Bonjour,
Oui, c’est bien ça, c’est le sens.
C’est la règle des trois unités du théâtre classique.

C’est l’indicatif sans doute, mais il nous manque l’analyse grammativale qui le prescrit.

Bonsoir,
Vous vouliez peut-être écrire:…….. ne prêtez pas d’intentions aux…………….
ou…………………………………………………………ne prêtez pa attention aux…..
ou…………………………………………………………..ne faites pas attention aux….

Bonjour Aline,
Vous pensez, je suppose, à un participe passé employé seul, sans auxiliaire.
Affligé (sans phrase) est un mauvais exemple  pour obtenir des réponses claires et concises ; affligé est un nom et un verbe qui se conjugue aussi avec l’auxiliaire avoir.

Bonjour,
Les modes de votre phrase sont bons, c’est un présent de l’indicatif, et c’est ce  qu’il faut.
Plus haut, cependant, j’écrirais simplement « je suppose » pour ne pas céder à la tendance ridicule d’utiliser le conditionnel pour un oui et pour un non.
Plus c’est simple, mieux c’est.

Bonjour.
Quand j’avais 18 ans, je pensais qu’à 25 j’aurai le permis et un logement, que je serai quelqu’un d’accompli.
Votre phrase est ainsi bien orthographiée ; il faut le futur simple.
Laissez tomber la règle du futur du passé, bien souvent elle vous dérouterait.
Après  » je pense que, je pensais que »,  il faut l’indicatif.
Remettez-vous en au sens.
Mettez au pluriel.
Quand nous avions 18 ans, nous pensions qu’à 25 nous aurons (et non aurions) le permis et un logement, que nous serons (et non serions) des hommes accomplis.

Bonjour.
Vêtus, participe passé employé sans auxiliaire s’accorde avec le sujet comme le participe passé conjugué avec l’auxiliaire être.
Nous sommes vêtus.
Vêtus,…
Elle est effrayée, elle se sauve.
Effrayée, elle se sauve.

Bonjour,
Monsieur Péquégno a enseigné (quoi ?) la règle de trois (COD) (à qui ?) à m’, à moi (COI).
La règle de trois que monsieur Péquégno m’a enseignée.

Bonjour
Je voudrais vous remercier de nous permettre de passer ces fêtes ensemble.
Merci de m’accueillir comme un membre de la famille.

merci, c’est donc correct