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Je ne comprends pas : ma réponse a disparu sans raison alors que vous l’avez pourtant lue et sélectionnée.
C’est rageant mais je ne la refais pas puisque vous en avez déjà pris connaissance.- 206 vues
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Les deux formulations peuvent se concevoir mais le verbe reconnaitre serait plus indiqué que attester.
Pour la première phrase, attention à la forme trompeuse du verbe avec la locution « se voir + infinitif ». Ce n’est pas vous qui êtes confié !
Formes proposées :
“Je reconnais m’être vu confier 2 clefs à usage exclusivement professionnel”
“Je reconnais avoir reçu 2 clefs à usage exclusivement professionnel”- 230 vues
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On voit en effet toutes les combinaisons pour ce couple, certains en ayant même deux pour distinguer les épreuves modernes de celles de l’Antiquité. Même les ouvrages de référence s’y emmêlent les anneaux.
La norme typographique habituelle devrait pourtant suffire : majuscule au substantif, minuscule à l’adjectif qui suit, donc « Jeux olympiques », avec la mention « modernes » ou « antiques » si besoin.
S’il n’y a pas de risque de confusion, la mention abrégée « les Jeux » peut aussi se justifier.
NB On écrira de même les Jeux floraux ou, pour rester dans le même domaine grec, les Jeux isthmiques (Corinthe), Jeux néméens (Némée) ou Jeux pythiques (Delphes).- 321 vues
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Je ne sais pas s’il ya une « formule consacrée » pour cela et l’imagination est reine, comme pour les recettes de cuisine…
Vos suggestions sont bonnes sauf « sauce Dupont », plutôt malvenu pour une tarte.
Humoristiquement, vous pouvez employer des synonymes de façon (méthode, recette, fabrication, configuration, etc.) ou « à la mode Dupont » comme pour les tripes de Caen.
Si vous avez des affinités italianisantes, osez alla Dupontese…
Tout cela est Dupont ou Dupond, comme diraient nos amis tintinophiles…- 197 vues
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C’est à l’auteur du « slogan » de savoir à quoi il rapporte la signature car les deux sont possibles !
Par défaut, un adjectif se rapporte au nom le plus proche (ici savoir-faire ) sinon on introduit une virgule qui « casse » ce lien et renvoie en amont à l’autre nom (excellence ) : « L’excellence du savoir-faire français, signée [nom de la marque]. »- 1667 vues
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Même s’ils ont quelques spécialisations traditionnelles pour les éditeurs ou typographes, les tirets « courts » (semi-cadratins, Alt0150) et longs (cadratins, Alt0151) sont d’usage flexible.
En tout état de cause ils ont pour vocation d’écarter les mots et se différencient du trait d’union qui les… unit. Eu égard à la place prise dans les inscriptions, le semi-cadratin tend à remplacer le cadratin et peut suffire : « Principe d’aménagement : section Europe – Joseph Kessel » ou « section Europe — Joseph Kessel ».
NB Le trait d’union dans le nom de l’auteur n’est pas ici strictement nécessaire car il garde une valeur de patronyme isolé sans vraiment devenir pleinement l’attribut d’un toponyme. Mais on écrirait « dans la salle (la rue, le centre, etc.) Joseph-Kessel ».- 183 vues
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Dans un nombre, le mot cent , comme le mot vingt, prend la marque du pluriel s’il n’est pas suivi d’un autre nombre. Cela n’est valable que s’il indique une quantité (nombre cardinal) et non un rang (nombre ordinal) :
– Deux mille cinq cents hommes ;
– Page deux mille cinq cent (deux mille cinq centième page).
Il s’agit là d’un archaïsme, trace de l’époque où cent et vingt étaient des substantifs, comme de nos jours million ou milliard.
À noter par ailleurs que depuis 1990, l’Académie préconise d’utiliser des traits d’union entre tous les éléments afin de faciliter la lecture – donc deux-mille-cinq-cent(s) par exemple. Cela ne se faisait jusqu’alors que pour les nombres jusqu’à cent.- 257 vues
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Dans les constructions verbe conjugué avec auxiliaire avoir + infinitif, il faut examiner de quel verbe le nom antéposé est C.O.D.
Ici vidéos est complément de regarder et non de commencer. Il n’y a donc pas d’accord : « les vidéos que j’ai commencé à regarder ».Cette réponse a été acceptée par Courboulay. le 25 avril 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Le participe composé se rapporte bien à bataillons et se met donc au pluriel : Toutes les forces humaines, toujours appliquées chacune suivant sa nature (Comte, Catéchisme positiviste,1852).
Le TLF-CNRTL (voir I.A.3.) analyse que « l’enchâssement de chacun pose des problèmes d’accord », notamment pour les adjectifs possessifs qui lui sont rattachés. Ce pronom distributif est en effet accordable en genre (chacune) mais plus en nombre à notre époque, ce qui était pourtant le cas dans le passé (chacuns, chacunes).- 219 vues
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Autant caractérise une quantité et je dirais plutôt dans votre exemple « la même chose pour moi ». Sinon oui, ce n’est pas au temps dans ce cas, forme qui indique que l’on reprend à l’étape précédente après une erreur (un mouvement mal exécuté).
Cela étant, les innombrables controverses sur la graphie de la malheureuse expression « autant pour moi-au temps pour moi » ne sont pas près de cesser, deux camps campant fermement sur leurs positions en l’absence d’origine claire.Cette réponse a été acceptée par spunky. le 22 avril 2024 Vous avez gagné 15 points.
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