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Bonjour,
Je préfère prévenir que je ne suis pas sûre de ce que j’avance, mais je ne suis pas d’accord avec la réponse de Joëlle. Il y a ce « d’en » (=méconnaître la justesse de ces effets), qui serait redondant avec le « dont » qu’elle vous suggère. Bref, c’est votre formulation qui me semble correcte (et le rythme de la phrase est meilleur mais ça n’a rien à voir avec la grammaire 🙂
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Bonjour,
Pour moi il faut un trait d’union. L’astuce donnée par le conjugueur : « Pour déterminer si un pronom personnel se rapporte ou non au verbe, il faut mettre la phrase à l’indicatif. Les pronoms situés avant le verbe conjugué se rapportent à celui-ci et seront donc liés par trait d’union à l’impératif ».
– viens me le dire (tu viens me le dire) –> pronom derrière le verbe à l’indicatif, il se rapporte alors au verbe à l’infinitif –> Pas de TU
– laisse-moi la regarder (tu me laisses la regarder) –> pronom devant le verbe à l’indicatif –> TU
– Fais-nous gagner du temps (tu nous fais gagner du temps) –> pronom devant le verbe à l’indicatif –> TU
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Bonjour,
Votre poème est très joli (avis personnel), et le « de » n’a rien de gênant, il ne perturbe pas la compréhension. A l’écrit, pas de problème. A l’oral, ou si ce poème est mis en chanson, on peut entendre que ce sont les bras qui sont raffermis, et le vers devient alors nettement plus prosaïque, presque trivial (et il le serait encore plus avec « par »)… Mais j’ai peut-être une lecture « mal placée », je ne sais pas.
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Bonjour !
Ça faisait un moment que je n’étais pas venue sur le site, et vos échanges, Cathy et Nonobstant, m’ont beaucoup amusée, c’était un beau match, et vous n’y lâchez rien 😉.
Personnellement, peut-être que je m’habitue à votre style, mais il n’y a que le côté involontaire de l’éclairage qui m’avait interpelée, et vous en expliquez les raisons plus bas. Je ne trouve même pas qu’un « et » s’impose après « l’absence », car on devine (mais je peux me tromper) que cette liste dissuasive n’est pas exhaustive. Donc, finalement, rien à redire !
Et bravo pour vos « questionnements textistentiels », je suis fan également !- 555 vues
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Bonjour,
Sur le blog de Grevisse.fr, il est indiqué que les deux (invariabilité et accord) sont admis, avec les exemples suivants :
« Tout le monde l’a CRUE morte » (V. Hugo) » vs « Derrière ses yeux se creusaient de profondes salières qu’on aurait CRU évidées au scalpel » (T. Gautier)- 707 vues
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Bonjour,
Il n’y a qu’un exemple de mauvaises manières (l’invective), c’est peut-être ce qui peut-être ce qui donne cette impression de phrase non terminée. Je pense que vous ne pouvez pas faire l’économie d’un « par exemple » ou « en particulier ». Je remplacerais pour ma part les deux points par un tiret, les deux points fonctionnent moins bien je crois, à vous de voir.
L’avocat le cède au militant politique. Il en adopte le sabir et les mauvaises manières – l’invective par exemple, fût-elle (l’effet) du zèle.
L’avocat le cède au militant politique. Il en adopte le sabir et les mauvaises manières : en particulier l’invective, fût-elle (l’effet) du zèle.- 1024 vues
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Bonjour,
Je partage votre perplexité, et celle de Tara.
– « […] elle a été créée en mil neuf cent vingt par un Danois, artiste à ses heures perdues».
– » […] elle a été créée en mil neuf cent vingt par un artiste danois ».- 541 vues
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Bonjour,
Oui dans tous les cas on accorde à « nous », mais il faut juste s’assurer que ce « nous » n’est pas un « nous de modestie » (dans une dissertation, une préface de thèse etc.), qui remplacerait un « je » ou « me » :
– « Ce qui nous a motivé » si « nous » représente un homme (comme « ce qui m’a motivé« )
– « Ce qui nous a motivée » si « nous » représente une femme (comme « ce qui m’a motivée« )- 2855 vues
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Bonjour,
D’accord avec vous. Si votre commanditaire veut absolument que « fixés » se rapporte à « objectifs », tout en gardant la même structure de phrase, il faut qu’il l’indique par un pronom : « car il a atteint les objectifs dans le temps qu’il se les était fixés ».
La tournure que vous lui avez proposée est bien meilleure…- 784 vues
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Excusez-moi, j’ai cru de bonne foi que la tournure « c’est de ma faute » était dans tous les cas fautive. Or il n’en est rien : « c’est ma faute » est une tournure plus soutenue, mais « c’est de ma faute » n’est pas incorrect, et dans vos 4 phrases, il ne serait pas fautif de laisser « de ».
La seule tournure à éviter serait avec la répétition de « de » ( « c’est de la faute de »). Voir ici : C’EST MA FAUTE, C’EST DE MA FAUTE : emploi de la préposition DE | BDL (gouv.qc.ca)
Et la réponse de l’Académie à un internaute : ici- 2325 vues
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