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Ce mot n’est pas du tout un néologisme créé par Amélie Nothomb, il existe bel et bien !
Il semblerait que « Dygyne » soit l’orthographe anglaise, car je n’ai trouvé ce terme orthographié ainsi que dans des textes en anglais.
En français il s’orthographie « Digyne ». Il s’agit d’un terme de tératologie (du grec téras « monstre » et logia « étude) : étude scientifique des malformations congénitales chez l’être humain.
La « Digynie » est une classe de monstres ayant pour caractère la présence du sexe féminin double chez un individu.
Dans cet extrait, le terme est employé avec humour, semble-t-il, ou en tout cas ce qui peut passer pour de l’humour…
Dix-neuf héroïnes dans les neuf romans, c’est-à-dire trois dans Les sales gens et deux dans chacun des autres : elle représente chaque héroïne par son organe sexuel…
À chacune et chacun d’apprécier !- 5676 vues
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Verbe du troisième groupe, il est en effet souvent pris pour un verbe du premier groupe.
La confusion due d’abord à sa terminaison en « ER », comme les verbes du premier groupe, est renforcée par le fait que le verbe ALLER ne prend pas de « S » à la deuxième personne du singulier de l’impératif présent, tout comme les verbes du premier groupe : « Va ».
(on n’ajoute un « S » que pour des raisons de sonorité, quand il est suivi d’un « Y » : « Vas-y »)De plus, il est le seul verbe en « ER », parmi les verbes du troisième groupe qui suivent, par exception, cette règle :
Ouvrir, offrir, souffrir, cueillir et savoir.- 68144 vues
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La confusion entre les deux termes vient de cette paronymie : consonances proches mais sens extrêmement différents.
Dans une lettre, vous devez écrire « À l’attention de« , qui précise formellement le destinataire de votre courrier.
« À l’intention de » introduit plutôt l’idée d’un « cadeau », d’un geste bienveillant, d’une mise à l’honneur, d’une démarche particulière pour quelqu’un en particulier.
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Quand vous avez un doute, transposez à la première personne du pluriel, ça vous aidera.
En l’occurrence, « Nous aimerions être plus pondérées ».- 4380 vues
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La marque du pluriel me gêne un peu et me semble superflue : je penche plutôt pour « Un club d’entreprise« , « entreprise » étant ici un terme générique, de la même façon que l’on écrit « Un comité d’entreprise« .
« Un club des entreprises » tout seul, s’il n’y a pas de précision du secteur (club des entreprises du livre, club des entreprises du secteur informatique, etc.), ne me paraît pas signifier grand chose.
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Petit truc : si vous pouvez le remplacer par « Ceux-là », il s’agit du pronom démonstratif « Ce« . Dans le cas contraire, il s’agit de la forme pronominale du verbe.
Dans la phrase « Ils se sont ennuyés« , vous ne pouvez pas dire « Ils ceux-là sont ennuyés ».
Dans la phrase « Ce sont de grands écrivains« , vous pouvez dire « Ceux-là sont de grands écrivains ».- 381015 vues
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Pourtant, dans cette phrase, ça n’est pas le « y » qui me semble erroné, mais plutôt le temps employé.
Tout dépend du contexte, évidemment, mais voici comment je comprends cette phrase :
J’imagine que l’auteur parle d’un lieu particulier (son village par exemple) qu’il décrit sans doute comme triste et sans vie, ou qui n’incite pas à la romance, « mais dès qu’il y fera beau et doux » les choses vont changer.
En revanche, si ce « y » ne renvoie pas à un lieu, il n’a effectivement rien à faire là.- 5392 vues
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L’expression est très récente (désolée, pas assez douée en informatique pour créer le lien du graphique que j’ai trouvé), globalement elle a commencé à apparaître en 1955, et à être employée en 2005.
Personnellement, je la trouve bancale, et préfère de très loin « Cela pose un problème« .J’ai trouvé les mêmes informations que Vlavv, ainsi que ceci, sur le site de l’Académie :
PROBLÈME n. m. {XIVe siècle. Emprunté, par l’intermédiaire du latin problema, « problème, question à résoudre », du grec problêma, « saillie, promontoire », puis « tâche, question, problème », lui-même dérivé de proballein, « jeter devant soi, lancer », puis « proposer une tâche, poser une question ».}
L’expression Faire problème, au sens d’Être une gêne, Causer de l’embarras est à déconseiller.- 11905 vues
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Il me semble que cette tournure de phrase appartient au langage parlé, et n’est pas très « Académique ». Mais, a priori, je penche plutôt pour le singulier « Pas de (aucun) problème« .
Le mot « problème » est avant tout un terme de mathématique (algèbre, géométrie, astronomie, physique, etc.), et signifie « question à résoudre« .
Étymologiquement, on lui attribue le plus souvent une racine latine (problema : question à résoudre) ainsi qu’une racine grecque (problema : jeter devant, obstacle).
Le dictionnaire Littré lui donne ce même sens (question à résoudre), au propre comme au figuré : « Tout procès est un problème… la mort est un problème aussi, je le résoudrai bientôt. » (Voltaire).
Le Littré cite la phrase au singulier « Pas de problème« .Le CNRTL révèle quant à lui que « Pas de problème » est un calque de l’anglais « No problem« , l’un comme l’autre au singulier.
Du côté de l’Académie, pas la moindre trace de « Pas de problème »…
En revanche, j’ai trouvé ceci, sur leur site, où le singulier est également préconisé, quelle que soit la tournure :
Le 06 octobre 2011On entend trop souvent dire il n’y a pas de souci, ou, simplement, pas de souci, pour marquer l’adhésion, le consentement à ce qui est proposé ou demandé, ou encore pour rassurer, apaiser quelqu’un, Souci étant pris à tort pour « difficulté », « objection ».
Selon les cas, on répondra simplement oui, ou bien l’on dira Cela ne pose pas de difficulté, ne fait aucune difficulté, ou bien Ne vous inquiétez pas, Rassurez-vous.
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@Vlavv & @poulpette
Amusante votre petite coalition contre moi qui circule sur Twitter………………………….- 182839 vues
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