant, je me rends compte que justement ce n’est pas comme pour b (LOL) : on fait le rond, puis la hampe.

Un beau rouge, un bel orange. Les noms de couleurs sont masculins.

Merci, Prince.

Mais si j’avais voulu écrire l’analogue de : « Il s’est (il s’était) trompé. » ?

Certes, je vais dans le capillotracté.

Pronom impersonnel

J’ajouterais deux choses concernant feu :
– « feu » en tant qu’adjectif de couleur est nécessairement invariable, car les adjectifs issus d’un nom le sont (sauf rose, pourpre et mauve ; et fauve) ;
– feue avec un e existe, pour dire défunt : la feue reine.

J’aurais aimé, pour enrichir cette discussion de haut vol, que l’anémélectroreculpédalicoupeventombrosoparacloucycle du savant Cosinus, « utilisant tous les moyens de propulsion connus et même inconnus » incorpore cet étymon.
Il n’en est, hélas ! rien.

J’aurais voulu me consoler avec un pléonasme de Victor Hugo (C’était un ange aptère et ans ailes) ; mais là aussi, chou blanc : Internet ne trouve rien.
Reste une citation de Paul Morand : « La femme lisse, sans autre pli que les plis de ses paupières, avec un cou fier, des reins longs d’ange aptère, un ventre audacieux, le corps droit comme une rue, comme l’élan le plus orgueilleux du Créateur. »

Billet qui répond sans doute à un autre. Mais lequel ?

1. S’il n’a pas lu les autres textes, comment sait-il que celui-ci en est le plus beau ?

2. C’est le plus beau des textes qu’il a lus / qu’il n’ait jamais lus :
• avoir à l’indicatif (si positif) ou subjonctif (si négatif, avec jamais) ;
• lus accordé : de tous les livres qu’il a lus, c’est le plus beau.