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Un addenda est un ensemble de choses ajoutées à la fin d’un livre, peu en importe le nombre.
Il n’y a pas de mot pour le cas particulier où il n’y aurait qu’une chose dans cette liste, et ces pages du livre s’appellent un addenda.
Si le texte que vous traduisez concerne l’impression de livres, il y est éventuellement question d’addendas.
Cela s’appelle un addendum en anglais, même avec plusieurs ajouts, et un addenda en français, même avec un seul ajout.
Le nouveau mot français addendum, absent des dictionnaires, désigne a priori chacun des ajouts dans un addenda. Mais le sens diffère alors du sens anglais, et il est donc impossible de traduire addendum par addendum.
Mais puisque vous nous dites que vous traduisez des documents juridiques, oubliez donc cette histoire d’addenda/addendum.
Si ce mot dans vos textes désigne ce qui complète un document juridique, cherchez dans un bon dictionnaire, ou demandez à un juriste bilingue. Par exemple en français, ça pourrait être un avenant, un codicille, un acte additionnel, une annexe…
Bref,
S’il s’agit de la fin d’un livre, traduisez addendum par addenda.
S’il s’agit d’un terme juridique, cherchez dans un dictionnaire juridique.
Mais en aucun cas ne traduisez addendum par addendum.- 421 vues
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Vous verrez sur le site bescherelle.com (éditeur Hachette)
que le passé simple du verbe résoudre à la première personne du singulier est : je résolus.
https://conjugaison.bescherelle.com/verbes/resoudre
On n’utilise pas les verbes absoudre et dissoudre au passé simple, mais le passé simple de résoudre est fréquent.- 220 vues
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Il y a des cas où on peut hésiter.
* Le mot « ce » est-il un pronom qui reprend son antécédent ?
— Cette chose, c’est…
— Ces choses, ce sont…
* Ou faut-il voir dans »c’est » une simple formule présentative, avec conjugaison selon ce qui est introduit ?
— Regarde, c’est mon père
— Regarde, ce sont mes parents
Quand il y a de chaque côté du « ce » des réalités de nombres différents, ces deux principes se contredisent. C’est ainsi qu’on peut hésiter entre :
— l’enfer c’est les autres
— l’enfer ce sont les autresMais dans votre phrase, vous avez deux pluriels, il n’y a aucun conflit :
— Les invertébrés du livre, ce sont les hommes
C’est aussi simple que si vous aviez eu deux singuliers :
— L’invertébré du livre, c’est l’homme
Le problème du choix d’un nombre se serait posé dans ce cas :
— La communauté dénoncée dans le livre, c’est les hommes ?
— La communauté dénoncée dans le livre, ce sont les hommes ?
Les deux conjugaisons seraient valides :
— Il se pourrait bien que la communauté des invertébrés dont il est question dans cet ouvrage, [ce soit / ce soient] hélas les hommes.- 198 vues
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Si vous voulez un pronom relatif, comme le dit votre question, vous n’avez pas le choix, c’est obligatoirement « où ». Le mot « que » n’a en effet jamais été un pronom relatif reprenant un complément de lieu. Le pronom relatif « où » a un antécédent, et c’est bien normal que l’antécédent et le pronom relatif désignent tous les deux un lieu, c’est exactement le principe du pronom relatif : — voici le bureau où je travaille — c’est le bureau où je travaille — c’est là où je travaille — il pleut dans le bureau où je travaille — nous allons dans un endroit où nous sommes invités — nous allons en Bretagne, dans le Finistère, où nous serons bien accueillis… Ce pronom est valable également pour des indications de temps : — c’était l’année où il a tant plu…
Dans votre phrase, la construction en « c’est » ne sert pas à montrer. Elle n’introduit pas un attribut dont pourrait dépendre une relative.
On peut certes montrer : — voici la Bretagne où j’aime me promener — la Bretagne des banlieues, c’est la Bretagne où on vit mal — c’est un pays où je vais souvent…
Mais, en écrivant « en Bretagne », vous ne montrez plus rien, même pas en pensée. Vous avez simplement et obligatoirement la bête formule de mise en exergue « c’est… que »… Dans ces phrases, le mot « que » n’est pas un pronom relatif mais une simple conjonction de subordination sans antécédent : — c’est hier que l’incident a eu lieu — c’est surtout de temps que je manque — c’est de lui que je parle — c’est en cela que l’entreprise est risquée — c’est en Bretagne que nous allons…- 218 vues
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Dans le cas d’une interrogation partielle portant sur le sujet, on ne reprend pas ce sujet par un pronom : Qui vient ? Quelles personnes viennent ? Combien de personnes viennent ?
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Il n’est pas très fréquent qu’on ait envie ou besoin de supprimer le mot « je », ni même sa voyelle « e », devant une consonne.
On le fait très souvent à l’oral, mais rarement à l’écrit.Supprimer le sujet « je » ne serait pas une contraction. La contraction serait plutôt « j’suis », une contraction non autorisée, mais la plus simple et la plus claire pour indiquer la prononciation en une syllabe de « je suis ». Ce serait valable par exemple pour reproduire un discours oral, ou pour transcrire les paroles d’une chanson.
On ne supprime normalement pas de l’écriture les « e » muets qui sautent à l’oral. On dit « la billet’rie » mais on écrit « la billeterie ». Si vous devez indiquer à des chanteurs non francophones les « e » qui ne se prononcent pas, vous pouvez remplacer les « e » muets pas des apostrophes ou par tout signe à votre convenance, mais il n’y a pas de règle syntaxique française concernant cela. De la même manière, vous pouvez donc continuer à écrire « je suis » en précisant par le signe de votre choix qu’on prononce « j’suis ».
Si les membres de votre peuple barbare n’ont pas les dents suffisamment bien placées ou la langue suffisamment bien conformée pour prononcer « j’suis », alors mettez une double apostrophe : » »suis », c’est totalement irrégulier, mais c’est pour vous dire que même si vous ne prononcez pas le « e » de « je », et même si vous ne prononcez pas le « j » de « je », c’est-à-dire si vous ne prononcez pas le sujet « je », vous n’êtes pas pour autant autorisé à faire disparaître à l’écrit le sujet de la phrase.Maintenant, vous voulez peut-être parler non pas d’une élision mais d’une ellipse, du sujet et parfois d’un auxiliaire…
L’esprit de la langue française permet presque la phrase sans sujet : naquit, vit, mourra.
Aux temps composés, la phrase avec ellipse du sujet existe et est courante dans un journal : hier, suis allée me promener avec un jeune homme blond ; hier monté au front ; aujourd’hui, ai écrit deux lettres …Il n’y a aucun temps composé ni aucune raison d’oublier le sujet dans « je suis boulanger », donc rien ne permet de supprimer le sujet dans votre phrase attributive.
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Réponse à la réponse de @NP
Bonjour, je vois que Chambaron a répondu à la question que vous me posiez, c’est original. Sa première réponse n’avait aucun rapport avec votre question. Quant à son commentaire sous la réponse que vous m’avez faite, il est fautif. Expliquez-vous avez lui par le biais des commentaires, sous sa réponse.
Le mot « démonstration » désigne à la fois le contenu de la démonstration et son exposé. Je ne crois pas que ce soit le cas pour le mot « analyse ». Dites plutôt « mon analyse » pour parler du contenu, et « l’exposé de mon analyse » pour parler de l’exposé de votre analyse. Il peut arriver que des acceptions se recoupent, en particulier par métonymie, mais de préférence, évitez.
On va donc dire ici « mon exposé ».Mais « mon exposé est coupé court », « mon exposé est interrompu », ça ne se dit pas beaucoup non plus.
Puisque vous suggérez en réponse que que écrivez à la voix passive, écrivez donc de préférence au passé « mon exposé a été interrompu » et non « mon exposé est interrompu ». La voix passive au présent est rarement utile sans présent de narration (je parle, et soudain, mon exposé est interrompu…).
On va donc poursuivre au passé composé.Si la phrase vous intrigue à la voix passive, mettez-la à la voix active. On obtient : on a coupé court à mon exposé.
La construction « couper court un exposé » n’existe pas (elle a existé anciennement).
Comme on ne coupe pas court un exposé, à la voix passive, un exposé ne peut pas être coupé court.
Vous ne devez pas chercher à orthographier le mot « court » dans votre phrase, mais vous devez simplement renoncer à cette phrase.Vous posez votre question technique avec un ton assez simple, ce qui me fait penser que vous parlez parfaitement le français, aussi bien que nous, et que vous le parlez tous les jours. C’est-à-dire que votre question n’est ni une question d’étranger ni une question d’enfant (dans ces deux cas il faudrait qu’on vous réponde différemment). Et donc, tous les jours, vous parlez français avec vos amis, et vous ne leur avez jamais dit « mon analyse est coupée court ». Vous savez, depuis vingt ans ou plus, que ça ne se dit pas, et cependant vous avez soudainement décidé que, bien que ça ne se dise pas, vous deviez l’écrire. Je vous conseille réellement de n’écrire que des phrases dont vous connaissez le sens, que vous savez utiliser aussi bien à la voix active qu’à la voix passive, et dont vous connaissez au moins un exemple d’utilisation valide. On ne se met pas tout à coup à faire des phrases bizarres le jour où on a un texte à rédiger.
Si vraiment vous devez utilise l’expression « couper court », ne l’utilisez jamais dans une construction transitive directe : on a coupé court la rumeur / la rumeur a été coupée court. Cette construction a plusieurs siècles. Elle n’est plus valide.
C’est uniquement dans le cadre de cette construction ancienne qu’on pourrait envisager un accord, comme actuellement pour les cheveux (je les préfère courts, donc les coupe courts). Mais même dans cette construction ancienne, pour dire « abréger » ou « interrompre », on avait déjà renoncé à voir un adjectif attribut et on utilisait déjà « court » comme un adverbe, invariable.Et si vraiment vous devez utiliser l’expression « couper court à », pour dire qu’un exposé a été interrompu, alors utilisez-la à la voix active et intransitivement.
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Ne vous fiez jamais à la réponse la plus tordue parce qu’elle vous semblerait plus complète. Évacuez les digressions dans les réponses. Ne tenez pas compte de l’avis de ceux qui mélangent des règles et des phrases commençant pas « personnellement je ».
Vous avez exposé les règles dans votre question, n’en ajoutez pas. Il n’y a rien à harmoniser :
— les étrangers comme les Français / les Corses et les touristes / les premiers Américains et leurs esclaves / les Berbères et les colons…- 409 vues
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On dit « la cigogne vole haut dans le ciel » mais « la cigogne est haute dans le ciel ». (lol)
Vous semblez refuser qu’un adverbe de lieu ne puisse pas être utilisé avec le verbe de situation « être » dès lors qu’il existe un adjectif permettant de considérer que le verbe « être » n’est plus dans ce cas un verbe de situation, mais qu’il devient automatiquement un verbe d’état.
Vous pensez que c’est comme s’il fallait dire « elle va partout » mais « elle est partoute », en accordant, alors que non, et si vous voulez utiliser le verbe « être » comme un verbe de situation suivi d’un adverbe de situation, vous aimeriez bien savoir qui peut vous en empêcher.
On dit : elle va là, elle vient ici, elle va dehors, elle habite loin de chez moi, elle vole haut dans le ciel…
Mais avec le verbe « être », il faudrait dire : elle est là, elle est ici, elle est dehors, elle est loin de chez moi, elle est haute dans le ciel…
Vous n’acceptez pas cette exception, et vous demandez :
— Si je monte très haut, est-ce que, arrivée en haut, je serai très haute ?
Ai-je bien interprété votre question ? Si la réponse est oui ma réponse est non. Un adverbe de lieu reste un adverbe de lieu. Personne ne peut vous obliger à utiliser un adjectif quand vous voulez utiliser un adverbe de lieu.On en voit sur ce site et ailleurs qui sortent leur dictionnaire pour justifier que, aussi incroyable que cela paraisse, l’adjectif « haut » existe. Mais vous le savez depuis à peu près l’âge de deux ans, que la poignée de la porte est trop haute pour l’attraper, ce n’est pas un mot tellement extraordinaire. Pourtant apparemment, ça reste un argument : puisque ce mot existe, vous devez l’utiliser ! Et on expliquait encore sur ce site récemment que dire « la barre est haute » est un « abus de langage », ou que dans « elle est loin », le mot « loin » est utilisé comme « attribut », et que tout ça est une « dérive entrée dans les mœurs »… Le niveau des grammairiens, comme le niveau des collégiens, baisse.
Vous le savez certainement, le verbe « être » s’utilise comme verbe introduisant une situation, une localisation (elle est là), ou comme verbe d’état, verbe attributif introduisant une qualité (elle est belle). La preuve qu’il s’agit de constructions syntaxiquement différentes est qu’on ne peut pas mutualiser le verbe, sous peine de zeugme : elle est belle, elle est là, elle est belle et là. Pour connaître la nature du prédicat, adjectif ou adverbe, c’est le sens du verbe « être » qui compte.
Votre exemple, s’il visait à proposer une double interprétation possible, est parfaitement raté. Vous vouliez un exemple où on puisse considérer que « haut » avait une valeur d’adverbe, mais vous y avez intégré un élément prouvant que vous-même le considérez ici comme un adjectif attribut.
En effet, en écrivant « la plus », vous avez clairement choisi l’adjectif, car pour graduer un adverbe vous auriez écrit « le plus » :
– avec un adverbe : — c’est elle qui court le plus vite, c’est elle qui est le plus haut sur le podium
– avec un adjectif : — c’est elle qui est la plus rapide, c’est elle qui est la plus haute sur le podium
Puisque vous avez choisi « la plus », vous êtes obligé de choisir le sens attributif « la plus haute » (la réciproque n’étant pas vraie).
Qu’il faille préférer l’une ou l’autre construction n’importe pas, ce qui rend votre problème insoluble, c’est d’avoir mélangé un positionnement (le plus haut) et une caractéristique (la plus haute) pour en faire un absurde « la plus haut ».Il y a comme vous l’avez peut-être remarqué des milliers de livres et d’articles traitant de cette question, généralement en disant des âneries, et à chaque fois que la question est posée sur ce site, quelqu’un débarque prétendant résoudre la question en quelques lignes, pour vous dire ce qui est correct et ce qui fautif. Permettez-moi à mon tout de vous proposer quelques hypothèses.
1) avec le verbe « être », on a théoriquement le choix entre une caractéristique (adjectif qualificatif variable comme dans elle est présente) et un emplacement (adverbe de lieu invariable comme dans elle est là), mais puisque avec « haut », c’est l’adverbe de lieu qui est dérivé de l’adjectif et non l’inverse, l’esprit de la langue, dans la continuité du latin, privilégie la caractéristique à l’emplacement.
2) L’adverbe de lieu « haut » n’existe simplement pas. Le seul et vrai adverbe de lieu, c’est « en-haut ». On ne vit pas « haut », mais on vit « en-haut ». On peut certes « être loin » mais on ne peut pas « être haut ».
3) Le mot « haut » est un adjectif, et n’est en réalité jamais un adverbe de position. Ce n’est pas « la barre est haute » qui est fautif, c’est « mettre la barre haut » qui est fautif, car « mettre », comme « rendre » est attributif (on rend une femme folle, on met une femme enceinte), l’attribut étant l’adjectif. Il n’y a d’ailleurs pas d’autre cas connu où on fasse suivre « mettre » et son COD d’un adverbe quand c’est un attribut qui correspondrait au sens voulu. Les articles qui veulent justifier la dualité « on met la barre haut » / « la barre est haute » (c’est-à-dire 95% d’entre eux) n’ont aucun fondement linguistique.
4) Le mot « haut » a pris effectivement une valeur adverbiale en complétant un autre complément de lieu, comme dans « haut dans le ciel », mais c’est seulement par ellipse que le mot « haut » peut être lui-même interprété comme un adverbe de lieu.
5) Quand le mot « haut » est utilisé adverbialement, ce n’est jamais comme complément de lieu. Ainsi, « voler haut » ne marque aucun endroit dans le ciel, mais désigne une façon de voler, c’est un complément de manière, avec un adverbe appliqué au verbe (ne riez pas, c’est ce qui a été exposé plusieurs fois sur ce site).
6) Le fait que l’adjectif « haut » soit utilisé adverbialement avec un adjectif (haut-gradés, bas-normande) a contribué à l’autoriser dans ce même sens avec des verbes.
7) La possibilité de l’ellipse de l’agent suffit parfois, et parfois non, à appliquer le sens de l’adjectif au verbe, rendant l’adjectif adverbe. La différence entre l’adjectif et l’adverbe est le plus souvent exposée par des personnes peu stables, qui disent par exemple : on peut « voler haut », donc on n’accorde pas « haut » dans « nous volons haut » ; mais qui disent aussi : on peut « vivre tranquille » (dans un sens carrément adverbial), mais on accorde toujours « tranquilles » dans « nous vivons tranquilles ».
8) Je peux vous trouver cinquante autres explications bêtes et faussement syntaxiques comme ça, leur point commun étant qu’on présuppose toujours qu’un mot fait partie d’une catégorie, et qu’on crée ensuite une exception pour montrer comment il y échappe. Cette façon de nomenclaturer la langue avec des règles et des exceptions, seule méthode en vigueur sur ce site, est assez lamentable. Une simple inversion de la hiérarchie entre nature et fonction résoudrait bien des problèmes.Quand vous êtes certain de tenir un mot utilisé comme adverbe de lieu, conservez la certitude, sans demander d’autorisation, qu’un adverbe de lieu ne s’accorde avec rien.
Au moment de vous poster ma réponse, j’entrevois déjà les trois commentaires énervés de marcel1, le -1 de Chambaron ce soir, le -1 de Tara qu’elle attribue chaque matin à mes réponses, et la suppression finale par joelle. C’est dramatique ce qu’est devenu ce site.
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Une analyse coupée court, ça ne se dit pas. Que voulez-vous dire ?
On ne peut pas couper court une analyse (même si l’expression a existé transitivement).
Vous voulez dire que vous avez rédigé une analyse coupée court ? Ou que quelqu’un vous a interrompu pendant que vous l’exposiez ? Ou que vous l’avez finalement abrégée ? Ou autre chose ?
Est-ce une voix passive au présent ? mon analyse est coupée court = on coupe court mon analyse…
Est-ce le verbe « être » avec un attribut ? comment est votre analyse ? mon analyse est coupée court…- 431 vues
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