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En réalité, l’e-mail lui est bien parvenu, sinon il vous serait revenu, donc inutile de faire semblant. De plus votre supérieur n’a pas besoin que vous avanciez des excuses pour lui.
Mais pas de reproches, surtout.
Ma suggestion (vous répondez, sur votre e-mail initial, sans en changer l’objet) :
Madame,
ou
Monsieur,
Je me permets de revenir vers vous, car j’ai besoin de vos réponses à ce courrier, de façon assez urgente, afin de pouvoir……… (raisons pour lesquelles vous avez besoin de ses réponses).- 833 vues
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Dewelis je suis de votre avis, et selon tous les sites référents consultés, le « de » est tout à fait facultatif après « que », notamment dans votre phrase. En plus, c’est votre texte et c’est vous qui décidez si vous trouvez la tournure lourde ou pas. En tout cas, ça n’est pas une faute.
Vivre ta vie est plus important que me la raconter.
À propos du « de sous-entendu devant vivre » évoqué par Joëlle, je suppose qu’elle veut dire que la phrase équivaut à :
Il est plus important pour toi de vivre ta vie (au lieu / plutôt) que (de) perdre ton temps à me la raconter.- 678 vues
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Ma suggestion, pour garder vos sept pieds et faire entendre le pluriel de « luttes » :
Au cœur de luttes indociles –> prononcer « au cœur de lutt-z-indocil«- 582 vues
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Thomoios,
Personnellement, cela m’intéresserait de connaître le contexte (genre de la chanson, époque et lieu, contexte socioculturel des personnages), si vous voulez bien nous en dire plus.
Car, puisque le sens des mots que vous choisissez vous intéresse, je me demande si vous avez choisi ces tournures pour des raisons précises.
Je rejoins Dewelis, l’essentiel est de vous faire bien comprendre de vos auditeurs et lecteurs.
Aussi, je me permets certaines suggestions, si ces tournures ne reflétaient pas vraiment vos intentions :
« En bas vers les 9 heures de la nuit «
En principe, on dit plutôt « vers les neuf heures » ou bien « vers neuf heures du soir«
« On encourt deux, trois pas enhardis«
Théoriquement ce ne sont pas les pas qui sont enhardis, ce sont les personnages.
« Deux-trois » s’écrit plutôt avec un trait d’union, sinon la virgule peut marquer une hésitation, sous-entendre « puis » :
« On risque deux, (puis) trois pas«
Mais en imaginant que ce sont les pas qui sont enhardis, alors ça ne colle pas avec l’hésitation au bout de deux pas.
Ou bien, si vous souhaitez exprimer l’hésitation des enfants dans un premier temps, puis l’enhardissement :
On risque deux, trois pas, enhardis par l’excitation, on s’élance…
« On remonte le rebord «
Encore une fois je ne connais pas le contexte, mais je suis curieuse de savoir comment on peut « remonter un rebord« …Et donc, pour répondre à votre question, je ne pense pas que « encourir » soit approprié dans votre texte.
L’Académie nous met en garde justement contre l’emploi de « encourir » dans le sens de « risquer, courir le risque » :
Le verbe encourir signifie que l’on s’expose à une sanction, une peine, un châtiment qui émane d’une autorité :
Il encourt une grosse amende pour sa conduite ; Pour un délit de cet ordre il encourt la prison.
Il se construit avec un complément qui est un nom. On ne doit pas le confondre avec risquer ou la locution verbale synonyme courir le risque de, qui se construisent indirectement et veulent un infinitif comme complément :
S’il ne travaille pas plus, il risque (ou il court le risque) d’échouer.
Il y a dans ce verbe et dans cette locution, qui appartiennent à la langue courante, un caractère d’incertitude beaucoup plus fort qu’avec encourir, qui relève de la langue juridique et qui indique, presque officiellement, quelle peine correspond à telle faute.- 634 vues
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« Avec un chapeau et une chaussure, l’homme ou la femme sont parés. »
Plusieurs maladresses ou incohérences dans cette phrase :
Quand on écrit « l’homme » on parle de l’humain, comme dans « les droits de l’homme« , c’est-à-dire les droits des femmes, des hommes et des enfants.
Sinon, « l’homme / la femme » sont des appellations considérées comme sexistes.
On dit « la journée internationale des droits des femmes » et non pas « de la femme « .
Mais quand on fait une généralisation, on dit plutôt « une femme / un homme / les femmes / les hommes ».Mais surtout « l’homme ou la femme sont » me choque vraiment ! Ici, le « et » s’imposerait, ça me semble évident.
De plus, l’auteur de cette phrase s’est retrouvé pris à son propre piège, bien en peine pour accorder au singulier : « est paré ou est parée » ?… et il a sans doute opté pour le pluriel pour se simplifier la vie……
Je rejoins également Joëlle à propos de « une chaussure » : on est paré, si on est unijambiste, sans doute.
Et puis, s’il s’agit d’élégance vestimentaire, je ne suis pas sûre qu’un bob de plage et des tongs suffisent en toute occasion… Pas plus qu’un beau chapeau et de belles chaussures avec une tenue crasseuse et en loques…Et puis la phrase semble incomplète : paré pour quoi ? Pour faire son entrée dans le monde des affaires, pour résister au froid, pour assister à un événement chic, … ?
À l’extrême rigueur, si l’on fait abstraction du côté « jugement à l’emporte-pièce », on peut écrire :
Avec un chapeau élégant et une belle paire de chaussures, que l’on soit femme ou homme, on est paré en toute circonstance.
OU BIEN
Avec un chapeau et des chaussures, (homme comme femme) on est paré pour vivre nu dans la savane, dans cette aventure de téléréalité.- 690 vues
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« Frayer » signifie déblayer , désencombrer (un sentier, un chemin, etc.).
On ne peut pas « déblayer un genre « , sauf au sens figuré, dans le sens de « dépoussiérer / moderniser ».
Aussi, l’accord avec « endroits » s’impose :
Dans ce genre d’endroits, qui n’ont pas encore été frayés- 690 vues
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Il est vrai que cette phrase peut « favoriser » le contresens…
Et j’ai l’impression que nous avons tous raison, car chacun de nous croit comprendre quelque chose de différent ;°)Première partie de phrase :
« Si elle avait décidé de suivre sa voie, il aurait été très heureux »
–> je crois comprendre qu’elle n’a finalement pas pris cette décision.
Deuxième partie de phrase :
« même si alors il avait dû la mettre en garde contre les dangers probables. »
–> je crois comprendre : bien qu’il l’ait mise en garde, alors (c-à-d à cette époque, avant qu’elle prenne sa décision).
Donc voici comment je comprends cette phrase :
Il aurait été heureux qu’elle décide de suivre sa voie, même malgré ses mises en garde (celles qu’il lui avait faites à l’époque, avant qu’elle prenne sa décision).- 842 vues
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Maryline,
Tara,À moi de ne pas vous comprendre toutes les deux…
Personnellement je trouve la phrase initiale pourtant très claire, et l’accord au féminin parfaitement cohérent : état désagréable de fatigue mêlée d’angoisse.
–> état de fatigue et angoisse mêlées.
C’est bien la fatigue mêlée d’angoisse qui donne cet état désagréable, non ?
Maryline, vous écrivez « je pense que c’est l’état (de fatigue) qui est mêlé à l’état d’angoisse ».
Dans ce cas, il serait écrit : état désagréable de fatigue mêlé à celui d‘angoisse.- 570 vues
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Je ne suis pas non plus d’accord avec la réponse de Ouatitm.
Essayons de « détricoter » la phrase, cela donne globalement :
Même si à ce moment-là (alors) il avait dû la mettre en garde contre les dangers possibles, si elle avait (quand même) décidé de suivre sa voie, il en aurait été très heureux (malgré tout).- 842 vues
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À mon sens, les 3 premières sont parfaites. Pour la 4 et la 5, il me semble superflu de préciser que vous caressez un seul de ses bras, et pour la sixième, je ne crois pas qu’il soit utile de préciser qu’elle a deux bras, cela tombe sous le sens, sauf accident ou malformation ;°)
Personnellement, je trouve les deux premières préférables.- 488 vues
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