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RPW,
Je ne sais pas si vous êtes Belge, mais en Belgique on parle du triple pouvoir : législatif, exécutif et judiciaire.
Pas grand chose à voir avec la spiritualité il me semble.
À ma connaissance, non, pas de trait d’union.
À mon sens on écrira « des triples pouvoirs« . Je ne comprendrais pas la tournure « des triple pouvoir « .
« Ces gens avec leur triple pouvoir« , car ils ont un triple pouvoir chacun.L’adjectif s’accorde en genre et en nombre avec le sujet :
On dira qu’ils sont « trois fois spirituels« , s’il s’agit d’hommes ou d’un public mixte.
S’il s’agit de femmes seulement, elles seront « trois fois spirituelles« .- 958 vues
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Voici une autre référence qui confirme les avis précédents ICI
Les passeurs d’âmes sont des personnes ayant la capacité de communiquer avec les morts pour faciliter leur passage vers l’au-delà.- 678 vues
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Anouck,
J’ai besoin de votre confirmation, afin de savoir si j’ai bien compris le sens de votre phrase.
Vous souhaitez exprimer « elle aurait voulu que cette folle aventure ne finisse jamais‘, c’est bien ça ?Dans ce cas, Tara,
Pour répondre à vos questions :
Vous écrivez vous-même :
« Je ne veux pas que cette aventure finisse. » et non pas « je ne veux pas que cette aventure ne finisse « .Je ne comprends pas votre exemple suivant qui est censé en découler :
« Je ne voudrai jamais que cette aventure finisse » Pourquoi le futur ? Pourquoi ce « jamais » placé là ?
Cette phrase n’a pas de sens, l’aventure est déjà finie, mais elle ne cessera jamais de souhaiter qu’elle ne finisse pas ?
Aussi votre proposition 1 que vous considérez comme la seule pouvant illustrer l’exemple d’Anouck, « je n’ai jamais voulu que cette aventure (ne) finisse » signifie « je n’ai jamais souhaité que cette histoire se termine« .
Elle n’a donc aucun rapport avec le sens de la phrase initiale, et le « ne explétif » ne se justifie pas, à mon sens.Quant à vos propositions 2 et 3, je ne comprends pas ce que vous avez voulu démontrer, car elles sont plutôt hors sujet.
Je me permets donc de reprendre l’exemple de Parlotte :
« Elle ne veut pas que ça ne finisse » serait incorrect.Pour illustrer ce que je veux vous dire, voici ce que l’on trouve dans le CNRTL, pour le mot « ne » avec l’emploi de « jamais » :
On trouve aussi des séquences du type ne (explétif) + auxil. négatif composite :
Il devait beaucoup plus qu’il n’eût jamais possédé .
Ajoutez que Marguerite était revenue de ce voyage plus belle qu’elle n‘avait jamais été .- 905 vues
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Pas du tout d’accord avec Tara, et tout à fait d’accord avec Parlotte, pas de « ne » explétif ici, la tournure est inappropriée, et les mots ne sont pas tout à fait dans le bon ordre…
Dans votre phrase le mot « Jamais » semble renvoyer au verbe « vouloir », alors qu’en réalité il renvoie à « prendre fin ».
On dira plutôt :
Elle aurait voulu que cette aventure ne prenne jamais fin.La tournure avec le « jamais » antéposé serait correcte dans un autre sens :
Jamais elle n’aurait imaginé qu’il en serait blessé –> Elle n’aurait jamais cru le blesser–> elle n’aurait pas voulu qu’il en soit blessé (et non pas « qu’il n‘en soit blessé« )- 905 vues
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« En l’espace d’un instant » est incorrect. On dira simplement « l’espace d’un instant »
« En les lieux du crime » est une tournure incorrecte. On dira plutôt « sur les lieux du crime« .
« En de pareilles conditions » ne me semble pas très heureux non plus, On dira plutôt « dans de telles conditions » ou « en pareille circonstance« .« En » signifie « dans« , donc en principe ils sont interchangeables.
Et en effet, si vous souhaitez que cela fasse un peu pompeux, ampoulé, la tournure sera appropriée.Malgré tout, je ne sais pas très bien ce que signifie « la mangeoire d’une compagnie des Indes « .
En général on parle de la mangeoire d’un animal, mais pas d’une compagnie, encore moins des Indes (commerce entre une métropole européenne et ses colonies).« Minauderies en la mangeoire d’une compagnie des Indes »
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Un tartare au couteau –> viande crue coupée en petits cubes, au couteau, avec un couteau.
Ce qui me chagrine est que la tournure n’est pas spécialement appropriée, car généralement on lit plutôt sur les emballages « tartare façon bouchère« .Mais il est possible aussi qu’il s’agisse du couteau (ou « solen »), qui est un coquillage de forme oblongue très prisé des gourmets. Dans ce cas on dira « tartare de couteau / couteaux« , comme on dirait « tartare de bœuf » ou « tartare de saumon ». Le singulier comme le pluriel pourraient alors se justifier.
Pour la deuxième phrase, je sais que c’est très mode de supprimer les articles, et de plus en plus fréquent dans le jargon de bureau notamment, hélas !
Des idées recettes —> des idées de recettes (des idées donc plusieurs recettes)–> une idée de recette- 1107 vues
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Ann,
Le verbe « transposer » a des emplois très précis et s’emploie de plus en plus, et à tort dans le sens de « transformer ».
Voir ICI
ou encore LÀ
Les propositions de Tara et Prince ne me semblent pas tout à fait fidèles au sens que vous voulez donner à vos phrases. Personnellement je trouve vos propositions plutôt bonnes, si vous remplacez « transposition » par « transformation » et « transposer » par « transformer« .- 559 vues
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Marouane,
Il faut distinguer plusieurs emplois de cette locution.
Voici ce qu’en dit notamment l’Académie (voir ICI )
Autant que suivi de l’indicatif ou du subjonctif, exprime une proportion : dans la mesure où.
J’irai chez vous autant que les circonstances le permettront.
Exprime une possibilité sur laquelle on émet des réserves :
Autant que je sache ou pour autant que je sache. Autant que je puisse ou pour autant que je puisse en juger.
Pour autant, pourtant, malgré cela :
Il ne s’est pas corrigé pour autant. Je pardonne, mais ne croyez pas pour autant que j’oublie.En résumé :
« Autant que » ou « Pour autant que » ne peut pas se substituer à « puisque » (il n’est pas question de cause, de motif, mais d’éventualité) mais plutôt à « si / à condition que » :
Je viendrai pour autant que la météo me le permette / si la météo me le permet / à condition que la météo me le permette / au cas où la météo me le permettrait.
Voyez la différence de sens : je suis venue puisque la météo me l’a permis.
« Pour autant » (sans « que ») peut se substituer à « pourtant / malgré cela » :
Je suis venue, tu ne m’en as pas félicitée pour autant.- 1562 vues
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Electra,
À mon sens, dans cette phrase on parle de la cause, de la raison pour laquelle il est resté, et donc une seule des deux tournures peut convenir, comme vous l’explique très bien Joëlle :
…cela tient à sa nature structurelle, à sa résilience.
Pour exprimer la provenance, on dira plutôt :
…cela vient davantage de sa nature structurelle, de sa résilience.- 3254 vues
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En littérature, la règle est d’écrire les chiffres en toutes lettres.
Les années deux mille.- 2889 vues
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