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Le sujet est « qui », dont l’antécédent est « Père », mais puisque ce nom est utilisé comme vocatif, il s’agit bien d’une deuxième personne.
Conjuguez obligatoirement selon la deuxième personne, au singulier actuellement (Notre Père qui es aux cieux), ou au pluriel anciennement (notre Père qui êtes aux cieux).- 392 vues
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La séparation entre les deux termes n’est pas nécessaire, ni même justifiable. On doit considérer que l’article partitif est un article indéfini, mais on peut nommer, si on le souhaite, articles partitifs les deux articles indéfinis qui n’existent qu’avec un sens partitif.
Dans « une tomate, du pain, des haricots et de l’eau », on a quatre articles indéfinis.
Vous pouvez regrouper les articles indéfinis ainsi :
— un, une : individuel
— du, de la : partitif
— des : pluriel
Si un exercice exige de catégoriser, considérez simplement que l’article défini s’utilise pour des choses nombrables (une robe, deux robes, des robes) et l’article partitif pour des choses non nombrables (du riz, mais pas un riz, pas deux riz, pas des riz). Et donc avec cette approche, il n’existe pas d’article partitif au pluriel. Bien sûr, sémantiquement, le partitif pluriel existe : si on dit que « du riz » est partitif dans « manger du riz », alors « des pâtes » est partitif, car « manger des pâtes » n’est certainement pas le pluriel de « manger une pâte », mais syntaxiquement, on a juste un article indéfini pluriel.
Pour « des vacances », ce n’est pas parce qu’on ne peut pas compter les vacances (une vacance, deux vacances…) que c’est partitif (de la vacance). On a juste un mot qui s’utilise toujours au pluriel dans cette acception, et un simple article indéfini pluriel.- 538 vues
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Non, le « ne » n’est pas possible, ni comme porteur d’une négation, ni comme « ne » explétif, vous n’avez donc aucun choix à faire.
* La négation est exprimée par « sans », et la présence d’un « plus » n’a pas davantage d’importance que la présence d’un « rien », ou d’un « plus rien » :
— Il ne parle pas, il ne parle plus, il ne dit rien, il ne dit plus rien…
— Sans parler, sans plus parler, sans rien dire, sans plus rien dire…
* Quant au « ne » explétif, on ne le trouvera jamais sous la forme « sans ne« , mais seulement dans certaines propositions subordonnées (on craint qu’il ne… avant qu’il ne…). C’est peut-être le cas particulier de « sans qu’il / sans qu’il ne… » qui vous a fait hésiter, mais d’une part il n’y a pas de « sans qu’il ne » dans votre phrase, et d’autre part il faudrait un contexte négatif dans la proposition principale pour accepter un « ne » explétif dans la subordonnée (elles ne se sont jamais revues sans qu’on ne…). Quant aux propositions infinitives, comme dans votre phrase, elles ne sont pas concernées par la possibilité du « ne » explétif : sans avoir jamais marché, sans jamais marcher, sans vouloir parler, sans vouloir parler davantage, sans plus y croire, sans avoir quoi que ce soit à dire, sans rien avoir à dire, sans avoir rien à dire d’autre, sans avoir plus rien à dire…- 627 vues
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Cette nuance n’existe pas, c’est juste une faute.
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Quel sens donnez-vous à « je me devais de… » ?
Si c’est du passé (à l’époque, je me devais de…), vous avez le choix. Le plus fréquent est la concordance. Ce n’est pas parce qu’une chose est encore vraie aujourd’hui qu’il faut renoncer à la concordance des temps.
— Il découvrit alors que la terre tournait.
Si c’est une simple modalité (hésitation, réticence, mise en retrait du locuteur…) du verbe dans un contexte présent (et pour conclure, je me devais de préciser que…), d’une part cette modalité est totalement inutile, et d’autre part, si vous la conservez, rien ne demande de concordance des temps puisque vous n’introduisez aucun temps passé. Sans retour vers le passé, il n’y a jamais aucune concordance à faire.- 373 vues
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Vous avez raison. L’expression « couver du regard » ne peut pas être transformée en « les regards dont on les couve ». Cette transformation ne serait acceptable qu’avec « couver de regards » (couver avec des regards), expression qui n’existe pas.
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Pas de subjonctif après « je pense que ». Je pense qu’il pleut (et non qu’il pleuve). Je pense qu’il fait beau (et non qu’il fasse beau).
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Comprenez que je ne peux pas vous accorder une autorisation.
Veuillez comprendre que je ne peux pas vous accorder une autorisation.
Il faut que vous compreniez que je ne peux pas vous accorder une autorisation.
Je pense que vous pouvez comprendre que je ne peux pas vous accorder une autorisation.
Allez-vous enfin comprendre que je ne peux pas vous accorder une autorisation ?
Je ne peux pas, je ne peux pas, c’est comme ça.- 585 vues
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L’adjectif se met au pluriel. Le sens adverbial (avec invariabilité) ne peut pas s’appliquer à un nom.
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Un nom indéfini ne peut pas être remplacé par un pronom défini (relire ceci ).
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