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L’anglais soude les mots facilement et la racine cyber- (du grec « piloter ») n’y échappe pas : cybercafe, cyberspace et plus de cent autres selon une étude anglaise sont soudés. le terme cyberdefender est donc plausible dans un contexte de fiction.
Le premier a été cybernetics, forgé en 1948 par le mathématicien américain Norbert Wiener. Avant cet usage pour des machines, la racine se rencontrait sous sa forme romane gouvern- (aussi bien gouvernail que gouvernement).Cette réponse a été acceptée par Luciie. le 15 juin 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Deux suggestions :
– « À peine une semaine après l’avoir contactée, j’ai été présenté par Mme G. à deux recruteurs… »
– « Une semaine à peine après notre premier contact, Mme G. m’a présenté à deux recruteurs… »
Un peu moins courant :
– « À peine une semaine après que je l’eus contactée, Mme G. m’a présenté à deux recruteurs… »- 179 vues
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La conjugaison de convenir de (ayant pour sujet des personnes) avec l’auxiliaire être est en passe de devenir un archaïsme que seule l’Académie française défend encore mordicus, contre beaucoup de spécialistes de la langue.
Le verbe de base convenir a en effet perdu depuis longtemps son sens d’origine latin (convenire = venir ensemble) encore en vigueur au Moyen Âge. Il a été influencé par son dérivé conventio (le pacte qui résultait d’une assemblée, d’où une convention au sens d’accord). L’auxiliaire être a donc naturellement cédé la place à avoir pour signifier conclure un accord qui n’est plus un verbe de mouvement.
Il n’est donc pas « de meilleure langue » d’employer l’auxiliaire être et cela ne reflète qu’une obéissance aveugle (et un peu pédante) à une vision obsolète.
Analyse et autres remarques dans le billet ci-joint.- 455 vues
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Il y a bien quelques usages rares de l’adjectif respectif au singulier (avec un nom collectif ou un en emploi technique, voir le TLF ).
Mais l’usage largement majoritaire est au pluriel ce qui permet de rattacher une série de noms à une autre série et ce dans le même ordre : Vincent, François, Paul et leurs épouses respectives. C’est le cas de votre exemple.- 974 vues
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Comme très souvent avec ce type de forme (sans article), les deux sont grammaticalement possibles.
Diriez-vous plutôt stockage en local (locaux) réfrigéré(s) et mise en bocal (bocaux), formes dans lesquelles la différence s’entend ? Le nombre réel d’unités importe finalement peu : le singulier est générique sans connotation mais le pluriel contraint à postuler plusieurs unités du complément. Si la nuance a de l’importance, choisissez le pluriel.- 351 vues
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C’est parfait si vous avez trouvé seul chaussure à votre pied, mais vous pouvez toujours essayer d’en savoir plus avec le billet détaillé ci-joint.
Le régime des prépositions en français est assez capricieux et il n’a pas fini d’évoluer. Ce couple infernal se souvenir-se rappeler en est un bon exemple…- 301 vues
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Vu la brièveté de la phrase, on peut aussi imaginer l’absence totale de ponctuation.
Il n’est pas recommandé par l’orthodoxie stylistique de commencer une phrase par une conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car ), mais c’est devenu très courant. Il n’est alors pas interdit de la faire suivre d’une incise avec deux virgules encadrantes. Je choisirais donc plutôt : « Mais, à bien des égards, c’est lui que je préfère. »- 256 vues
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Il est souvent difficile de trancher clairement entre l’indicatif et le conditionnel dans ces tournures.
Le conditionnel est plus courant même s’il renvoie à un sous-entendu : « (si on me le demandait,) j’ajouterais qu’il y beaucoup de personnes qui…. » On ne vous demande rien mais vous le dites quand même.
Le futur est un peu incohérent : vous ne pouvez signifier que vous allez dire quelque chose alors que vous êtes déjà en train de le dire. Dans ce cas, autant dire clairement : « J’ajoute qu’il y beaucoup de personnes qui… ». Il y a de la prétérition dans l’air…
On peut aussi passer à la première personne du pluriel pour tenter d' »entendre » la différence (nous ajouterons/nous ajouterions) mais cela est rarement probant.- 1396 vues
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Vous trouvez les deux parce que les deux sont grammaticalement acceptables.
Par défaut, le singulier est générique et caractérise le fait de représenter une scène de bataille « en général » (voir des exemples ICI).
Le pluriel apparait dès que l’on va signifier qu’il y a représentation de plusieurs batailles distinctes. Le mot est alors souvent assorti d’un complément quelconque qui le restreint : « des scènes de batailles de l’Antiquité », « des scènes de batailles sanglantes », « des scènes de célèbres batailles » par exemple.
La différence étant le plus souvent inaudible, il y a de toute façon du flottement dans la transcription écrite…- 207 vues
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Votre raisonnement est partiellement juste : ce n’est pas l’usage de bien qui change les choses, c’est le fait d’employer un adjectif comme adverbe qui entraine son invariabilité. Cela se produit en particulier avec des verbes d’action (et non attributifs par nature).
Ce cas, certes trompeur, est assez fréquent lorsqu’un adjectif n’a pas donné naissance à un adverbe spécifique (type ferme donne fermement mais serré n’a pas d’adverbe associé).
Nombreux exemples classiques dans le billet ICI : couper court, placer haut, tomber dru, etc.- 264 vues
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