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Karen,
Mais bien sûr, ça y est, je viens de comprendre pourquoi le pluriel s’impose :
C’est parce que les sujets du verbe sont de genre différent !!!!!!!!!!!!
C’était tout simple en réalité : on ne peut pas dire « quel que soit l’affaire« …En revanche l’auteur de cette phrase n’est pas à proprement parler un virtuose de la langue, et peut-être même que le français n’est pas sa langue maternelle, si j’en juge notamment par le choix du verbe « se prononcer » pour évoquer « le problème, l’incident, l’évènement, la difficulté, ou l’affaire« .
Qui dirait qu’un problème ou un événement se prononce ? Ou qu’une affaire se prononce ?…
Définition dans le dictionnaire de l’Académie :
À la forme pronominale : Se manifester, s’affirmer. Son inclination pour la musique se prononce de jour en jour.De plus, vous nous donnez la phrase intégrale de votre exercice, et j’y trouve une faute assez impardonnable :
« Et, dans tous les États, tous les régimes et toutes les sociétés, quand la politique y dépend de l’opinion… »
« Dans… y » ?
Vous ne diriez pas « Dans toutes vos phrases, quand j’y trouve une autre faute « , car la tournure est pléonastique.Cette réponse a été acceptée par karen777. le 7 mai 2023 Vous avez gagné 15 points.
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Karen,
Personnellement, je suis de votre avis, mais pour les mêmes raisons que vous, du fait de la présence de la conjonction « ou », j’accorderais tout au singulier :
Quel que soit le problème, l’incident, l’évènement, la difficulté, ou l’affaire qui se présente…
Quel que soit l’adolescent ou l’enfant qui se manifeste- 1670 vues
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Vous avez raison, pour ce qui est de l’argumentation en tout cas… et la phrase correcte serait :
Est-ce que je peux aller voir ma mère, elle demande à me parler- 784 vues
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Vous êtes loin d’être le seul à avoir tendance à ne pas faire les liaisons importantes, et pourtant c’est un tort, en tout cas académiquement parlant.
On dira :
Quand j’étais z’enfant
Je vais z’à la plage
Mais vous êtes libre de parler comme vous l’entendez, bien entendu…..- 876 vues
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Votre phrase :
« Au cours du millénaire qui suivit, une espèce prit majoritairement leur place. Étonnament, les poules devinrent d’incroyables bêtes intelligentes. Non pas le sens dans lequel leur vie sociale serait améliorée, puisqu’elles n’avaient rien à envier, mais plutôt dans le sens qu’elles pouvaient désormais être en mesure d’utiliser les mêmes outils que leurs ancêtres à deux jambes et deux bras. «Plusieurs problèmes dans votre phrase Lucas :
O « étonnamment » avec deux « m ».
O « les poules devinrent des bêtes incroyablement intelligentes » ce qui est incroyable ça n’est pas qu’elles deviennent des bêtes, c’est qu’elles soient devenues intelligentes
O « Non pas le sens dans lequel » est un peu du charabia, et ne se dit pas. On dira plutôt « Non pas que leur vie sociale en était améliorée » serait un peu mieux, notamment pour respecter la concordance des temps mais je vous suggère également : Leur vie sociale n’en était pas pour autant améliorée.
De plus, je ne comprends pas votre argument « puisqu’elles n’avaient rien à envier« , d’ailleurs on dirait plutôt « n’avaient rien à envier à personne / aux autres« . Mais une vie sociale peut être améliorée, qu’on envie les autres ou pas.
O « elles pouvaient être en mesure » est un pléonasme. On dira plutôt : Mais plutôt dans le sens où / du fait qu‘elles pouvaient désormais utiliser / qu’elles étaient désormais en mesure d’utiliser…Cette réponse a été acceptée par Lucaslesongeur. le 4 mai 2023 Vous avez gagné 15 points.
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Dites-moi, No45446, nos réponses ne vous intéressent pas ?………………….
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Shaza,
Nos réponses ne vous intéressent pas ?……………………………………………………………..- 601 vues
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Je souhaite répondre à votre nouveau message :
Votre phrase qui précède :
« C’est que le rez-de-chaussée de cette cage est accessible aux employés du snack libanais logé au bas de l’édifice. »« Cette cage » est insuffisant, il est nécessaire d’écrire « cette cage d’escalier« .
Car il peut y avoir des cages thoraciques, des cages aux oiseaux, etc.
De plus, le snack libanais n’est pas « logé au bas de l’édifice » . Seules les personnes peuvent être « logées », c’est-à-dire se voir attribuer un logement, un appartement, un endroit où vivre et dormir.. « Au bas de » n’est pas approprié non plus dans votre phrase.
Vous pouvez dire « situé au rez-de-chaussée de l’édifice / de l’immeuble« .« Ce sont les « poubelles putrides » et les « collecteurs » d’huile d’un snack libanais. » Alors vous ne pouvez pas écrire « l’huile exténuée de ses friteuses », vous écrirez plutôt sans le possessif : « l’huile exténuée des friteuses (du snack)«
On parle de « méduses échouées« , comme de « baleines échouées« , inutile d’ajouter un complément de lieu.
» une cage d’escalier en perdition involontairement éclairée » : là c’est la cage d’escalier qui est « involontairement éclairée », c’est-à-dire qu’il y a un dysfonctionnement qui empêche la minuterie de s’éteindre.
Et vous, apparemment _ certains éclairages sont effrayants de manière involontaire _ vous vouliez dire qu’elle effraie involontairement les exorcistes… Donc ça n’est pas du tout clair pour le lecteur.« En écrivant « à l’étage » , je pensais pouvoir désigner un ensemble d’étages, et non pas juste un seul. Est-ce que je peux écrire « aux étages » ?«
Non, désolée, « aux étages » ne se dit pas. Vous pouvez éventuellement dire « aux étages supérieurs » mais ça n’est pas très heureux dans ce contexte.
Vous pouvez peut-être écrire :
« car qui pourrait croire qu’un être fait de chair et de sang habite cet immeuble qui n’en mérite même pas le nom / habite un immeuble aussi glauque (lugubre / sordide) / habite au-dessus de ce tas d’immondices, etc.- 560 vues
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Balovi,
Pour compléter ces informations, voici mes suggestions de ponctuation, où j’en profite pour vous apporter une petite information intéressante :
Je ne résiste pas à la tentation de revenir sur la phrase « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait », attribuée par erreur à Mark Twain, Churchill ou encore Kennedy, mais qui en réalité nous vient de Marcel Pagnol (dans sa pièce César de la trilogie marseillaise), et la version originale est :
« Tout le monde savait que c’était impossible. Un ignare ne le savait pas : il l’a fait . »
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Voici ce que l’Académie dit, pour le verbe « amener » dans un sens figuré :
Amener quelqu’un à une opinion, à un sentiment, parvenir à lui faire adopter cette opinion, ce sentiment.Aussi, je trouve le verbe très bien choisi, au contraire.
Un album jeunesse est un livre destiné aux jeunes lecteurs, de la naissance jusqu’au moment où l’enfant peut vraiment lire tout seul. L’illustration prime très largement sur le texte : il s’agit d’initier l’enfant à la lecture grâce à l’image.
Je suppose que vous présenterez seulement à ces enfants certains albums, et pas tous.
Donc vous direz « par le biais d’albums ».Je me permets de vous suggérer une autre tournure de phrase, pour éviter le « par le biais » et le « à être » :
Des albums jeunesse comme supports pédagogiques, pour amener les enfants de maternelle à devenir des artistes écoresponsables. Mission impossible ?- 661 vues
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