La réponse de PhL est juste, mais je pense que l’inverse est également possible : un point d’interrogation ou d’exclamation suivi de points de suspension. Cela laisse entendre comme une sorte de soupir, des choses sous-entendues qu’on ne veut pas dire clairement, une invitation à l’imagination vers tout ce qui est compris dans ces points de suspension.
Petite précision : en typographie, on dit effectivement UNE espace, comme l’a écrit PhL.

Pardon, je ne comprends pas l’explication. Je ne vois pas en quoi, dans cette phrase « je suis intéressé par Sordona sachant que j’ai les livres associés », le mot associés est un participe passé. Il me semble que c’est tout simplement un adjectif. Il serait PP si la phrase avait été, par exemple « …les livres que j’ai associés…« .
Et donc, en tant qu’adjectif, il s’accorde avec le mot auquel il se rapporte, quel que soit le verbe (et/ou l’auxiliaire ) employé dans la phrase.
Mais si je me trompe, merci de m’expliquer pour éviter que je commette une erreur ultérieurement.

Associé se rapporte (dans la phrase que vous citez) aux livres (pluriel), donc se met au pluriel : J’ai les livres associés

Attention : « …ou s’adresse-t-il qu’à des objets ? » : NE… QUE, donc « …ou ne s’adresse-t-il qu’à des objets ?« 

D’accord sur le fait qu’il n’y ait pas d’erreur grammaticale.
En revanche, sur le sens, je pense qu’il faudrait un peu préciser : soit TOUT s’est bien passé (dans de bonnes conditions), et dans ce cas on ne peut faire état de déficits de quelque nature que ce soit, soit la séance s’est GLOBALEMENT bien passée, mais il y a eu quelques accrochages et il faut les relever. J’ajouterais donc l’adverbe « Bien que cette séance se soit globalement passée dans de bonnes conditions… ».

Je suis surprise de la forme « C’est toute une autre histoire ». Je ne l’aurais pas mis au féminin.
Qu’en pensent nos spécialistes ?

Je suis très étonnée du score que vous annoncez quand on voit toutes les fôôôtes contenues dans votre question, sans parler des formulations très limites.
… mais je trouve cela pas assez suffisant : mais je trouve que cela n’est pas assez suffisant
… dont les règles d’écriture ne sont pas couverte : couvertes
… celon mes entraînement : selon mes entraînements
…ça serais dommage d’avoir une réserve sur ma Certification que pour des erreurs : ça serait dommage d’avoir une réserve sur ma certification essentiellement pour des erreurs …
Sur le métier remettez votre ouvrage !

La question ayant déjà fait couler beaucoup d’encre, je n’y mettrai pas mon petit grain de sel !
Cependant, quand j’y réfléchis, je ne vois pas bien l’intérêt de conjuguer l’expression car il me semble qu’elle peut garder tout son sens au présent. Exemples :
– Il envisageait d’y aller, autant que faire se peut
– Elle mettra tout dans sa valise, autant que faire se peut.
Mais Magicoco souhaite peut-être apporter une nuance qui m’échappe en l’absence de contextes.

Quand on verbalise la phrase, on entend la virgule ! L’intonation nous indique qu’il y a quelque chose qui sépare ce « allô » de la suite de la phrase.
Et pour s’en convaincre, il suffit d’écouter la chanson de Pierre Perret : »Allô, Olga ?« 

Vos deux propositions sont justes.
Les réponses de Jbambaggi et de Joëlle ne sont pas fausses, mais il faut aussi tenir compte d’une part de votre propre style d’écriture, d’autre part du contexte qui peut (doit) éclairer de lui-même.
Vous montrez, une fois encore, que le rôle de la ponctuation est très important. Merci !