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Cette forme s’appelle « première personne du pluriel« , ça vous donne sans doute un indice ?
Oui, vous avez deviné, nous sommes donc plusieurs à pouvoir être sereins.Cette réponse a été acceptée par Rhudie. le 28 décembre 2015 Vous avez gagné 15 points.
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Si « concours » comporte toujours un S, « jeu » s’écrit sans X au singulier.
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Le nom qui suit EN est toujours au singulier, car il introduit un état.
Dans votre exemple il s’agit de « l’état d’attente ». Il ne peut donc y avoir plusieurs attentes.
De la même façon, on dit bien « Partir EN congé annuel ». « EN vacances » ne fait nullement exception à la règle, simplement, dans cette acception du terme, « vacances » est toujours au pluriel !- 154036 vues
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Oui Lopez, « Tout » est bien orthographié et dans ce contexte il n’a pas le sens de « complètement », mais plutôt de « Bien que« .
Afin de vous répondre plus facilement, je tente de compléter votre phrase, par exemple : « Tout esclaves qu’ils sont, il n’en restent pas moins hommes. »
Cela signifie « Bien qu‘ils soient esclaves, ils sont avant tout des hommes ».
Dans cette tournure-là le subjonctif s’impose. C’est peut-être ce qui pourrait nous inciter à employer le subjonctif dans la tournure avec « tout » ?
Pourtant, à mon humble avis, si l’on emploie la tournure avec « Tout », c’est l’indicatif qui s’impose, me semble-t-il. En effet, « tout » introduit un état, une réalité présente, en opposition à une réalité antérieure à cet état, et je pense que le mot « devenu » est sous-entendu après le verbe Etre.
Par exemple « Tout P.D.G. qu’il est (devenu), il pleure toujours devant E.T. »- 6665 vues
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À propos des Romanov :
Pluriel des noms propres
Les noms propres représentent des personnes, des lieux géographiques, des marques déposées ou des titres d’œuvres. L’invariabilité est la règle (des Picasso, les Bossuet, etc.), mais ils prennent le pluriel dans des cas bien précis.
1. les noms de personnes qui prennent la marque du pluriel :
– les noms de familles royales, français ou francisés; (les Bourbons. Les Capets. Les Stuarts, etc.)
– les noms propres employés « génériquement » à la place d’un nom commun (antonomase); (Ce sont des Harpagons = Harpagons pour avares.)
– les noms propres qui désignent des œuvres d’art. (Des Cupidons.)2. les noms géographiques qui prennent la marque du pluriel :
– les noms désignant plusieurs pays, fleuves, etc. de même nom; (Les Guyanes. Les Amériques. Les Espagnes, etc.)
– les noms employés « génériquement » à la place d’un nom commun (antonomase). (De modernes Babylones.)En dehors de ces cas particuliers tous les autres noms propres sont invariables : titres d’œuvres ou de journaux, marques déposées, noms de famille non francisés (les Romanov), noms composés homonymes (Il existe plusieurs Saint-Sauveur).
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J’ai trouvé cet excellent article de Luc Bentz sur le sujet :
http://www.langue-fr.net/spip.php?article128
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En effet Rejane, un participe passé suivi d’un verbe à l’infinitif s’accorde avec le C.O.D. qui précède, si ce C.O.D. fait l’action exprimée par l’infinitif.
Il avait vu qui ? L (Elle), C.O.D. placé avant, et c’est bien elle qui fait l’action de s’éloigner.
Bien que je sois en admiration devant Patrick Modiano depuis toujours, je suis bien obligée de reconnaître qu’il aurait fallu écrire « Il l’avait vue s’éloigner »…- 71846 vues
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Oui, je vous remercie, c’est beaucoup plus clair à présent. J’avais trop tendance à écrire « instinctivement », au lieu de me poser les bonnes questions…
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Désolée Catherine, tous les textes que j’ai pu trouver affichent bien « Les pieds lui a délié« , qui est la forme correcte.
Il s’agit d’une tournure poétique pour « Elle lui a délié les pieds ».
« Elle » (sujet) « a délié » (verbe) « les pieds » (C.O.D.) à « lui » (C.O.I).
Le participe passé ne s’accorde pas avec le C.O.D. « les pieds », qui est placé après avoir.- 4300 vues
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Le pléonasme n’est pas à proprement parler une faute de français, mais plutôt une forme stylistique qui comporte une surcharge de lettres, de mots ou d’informations, créant une redondance, une lourdeur.
En littérature, il s’agit (la plupart du temps…) d’un choix de la part de l’auteur, d’une figure de style, destinée à appuyer un message ou une information en particulier.
Je suis assez d’accord avec vous, BTN, certaines tournures pléonastiques de nos écrivains ont souvent un intérêt poétique, littéraire ou émotionnel.
Par exemple Molière, dans Le Tartuffe :
« Je l’ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu,
Ce qu’on appelle vu. Faut-il vous le rebattre
Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ? »En revanche, il est considéré comme une faute (parfois risible, en effet), lorsqu’il n’a pas d’autre intérêt que la lourdeur et la redondance, par exemple :
« Je descends en bas« … sauf si vous ne portez que des bas pour tout vêtement !
« Je sors dehors« … sauf si vous allez faire faire une petite balade à votre chien qui s’appelle Dehors !- 15784 vues
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