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Dans cette phrase : ne pas accorder : Ces erreurs que j’ai laissé reproduire nous sont aujourd’hui fatales ;
On ne pourrait accorder que si ce n’était pas suivi d’un infinitif. Par ex. : ces erreurs que j’ai laissées dans un coin de ma tête.- 4683 vues
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OK sur la réponse. Mais je pense qu’il faut mettre un « s » à électrique car ce sont le poteau ET le panneau qui le sont.
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Bonjour à tous,
D’accord sur la lourdeur de la deuxième phrase sans la virgule. C’est juste parce que, quand il faut « tricher » avec le nombre de caractères, on peut s’autoriser parfois quelques petites entorses… (bien que je sois toujours à cheval sur la ponctuation qui donne du sens et facilite lecture et compréhension).
Et, toujours avec cette contrainte de nombre de caractères, j’opte pour la formule 2 « Un cadre rétréci étouffe le récit puis s’élargit pour l’extase. » qui s’avère également plus légère. Mais je pense que les 4 propositions sont acceptables.- 5483 vues
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Certes, la concordance des temps imparfait/imparfait est de rigueur, selon la règle. Elle indique que les deux phrases sont simultanées.
Mais alors : quid du présent ? (et donc de la simultanéité mais d’une suite également)
L’auteur peut vouloir parler du don que la personne avait, mais qu’elle a encore, impliquant alors un sens différent.
Par exemple :
– tu avais un don (par le passé) : qu’en as-tu fait ? (ce qui ne dit rien du présent) = Toi aussi tu avais un don. C’était celui de jouer aux dames
ou
– Tu avais un don (par le passé), c’est celui de jouer aux dames : sous-entendu mais tu l’as encore (et la suite pourrait être, par exemple : je souhaiterais que tu t’en serves).
Je conviens que les nuances sont subtiles, mais il me semble que notre belle langue nous permet d’induire ce type de subtilité juste avec ces détails.
Quel est l’avis des professionnels ? Cette concordance des temps imparfait/présent est-elle acceptable ?- 1926 vues
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« être » est un verbe (aussi un auxiliaire, mais pas dans le cas présent) à l’infinitif. Il n’a pas lieu d’être accordé à quoi que ce soit.
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Les formulations sont justes, mais (d’autant plus lorsque le nombre de caractères intervient) la répétition du sujet n’est pas obligatoire. De plus, personnellement, je supprimerais la virgule, ce qui évite encore plus d’éloigner le sujet :
– Un cadre rétréci étouffe le récit puis s’élargit pour l’extase.
– Le directeur discutera demain avec cet élève mais prendra l’avis des professeurs avant de l’exclure ou non.- 5483 vues
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Oups : secret n’est pas nécessairement toujours au singulier.
Il me semble que la construction ici peut se faire comme celle qui préside aux mots pouvant être écrits au singulier ou au pluriel : selon la norme habituelle du mot : pour l’orthographe, remplacer sans par avec.
Exemples :
une maison sans fenêtreS : généralement une maison a plusieurs fenêtres, donc sans fenêtres au pluriel
mais : une famille sans enfant(s) : il peut y avoir 0, 1 ou plusieurs enfants dans une famille, le choix est donc personnel.
Dans la question concernant « le monde de la finance n’aura plus de secret pour vous. », on peut la remplacer par : « le monde de la finance est sans secret pour vous. » et alors l’écrire avec ou sans « s ». Je pense que les deux orthographes peuvent être admises. Secret au singulier étant plus générique, alors que secrets au pluriel impliquant plus une notion de secrets différents les uns des autres, y compris les grands et les petits secrets.- 30953 vues
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Concernant la première question, il se peut que l’action se passe dans un parc d’attraction où se trouvent plusieurs manèges. Le pluriel n’étant donc pas à exclure, selon le contexte. En revanche, bien sûr, les verbes s’accordent avec le sujet : manège au singulier ou au pluriel, selon le choix de l’auteur.
D’accord avec les autres réponses de ChristianF.
Juste un détail : je mettrais volontiers le premier verbe de la (3) au subjonctif également, ce qui génère une redondance « Pensez-vous qu’il soit possible qu’il y ait des personnes qui soient nées pour donner plus que recevoir ». Il est donc possible d’alléger la phrase en supprimant le premier verbe : « Pensez-vous possible qu’il y ait des personnes qui soient nées pour donner plus que recevoir », voire également le dernier : « Pensez-vous possible qu’il y ait des personnes nées pour donner plus que recevoir ».- 3494 vues
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Bonjour,
Tout d’abord une réponse concernant la concordance des temps. Le don n’ayant pas nécessairement disparu, le présent pour « c’est celui de jouer aux dames » n’est pas choquant. L’utilisation de l’imparfait pourrait induire, au contraire, que le don est du passé,.
Quant à l’autre thème, la nature du don » C’est celui de jouer aux dames », au risque de choquer, il se peut que l’auteur veuille jouer sur l’ambigüité : le talent au jeu de dame, mais aussi le fait que la personne joue très bien à être une dame.
Si l’auteur veut lever l’ambigüité, il faudrait juste ajouter par exemple : » C’est celui de jouer au jeu de dames. »- 1926 vues
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Difficile de répondre sans plus de précisions…
Pouvez-vous situer le contexte SVP ?- 4185 vues
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