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Bonjour,
Avec « vaillants » au pluriel, votre phrase me parait d’une logique impossible : parmi les soldats encore vaillants, il est le dernier à être encore vaillant (donc le seul, puisqu’il est le dernier à l’être… mais pourtant vous venez de dire qu’il y avait encore des soldats vaillants…), et il ne l’est plus pour longtemps. D’où le bruit.
Peut-être que j’interprète mal, mais si on dramatise plus encore votre phrase, ça pourrait donner : « c’est le dernier des soldats encore vivants qui venait de mourir », c’est moi ou ça n’a pas vraiment de sens ?Bref, je laisserais au singulier, y compris le soldat :
« C’est le dernier soldat encore vaillant qui venait de se briser la cheville »- 827 vues
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Bonjour,
Vous nous avez donné l’habitude des phrases alambiquées, mais là, pour être honnête : c’est très très lourd à digérer.
Peut-être « Savoir que l’on doit cesser d’exister », pour garder une certaine emphase, mais sans la pénibilité de l' »enfilade » des quatre infinitifs. Je crois que c’est « savoir devoir » qui est le plus gênant, essayez avec des synonymes (personnellement je n’ai pas réussi).
Edit, à la lumière de votre commentaire à la réponse de PhL : « Savoir que l’on devra cesser d’exister, nous fait vivre comme sous la constante menace… » ?Cette réponse a été acceptée par Pompadour. le 21 février 2023 Vous avez gagné 15 points.
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Bonjour,
Généralement, lorsque « tout » est suivi d’un déterminant (« un », « une », « le », »la », « ce », « cette », etc.), vous n’avez pas de doute à avoir : « tout » est adjectif et s’accorde : « l’entreprise a toute une cellule dédiée(*) à… », dans le sens « l’entreprise a une cellule entière dédiée à ».
Si vous aviez écrit, « l’entreprise a une cellule tout entière dédiée à… », là « tout » aurait été adverbe, dans le sens « l’entreprise a une cellule entièrement dédiée à… ».
La distinction entre « tout » adjectif (qui s’accorde), et « tout » adverbe (qui a la particularité de s’accorder dans certains cas, ce qui ne facilite pas la compréhension), est parfois difficile. Mais dans votre phrase, la présence de « une » derrière « tout(e) » peut vous enlever vos doutes : « toute une… ».
(*) « dédier » est effectivement impropre, mais comme beaucoup d’autres termes déviés de leur sens, et appauvris, il est largement utilisé dans le langage des entreprises. On le voit et l’entend également dans la presse. Bien sûr, cet usage fréquent ne le rend pas plus « propre », mais il est malheureusement plus facile d’adhérer à l’usage (surtout en entreprise), que de lutter contre.
Cette réponse a été acceptée par Gloups. le 23 novembre 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Je réponds uniquement sur les « ronds verts » : ils deviennent verts lorsque vous apportez le vote « meilleure réponse » à la réponse qui vous satisfait le plus : celle-ci apparait alors en tête de toutes les réponses, et le rond devient vert.
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Bonjour,
Je ne serais pas si catégorique pour votre 4ème phrase. Si elle avait été « elle riait au point, qu’elle en pleurait », effectivement la virgule aurait été fautive. Mais dans « à tel point, que », le sens n’est pas si éloigné du « si…que » de la première phrase. La virgule insiste sur « à quel point » elle riait, elle riait tellement, qu’elle en pleurait.
C’est une réponse purement intuitive, et je peux me tromper. Mais si c’est le cas, je veux bien qu’on m’explique.
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Bonjour,
Il ne semble pas y avoir de règle tranchée sur la question du singulier ou du pluriel après zéro. Mais ce qui parait logique, si vous laissez « jour » au singulier, c’est de mettre le verbe au singulier également. Je pencherais plutôt pour le pluriel partout : « Jusqu’à présent 0 jours de travail ont été prestés de telle sorte que le délai restant est de 80 jours de travail ».
Et le plus correct à mon sens serait d’écrire « Jusqu’à présent aucun jour de travail n’a été presté, de telle sorte que le délai restant est de 80 jours de travail. »
(Rien à voir, mais je ne connaissais pas le verbe « prester », et même après vérification dans un dictionnaire, je suis incapable de dire s’il est correctement employé ici.)
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Bonjour,
« J’ai un empêchement le jeudi 9, et ne pourrai honorer notre rendez-vous. » / « Pouvons-vous fixer une date ultérieure, je suis disponible le vendredi 10 » ou « je vous propose le vendredi 10, pouvez-vous me confirmer votre disponibilité. »
« Je vous proposerai » (futur) n’est pas indiqué, vous êtes en train de proposer.
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Bonjour,
« ça glisse tout seul » est une expression familière, dans votre phrase l’expression fait un peu « tache » au milieu d’un langage plutôt soutenu. Mais si vous y tenez vraiment, pour lier avec le ski, je choisirais plutôt « ou comme ces activités qui, à partir du moment où on les exerce régulièrement, glissent toutes seules. » (pourquoi mettez-vous « comme de » après vos deux autres « comme » ? Et je rajouterais « ou » devant le dernier « comme ».)
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Bonjour,
Pas de doutes à avoir sur l’accord de « mis » avec les « petites choses ». « Mises bout à bout ».
C’est la double fonction du « qui », dans votre phrase, qui m’a interpelée. Il semble se référer à la fois aux « petites choses qui, mises bout à bout… », et au « bonheur, qui ressemblait »
Ce n’est qu’une suggestion, mais j’aurais mis ce « qui » en début de phrase, pour reprendre uniquement le bonheur : « Pour entrevoir un bonheur qui, fait de petites choses mises bout à bout, ressemblait fort bien à l’idée que je m’en faisais. »- 1108 vues
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Bonjour,
Je ne vois que le présent possible dans votre proposition :
« Si les gens restent dix ans sur un jeu non modifié, imaginez un peu le temps qu’ils y passeront quand ils apprendront qu’il peut être bidouillé. »- 3874 vues
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