D’abord, pour votre tableau, il me semble complet.
La grande règle avec SI, c’est :
SI + imparfait, alors principale au conditionnel ;
SI + présent, alors principale au futur.

Vous utilisez un SI + conditionnel (passé), qui sous entend une hypothèse impossible et passée. Mais je ne sais pas si le SI est correct. Pour l’instant, je mets une variante  dont je ne doute pas, bien que. Je reste alors avec l’imparfait dans la principale (temps  passé).
Bien que Paul aurait adoré leur infliger une correction, les trois caïds préféraient à coup sûr la peine prononcée par le juge ! [variante : ont/avaient préféré. C’est clos]

Mais si votre SI se passe au présent, alors principale au présent ou au futur.
Bien que Paul  adorerait leur infliger une correction, les trois caïds préfèrent /préfèreront à coup sûr la peine prononcée par le juge !

 En attendant, je vais vérifier l’usage de SI + conditionnel

Bonjour,
J’aurais tendance à penser la différence ainsi :
– une  commission étudie, analyse, prépare… ;
– un comité agit (c’est plus physique) : comité des fêtes, comité d’accueil…

Votre question me permet de constater que le passé simple n’est pas mort.
Il serait temps que je révise la conjugaison des verbes en -dre.

Ah, Word !

Il corrige les erreurs sur les mots, pas sur les accords.

Quel est le sujet de « a/ont amené »  ? Les machines. Donc « ont »

En fait, vous avez trois questions.

En ce qui concerne la première, j’ose croire, Tony, que vous maîtrisez aujourd’hui totalement  la règle de l’accord du PP avec voir+infinitif.
Je laisse à d’autres le soin d’y répondre ?

Sur la deuxième question, vous avez la réponse dans la première phrase que vous avez écrite. Alors pourquoi ce doute ?

Quant à la dernière question, je poserais plutôt : pourquoi écrire au pluriel ?
Et pourquoi ne pas trouver d’abord la solution vous-même ?
J’ouvre le wiktionnaire, et je lis (par exemple) ;en privé \ɑ̃ pʁi.ve\ [Locution adjectivale]

1. Sans le rendre public, seul à seul

Qui s’oppose à en public ; et qui a la même construction que  en secret, en  sourdine, en catimini, en cachette, en pantalon, en accordéon… en colère…
mais : en chaussettes, 

jbambaggi l’a bien expliqué, comme on peut aussi comprendre : Une des plus belles phrases…

On aurait pu avoir une apposition : une des phrases, la plus belle, la plus forte, …

En revanche, Voltaire m’a appris un tour que je trouve ahurissant, mais qui s’avère logique, le superlatif absolu :  « C’est alors que cette phrase devient le plus belle. »
Proposez-le à la réflexion de votre rédactrice.

J’ai appris à mettre quoi ?
Chaussures étant COD de « mettre », il n’y a pas d’accord sur « appris » .

Ou, autrement analysé : quel est le COD de appris ?  « à mettre… » ; invariable.

Et pourquoi pas : « Compte tenu du service que nous voulons rendre, notre équipe attache une attention particulière à répondre par ses qualités aux différents besoins de ses clients. » ?

Certes, ce n’est pas cher payé, un tel voyage, mais quand même, n’oublions pas que ce n’est pas  payer cher.

Non, ce n’est pas un jeu de mots.

Rien est ici renforcé par un adverbe : absolument rien, rien du tout ;  trois fois rien ; et le plus fort : rien de rien.