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Merci beaucoup, Joelle, et CParlotte, pour vos réponses, fortes de sens.
Suite à vos commentaires, je vous avouerai que ma meilleure formulation était à priori (et après longues réflexions avant que je vous soumette ma question) la première version , c’est-à-dire : Plus tard, s’il restait quelque chose qui tienne encore debout…
Joelle m’a conforté dans ce sens et je l’en remercie, bien que, et je suis d’accord avec elle, cela ne soit pas le langage le plus « chatié » !
(au passage, je note tout de même que j’avais bien mis un accent circonflexe sur le i de tînt).
Quant à l’extraordinaire développement de CParlotte, j’en reste confus tant cela est riche de finesse dans la recherche du contexte de ce début de phrase qui, il est vrai, ne peut s’interpréter exactement sans en connaître la suite.
Je lui suis donc extrêmement reconnaissant, ainsi que tous ceux qui liront ses explications, de son analyse qui ne manquera pas de nous faire réfléchir (après tout, le français, c’est pour ça, non ?).
Maintenant, sans révéler plus de texte que je n’ai donné, je veux juste préciser pourquoi j’ai adhéré à la première version.
Il s’agit d’une réflexion donné au passé (à l’imparfait donc) qui se réfère à un futur éventuel (par rapport à ce passé) . C’est pour ça que le subjonctif me paraissait le plus approprié. Ai-je eu raison ? A en croire vos réponses, oui, et je vous remercie sincèrement de vos précieux avis !
Merci donc.- 234 vues
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