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Grand maître
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  • Grand maître Demandé le 13 octobre 2015 dans Accords

    Phrases correctes :
    — « La vie est savoureuse » ;
    — « La vie, c’est savoureux » ;
    — « Les aventures, c’est enrichissant ».
    Accord de l’adjectif attribut avec le sujet. Si c’est un pronom démonstratif neutre (ce, cela, c’), l’attribut reste au neutre (masculin) singulier.

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  • Grand maître Demandé le 9 octobre 2015 dans Question de langue

    « Tu m’as gagnée à tes idées … dit-elle en rougissant. »

    Impair, rouge et manque…

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  • Grand maître Demandé le 9 octobre 2015 dans Accords

    Bon ! Passez donc vos après-midi comme il vous chante.

    Mais il n’y a qu’un zénith, qu’un nadir, et le Midi c’est hic et nunc. Pardonnez à un poète symboliste et valérien.

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  • Grand maître Demandé le 9 octobre 2015 dans Question de langue

    Sauf rares exceptions, les évènements historiques ne prennent pas de majuscule à leur premier déterminant : guerres, batailles, crises, traités, etc. restent en minuscules. Donc : le génocide arménien.

    Les exceptions viennent de quelques cas où le terme est employé sans ambigüité avec une valeur absolue : l’Occupation, la Résistance, la Grande Guerre, le Moyen Âge, l’Antiquité. Dès qu’un qualificatif s’y adjoint, elles reprennent une valeur relative et la minuscule : l’occupation de la France par les Allemands.

    Un ouvrage aussi plaisant que de référence est La majuscule, c’est capital  de J.-P. Colignon (désolé, c’est du livre papier, je n’ai pas de lien électronique).

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  • Grand maître Demandé le 8 octobre 2015 dans Général

    Votre question n’est pas réellement un problème de sigles, mais d’emploi des capitales dans les combinaisons  de mots qui les engendrent, ce qui est un peu différent…

    Pour le S.T.O., il n’y a à mon sens pas de capitale initiale, car il ne s’agissait pas d’une société, organisation, école ou que sais-je qui lui aurait conféré l’unicité et le statut de nom propre.  Il s’agit du même type d’abréviation que S.V.P,  relative à une expression couramment utilisée.

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  • Grand maître Demandé le 7 octobre 2015 dans Question de langue

    Vu la quantité de cas d’emplois des articles partitifs, il est un peu vain ici de vouloir tous les résumer. Vous pouvez vous reporter à tout bon ouvrage ou à des pages comme celle du CNRTL – Article « de ». Par ailleurs, l’usage est souvent juste et les incorrections peu nombreuses, mais des cas tordus peuvent se présenter (comme  votre exemple).

    Pour réduire votre question à celle du basculement du du (contraction de de le ) à de, il me semble pertinent de l’éclairer comme suit : le de isolé va plutôt s’appliquer à une totalité ou une entité abstraite insécable, le du introduisant une partie ou un qualificatif réducteur.
    Un article de droit (dans son ensemble) mais Un article du droit européen (sous-partie) ;
    Une déclaration de principe  mais Un rappel du principe de l’égalité des droits ;
    Une déclaration de revenus  mais Une déclarations des revenus fonciers ;

    Cette méthode permet de régler des cas litigieux, mais n’est qu’une des nombreuses règles régissant ces partitifs, parmi lesquelles on peut notamment citer :
    – Emploi obligatoire de de  dans certaines locutions : Peu de, un peu de, beaucoup de.
    Après une négation :  Il y a du vent  mais il n’y a pas de vent.

    Reste un problème courant, celui du pluriel : De gros yeux  ou  Des gros yeux ? Malgré les apparences, la seconde solution n’est pas incorrecte, mais fleure bon l’ancien temps. Plutôt une question de style…

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  • Grand maître Demandé le 7 octobre 2015 dans Question de langue

    Mais la tournure « ce qu’il arrive » pose un problème : pas besoin du il, , puisque qui est déjà sujet !
    Conformément à mes autres réponses, je vous suggère donc d’écrire « ce qui arrive » sans vous laisser leurrer par des prononciations erronées.

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  • Grand maître Demandé le 7 octobre 2015 dans Question de langue

    « Ce qui a eu lieu, … » :  ce qui  est sujet de a eu lieu, donc on l’écrit en deux mots. Idem pour ce qui arrive.
    Mais
    « Ce qu’il a dit, … » :  ce qu’  est C.O.D. de dit, donc on l’écrit en trois mots, en mettant le sujet il en relief.

    Je saisis mal ce qui vous gêne,,,

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  • Grand maître Demandé le 6 octobre 2015 dans Question de langue

    Essayons de faire simple :
    – si « qui » est sujet du verbe de la relative, alors on écrit « ce qui » :  Ce qui arrive n’augure rien de bon. (Qui est sujet de arrive)
    – Si « que/qu' » est complément du verbe, on dissocie le pronom et le sujet du verbe : Ce qu’il m’a dit m’inquiète. (Qu’ est C.O.D. de dit)
    Les autres tournures sont le fruit d’une mauvaise syntaxe.

    « Ce qui se conçoit bien s‘énonce clairement » (Boileau)

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