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Oui, votre tournure est correcte, mais le « en » est inutile ici : quelles que soient les circonstances / quel qu’en soit l’enjeu
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Gougeon,
Vous ne posez pas correctement les questions :
Une planche qu’on avait oubliée –> on avait oublié quoi ? « Que », COD, mis pour « une planche » –> accord au féminin-singulier
Une satisfaction qui avait grandi –> elle avait grandi quoi ? Là ça ne fonctionne pas, car dans ce cas, grandir est intransitif, il ne peut pas avoir de COD.L’arbre magique que Clara avait suspendu –> elle avait suspendu quoi ? « Que » COD mis pour « arbre magique » –> accord au masculin-singulier
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Vous écrivez : « Il y a longtemps défilaient des dizaines de personnes – n’eussent-ils été plus – »
Non, cette tournure n’est pas correcte, et même doublement inappropriée, car en plus « personnes » est du genre féminin.
Ma suggestion :
Il y a longtemps défilaient ici des dizaines de personnes _ si ce n’est plus _- 210 vues
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Jacques Prévert a écrit une poésie qui s’appelle « Le cancre », et il écrit :
Il dit non avec la tête
Mais il dit oui avec le cœur
Il dit oui à ce qu’il aime
Il dit non au professeurÀ mon sens les guillemets ne s’imposent pas.
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Ici on conjugue le verbe au pluriel, puisque le sujet est au pluriel :
Les rouleaux farcis roulent / ont roulé / avaient roulé / roulerontEn ce qui concerne l’accord du PP, en effet, comme vous le souligne Joëlle, avec l’auxiliaire « avoir » on accorde avec le COD s’il est placé avant :
Les rouleaux que j’ai posés sur le sol / que j’avais posés sur le sol
J’ai posé quoi ? « Que » (COD) mis pour « les rouleaux », placé avant « avoir », donc on accorde en genre et nombre.
De la même façon :
La chanson que j’ai chantée / les fillettes que j’ai embrasséesCette réponse a été acceptée par Nuage. le 3 juillet 2024 Vous avez gagné 15 points.
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Mido,
Il me semble que le passé simple conviendrait mieux que l’imparfait dans vos phrases.
En effet, l’imparfait décrit une action qui dure dans le temps. , alors que le passé simple est le temps du récit.Aussi, voici mes suggestions :
M’asseyant à mon bureau, je me plongeai dans la lecture d’un roman captivant.
T’asseyant à ton bureau, tu te plongeai dans la lecture d’un roman captivant.
Nous asseyant à notre bureau, nous nous plongeâmes dans la lecture d’un roman captivant.- 202 vues
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Petite précision : sans doute est-ce juste une coquille, mais vous ne pouvez pas dire « Ce serait-ce » comme dans votre énoncé.
Vous direz
Serait-ce lui qui conduirait / aurait conduit
Ou bien
Ce serait lui qui conduirait / aurait conduit- 260 vues
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ABG99,
Je souhaite revenir sur ma réponse, pour l’illustrer un peu mieux.
J’ai écrit « Placés après un point d’exclamation, ils expriment souvent qu’on en reste sans voix. »
Mais Chambaron raille, comme bien souvent.
Peut-être ne peut-il ressentir plusieurs émotions simultanément, contrairement à la plupart des gens ?Car en effet, voici ce que l’on trouve dans un excellent article de la BDL, très complet sur le sujet :
Que signifient les points de suspension ?
Les points de suspension peuvent exprimer, par exemple, l’inaccompli, l’inachevé, le non-dit, l’expression incomplète d’une idée, une hésitation du narrateur, une réflexion qui se prolonge, un silence, un secret, un sentiment tel que la perplexité, un effet de surprise ou un choc à venir, les rêveries ou les méandres d’un monologue intérieur.On y trouve aussi l’association des points de suspension avec d’autres signes de ponctuation, et notamment avec le point d’exclamation.
Voir ICIPar ailleurs, je n’ai pas le temps de chercher toutes les « traces » de l’emploi de cette association, les exemples se comptent par milliers, y compris chez les référents.
On utilise bien les points de suspension après un point d’interrogation, je ne vois pas ce qui peut nous en empêcher après un point d’exclamation…Je vous donne un exemple, pour illustrer ma réponse :
C’est un criminel, tous les éléments le prouvent, et pourtant il n’a pas été condamné !…
Le point d’exclamation traduit ici l’exclamation du narrateur (il est scandalisé, ça le révolte), et les points de suspension qui suivent traduisent le sentiment de perplexité dans lequel cette nouvelle le plonge (face à une telle injustice, il en reste bouche bée, baba, sans voix).- 235 vues
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On dit « des points de suspension ».
Définition de l’Académie :
Points de suspension, signe de ponctuation (…) qui montre que la phrase est inachevée ou qui suggère un prolongement possible de la pensée, une hésitation (on a dit aussi Points de réticence ; on dit parfois Points suspensifs).Placés après un point d’exclamation, ils expriment souvent qu’on en reste sans voix.
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